Le Revo-Rama. Le podcast du blog Rêves Connectés‪.‬ Le Revo-Rama. Le podcast du blog Rêves Connectés.

À la sortie de la PS5, avec l’excellent Astro’s Playroom, nous souhaitions retrouver plus souvent sur cette console de bons jeux de type action-plateforme.







Si Sackboy: A big Adventure nous a ensuite laissé un goût d’inachevé, il en est tout autrement de ce Ratchet & Clank: Rift Apart.







Ce nouveau titre d’Insomniac Games offre une expérience très plaisante avec une histoire rythmée et une technique bluffante digne de la PS5.







Le retour de la franchise emblématique est très beau et tire partie grâce à ses glissements dimensionnels du rapide SSD de la console.







Alternant entre Ratchet et son alter-ego dystopique féminin Rivet, vous évoluez dans un monde semi-ouvert guidé dans l’aventure principale.







L’apprentissage des commandes est plutôt simple, aidé par les capacités de la Dualsense, bien utilisées notamment dans les phases de tir.







L’aventure principale, un peu trop courte malheureusement, sait alterner les gameplay, on regrette néanmoins qu’ils ne soient pas tous aussi fluides.







On aurait aussi pu espérer des contrôles différents selon le personnage, et un meilleur équilibre dans la taille des niveaux visités.







Certains mondes et certaines mécaniques nous semblaient en effet plus impressionnants et jouissifs que d’autres, plus poussifs.







Néanmoins ces légers défauts ne doivent pas éclipser une quête de plus en plus proche d’un bon film d’animation le rendant indispensable.







Surtout que la ludothèque de la Playstation 5 reste encore assez limitée, davantage encore de ce style de créations. À ne pas rater donc.

Alors que finalement le pass sanitaire a été imposé aux parcs à thème, Disneyland Paris l’applique rigoureusement à l’entrée du complexe.







Si vous bénéficiez du précieux sésame, vous avez pu découvrir depuis cet été, le spectacle qui remplace Disney Junior Live on Stage.







Nous aimions beaucoup Playhouse Disney (de son premier nom) et ses marionnettes, mais nous nous souvenons aussi des positions inconfortables à même le sol …







La question se posait cependant de le remplacer par le même thème ou de relier Marvel Super Heroes United avec l’Avenger Campus à venir.







Finalement, afin de garder un divertissement pour les plus petits, le sujet principal reste Mickey et ses amis des dessins animés de Disney Junior.







La bonne nouvelle est que la salle a été entièrement repensée pour être plus confortable et surtout plus belle, dans un style steampunk !







Si l’histoire est naturellement mignonne et pleine de bons sentiments, les plus grands s’émerveilleront surtout des nouveaux effets techniques.







L’amphithéâtre de la « Fabrique des Rêves Disney Junior » a été conçu pour donner de belles nuances de lumières avec notamment l’utilisation de 8000 LED.







La fumée tient également un rôle important, avec de très jolies bulles qui explosent en formant une volute. On pourrait l’observer avec plaisir durant des heures.







Au final ce nouveau spectacle est un ajout sympathique et soigné. Il conviendra aussi aux familles en quête d’un peu de repos.







Surtout que nous sommes en manque de parades et spectacles extérieurs en ces temps de restriction COVID-19 qui obèrent l’expérience Disney.

Pour sa réouverture après son second arrêt forcé lié à la crise sanitaire, Disneyland Paris ne revient pas totalement les mains vides.







Outre quelques nouveautés comme les nouveaux portiques, ou l’abandon contestée des Fast Pass, CARS ROAD TRIP remplace STUDIO TRAM TOUR.







L’objectif est de renouveler cette attraction très appréciée avec PIXAR, et de déplacement l’ancienne gare qui gênait l’extension prévue de ce parc.







C’est ainsi que cette attraction s’inscrit dans la continuité de Toy Story Playland et de la zone dédiée à l’Aventure Totalement Toquée de Rémy.







Même si on aurait préféré qu’elle soit en duo avec Cars 4 roues, on peut dire que cela apporte plus de cohérence à un parc qui en a bien besoin.







Avec cette thématisation, globalement réussie, un nouveau clou a été planté dans le cercueil du concept de parc dédié aux coulisses du cinéma.







Malheureusement les fans risquent de regretter le culte TRAM TOUR de la même façon que CinéMagique disparu le 29 mars 2017.







D’autant que le parcours est devenu bien plus court, avec pour seule scène marquante la refonte de Catastrophe Canyon… Un peu léger.







L’autre faiblesse est son point de restauration et ses snack prohibitifs et peu appétissants qui font polémiques auprès de certains visiteurs.







Nous prenons alors cette nouveauté comme un amuse-bouche avant la nouvelle zone Marvel, AVENGERS CAMPUS et celle sur Frozen.







En attendant nous découvrirons bientôt une autre refonte, celle de Disney Junior Live on Stage en Studio D : La Fabrique des Rêves Disney…







Catastrophe Canyon

Après 7 mois de fermeture en pleine crise sanitaire, nous avons eu plaisir à retrouver les joies des parcs à thème en ce jour de fête du 9 juin 2021.







Le parc s’offre ainsi une période de rodage avec quelques jours d’ouverture avant d’atteindre son rythme de croisière le 26 juin prochain.







L’occasion pour nous de profiter de ce parc que l’on aime pour son ambiance unique, et pour découvrir OBJECTIF MARS.







Nous avions manqué l’inauguration du premier roller-coaster du Futuroscope lors du premier confinement, l’occasion était trop belle.







Cette nouvelle attraction familiale vous propose de vivre un entrainement spatial en traversant plusieurs scènes jusqu’à un final surprise.







L’immersion est plutôt soignée de la file d’attente à la sortie, quant aux sensations elles sont plutôt modérées pour convenir au plus grand nombre.







Loin d’un Space Mountain, ici pas de looping, mais quelques sensations fortes lors des rotations en arrière et les quelques accélérations.







Représentant un budget de 20 millions d’euros, cette attraction qui n’utilise aucune franchise existante, permet de diversifier l’offre du parc.







En attendant de découvrir le nouveau show nocturne « La clé des songes », nous avons aussi testé la refonte de La Crêpe Volante et d’Aventure Eclabousse.







Ces mises à jour cachent en réalité de gros investissements d’ici 2024 : 4 attractions, 2 hôtels thématisés, et même un parc aquatique.







Nous plongerons donc, un jour prochain, la tête la première dans les toboggans de l’Aquascope, nous qui imaginions plutôt un parc sur le thème des jeux vidéo.

C’est à l’occasion d’une offre couplée Cyberpunk 2077 + Pack Premiere Edition offert que nous avons décidé de tester Google Stadia.







À l’instar de Nvidia GeForce Now, ou d’un Shadow (mais sans accès à Windows), Stadia est une offre de jeu dans les nuages : de Cloud gaming.







La promesse est alléchante. N’achetez plus de console, seules une manette et une connexion internet suffisent pour jouer aux meilleurs jeux.







Et ces jeux peuvent être jouables depuis un PC, un Mac, un smartphone, une tablette, et même le téléviseur via Chromecast Ultra en HDMI.







Cette offre a eu beaucoup de succès, l’occasion rêvée de tester, et sur le papier un bon choix puisque Cyberpunk est un ratage sur PS4 et Xbox One (et la version Stadia prétendument l’une des meilleures, avec celle sur PC).







La question est de savoir si, après cette découverte, Google va réussir à fidéliser au delà de ce jeu, et s’ils vont remettre cette expérience marketing.







De notre côté, malgré une très bonne connexion, l’aventure a été mitigée. D’abord des moments de jeu très pixelisés et saccadés malgré la fibre 2 Gb/s (en Ethernet, via une Bbox Ultym et son port 10G).







Aussi le Chromecast Ultra qui refusait d’utiliser la sortie audio HDMI, alors que l’Apple TV 4K fait ça très bien. Et pas d’application Apple TV…







La manette est quant à elle plutôt agréable à utiliser, sans être au niveau d’une Dualsense. Côté catalogue, mis à part Ubisoft et quelques exceptions notables, c’est encore très pauvre …







Sans des exclusivités aussi marquantes que celles que l’on trouve sur PS5 ou Nintendo Switch, il sera difficile pour Google de rivaliser avec les consoles …







Quant à Cyberpunk 2077, que dire qui n’ait déjà été dit … Cela a été pour nous aussi une grande déception. Malgré de bonnes idées, est très loin du chef d’oeuvre annoncé.

Développé par SUMO DIGITAL, Sackboy: A Big Adventure est un jeu de plateforme s’inscrivant dans la série Little Big Planet.







Bénéficiant de l’avantage d’une sortie simultanée au lancement de la PS5, son rôle est d’occuper le créneau des jeux familiaux multi-joueurs.







Alors que nous étions resté sur l’excellent Astro’s Playroom aussi sur PS5, le défi est devenu d’être aussi bon, et de ne pas paraître trop fade.







Contrairement aux précédents titres de la série, ce jeu de plateforme offre des perspectives et mouvements 3D isométriques complets.







Coloré et mignon, Sackboy propose une large variété de niveaux et de défis afin de récupérer chacun des objets disponibles.







Son point fort réside indéniablement dans son aspect multi-joueurs permettant de jouer en même temps et sur le même écran, jusqu’à 4 !







Si cette idée reprend celle qui a fait le succès de Super Mario 3D World, il n’en demeure pas moins que le gameplay manque un peu de folie.







Il a pour lui de nous rappeler que la Playstation ne va pas se limiter aux Open-worlds longs et fastidieux. Le genre n’est pas limité à la Switch !







De bonnes idées, comme les niveaux musicaux, mais le studio anglais a omis de tirer partie des performances de la PS5 et de sa Dualsense … !







Sackboy conviendra aux plus jeunes, surtout que les personnages peuvent être personnalisés à souhait avec de nombreux accessoires.







Si nous sommes pas contre une suite un peu plus originale, nous ne pouvons vous conseiller ce jeu qu’en seconde main et non 70 euros.