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    Quelle option surprenante est disponible sur Indigo Airlines ?

    Quelle option surprenante est disponible sur Indigo Airlines ?

    La compagnie aérienne Indigo Airlines offre une surprenante option à ses passagers. Ou plutôt à ses passagères. En effet, celles-ci peuvent choisir, au moment de la réservation, un "siège féminin".
    Elles sont alors assurées de se retrouver assises à côté d'une autre femme. La compagnie indienne met en avant le sentiment de sécurité que peuvent ressentir certaines voyageuses à l'idée de côtoyer une autre femme durant le voyage.
    D'autres arguments sont évoqués pour justifier la mise en place de cette nouvelle option. Certaines passagères auraient ainsi la perspective d'un voyage plus confortable. D'autres pourraient plus facilement nouer des contacts avec une autre femme qu'avec un homme.
    La compagnie rappelle également que cette initiative s'inscrit dans sa volonté de favoriser une plus grande égalité entre les sexes. Si l'on se souvient de la condition subalterne des femmes, dans la société indienne, et de la recrudescence de viols souvent impunis, une telle politique, de la part de la compagnie, ne manque pas de courage.
    Ce choix d'un siège "féminin" est réservé aux femmes voyageant seules ou avec leurs enfants. Le fait que cette modalité de voyage soit proposée par une compagnie indienne ne doit rien au hasard.
    En effet, les femmes indiennes empruntant l'avion sont souvent victimes d'agressions. Les agressions sexuelles, visant le plus souvent des femmes seules, ne sont pas rares, et pas seulement dans les avions indiens d'ailleurs. Pourtant, les voyageuses indiennes ressentent sans doute, plus que d'autres passagères dans le monde, un véritable sentiment d'insécurité à bord des avions.
    C'est pourquoi un siège "féminin", qui leur garantit la présence d'une autre femme à leurs côtés, durant le vol, doit leur paraître plus sûr. La compagnie veut d'abord tester cette nouvelle fonctionnalité, avant de l'intégrer de manière définitive à son offre.
    Cette option, unique en son genre pour l'instant, pourrait aussi fidéliser une clientèle déjà nombreuse. Fondée en 2005, Indigo, qui possède plus de 300 avions, est en effet la première compagnie indienne, notamment en termes de parts de marché.


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    • 1 min.
    Doit-on cesser de travailler en cas de non-paiement du salaire ?

    Doit-on cesser de travailler en cas de non-paiement du salaire ?

    Un salarié travaille toujours dans le cadre d'un contrat. Celui-ci entraîne des obligations pour les deux parties. Le salarié s'engage ainsi à travailler et l'employeur à lui verser un salaire.
    S'il cesse de le payer, alors que le salarié fournit un travail, cette action équivaut à une rupture du contrat de travail. Un salaire mensualisé devant être versé tous les mois, un retard de paiement répété, de plus d'1 ou 2 jours, équivaut au non-paiement du salaire.
    Dans ce cas, le salarié doit saisir le Conseil des prud'hommes. Il peut aussi invoquer une exception d'inexécution, un mécanisme qui permet, dans tout contrat, de suspendre l'exécution de ses obligations tant que l'autre partie ne remplit pas les siennes.
    Dans le même temps, il peut engager une procédure spécifique : la prise d'acte de la rupture du contrat de travail. Le non-paiement du salaire fait partie des motifs qui ouvrent droit à cette démarche.
    Par cette procédure, le salarié exprime sa décision de rompre le contrat qui le lie à un employeur avec lequel toute collaboration lui paraît impossible. Cette prise d'acte entraîne la rupture immédiate du contrat de travail.
    Le salarié doit prévenir son employeur, par courrier, de son intention d'engager une telle procédure. Il doit indiquer, dans cette lettre, les manquements qu'il lui reproche.
    Cette démarche peut être entreprise à tout moment, sauf si le salarié est en période d'essai. Elle se justifie même en cas de paiement partiel du salaire. En effet, l'employeur doit verser au salarié l'intégralité de sa rémunération. Si le motif invoqué par le salarié est jugé valide, il se trouve confronté à un cas de licenciement injustifié.
    Le salarié a donc tout à fait le droit de cesser le travail si l'employeur ne lui verse pas son salaire. Il n'est pas obligé, avant de s'y décider, de mettre en demeure son patron.
    Par contre, il serait dans son tort s'il arrêtait de travailler parce que son salaire a été suspendu. En effet, l'employeur pourrait agir ainsi en cas d'abandon de poste ou de mise à pied du salarié.

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    • 2 min
    Quel est l'impact économique des émeutes en Nouvelle Calédonie ?

    Quel est l'impact économique des émeutes en Nouvelle Calédonie ?

    Les violentes émeutes qui ont secoué la Nouvelle-Calédonie, à partir de la mi-mai, ont éclaté à cause d'un projet de révision constitutionnelle, vivement contesté par les indépendantistes, portant sur la composition du corps électoral.
    Au cours de ces journées agitées, les manifestants ont saccagé, et parfois pillé, de nombreux commerces et entrepôts et dressé des barrages sur les routes.
    Aussi cette révolte se solde-t-elle par un bilan matériel très lourd. Les dégâts pourraient se chiffrer à 200 millions d'euros, ce qui représente une somme considérable si on la rapporte au budget global de l'archipel.
    De très nombreux commerces sont partis en fumée et une centaine d'entreprises auraient été partiellement détruites. D'après le président de la Chambre de commerce et d'industrie de Nouvelle-Calédonie, environ 5 000 personnes auraient d'ores et déjà perdu leurs emplois.
    D'après lui, 7 000 personnes, au total, pourraient se retrouver au chômage à cause de ces émeutes. D'autres observateurs envisagent même la perte d'environ 20 000 emplois. D'autres sources évoquent 15 000 postes menacés, ce qui représente le quart de l'emploi salarié en Nouvelle-Calédonie.
    On ne s'étonnera pas, dans ces conditions, que la présidente du Medef local parle d'une véritable "catastrophe". Une situation d'autant plus préoccupante que la baisse du cours du nickel, principale ressource de l'archipel, avait déjà fragilisé son économie.
    Malgré un retour progressif au calme, la reprise de l'activité économique demeure très fragile. Ainsi, certaines boutiques du centre de Nouméa ont bien rouvert leurs portes, mais ne font encore que 15 ou 20 % de leur chiffre d'affaires habituel.
    Dans ce contexte, les élus de Nouvelle-Calédonie demandent à l'État de mettre la main à la poche. Conscients de la nécessité d'une intervention rapide des pouvoirs publics, les ministres de l'Économie et des Outre-Mer ont créé, avec des élus et des acteurs du monde économique local, une "cellule de crise économique".
    Elle devrait faire des propositions rapides pour permettre la reconstruction de l'archipel. En attendant, le ministre de l'Économie va demander aux assureurs de verser, dans les meilleurs délais, des indemnités substantielles aux sinistrés.

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    • 2 min
    Sommes-nous moins nombreux à prendre l'avion ?

    Sommes-nous moins nombreux à prendre l'avion ?

    Les préoccupations écologiques, et un coût moyen des billets assez élevés, ne semblent pas décourager les adeptes de l'avion. En effet, les passagers empruntant ce mode de transport devaient être plus nombreux que jamais cette année.
    D'après les chiffres de l'Association internationale du transport aérien (IATA), les compagnies aériennes devraient transporter près de 5 milliards de voyageurs en 2024. Soit davantage qu'en 2019, où un peu plus de 4,5 milliards de personnes avaient pris l'avion. Un chiffre qui faisait pourtant de 2019, un an avant le Covid, une année record.
    Cet afflux de passagers permet au secteur aérien d'engranger, cette année, un bénéfice de plus de 30 milliards de dollars. Ce qui ne s'était encore jamais vu.
    En fait, cet optimisme doit être nuancé. Tous les vols ne profitent pas de cette reprise. Elle concerne surtout les vols internationaux, qui enregistrent, en 2024, un nombre de passagers supérieur à celui de 2019.
    Mais ce n'est pas le cas des vols intérieurs. Dans ce domaine, le taux de remplissage des avions, en 2024, n'atteint que près de 80 % de celui de 2019. Ce qui s'explique en partie par les prix, ceux des vols intérieurs accusant une hausse de 21 % sur un an, alors que le coût des vols longs-courriers baissait, sur la même période, de près de 3 %.
    Les statistiques publiées par l'IATA devraient en tous cas rassurer les compagnies. Ce retour massif des passagers devrait renflouer en partie leurs caisses. De fait, durant l'épidémie de Covid, entre 2020 et 2022, les pertes se sont montées à plus de 180 millions de dollars.
    Cette embellie sur le front du voyage aérien ne résout cependant pas tous les problèmes. Les coûts de fonctionnement ont en effet beaucoup augmenté, notamment à cause de la hausse des prix du carburant. Selon l'IATA, ce seul poste de dépense se monte à plus de 290 milliards de dollars. De quoi compromettre la rentabilité de certaines compagnies.


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    • 1 min.
    Quels sont les nouveaux tarifs des consultations médicales ?

    Quels sont les nouveaux tarifs des consultations médicales ?

    Si les négociations entamées entre les syndicats de médecins et la Caisse nationale d'assurance maladie (CNAM), dans le cadre de la nouvelle convention tarifaire, devaient aboutir, les consultations médicales coûteront plus cher, à la Sécurité sociale ou aux patients.
    En effet, la consultation chez un médecin généraliste devrait passer de 26,50 euros à 30 euros. Mais le taux de remboursement de l'Assurance Maladie restera le même, 70 % de la consultation, soit 21 euros désormais.
    Le reste à charge des patients ayant une mutuelle, qui rembourse 30 % du prix de la consultation, devrait donc se limiter, comme aujourd'hui, aux 2 euros de la participation forfaitaire.
    Dans quelques cas limités, comme une sortie d'hospitalisation par exemple, le tarif de la consultation, chez un généraliste, pourra s'élever à 60 euros pour un patient âgé de 80 ans ou plus.
    Les tarifs des médecins spécialistes devraient être également revalorisés. Si le médecin est conventionné en secteur 1, il ne pratique pas de dépassements d'honoraires. Il pourra facturer sa consultation, en principe, entre 31,50 euros et 67 euros.
    Pour peu que le patient soit d'abord passé par son médecin traitant, ou qu'un accès direct au spécialiste soit possible, l'Assurance Maladie et la mutuelle le rembourseront dans les mêmes conditions qu'une consultation chez le généraliste. De ce fait, son reste à charge devrait se limiter à la participation forfaitaire de 2 euros.
    Certains spécialistes ont opté pour l'"option pratique tarifaire maîtrisée" (OPTAM). Dans ce cas, les conditions de prise en charge sont plus avantageuses. Le spécialiste peut fixer sa consultation à 40 euros, qui est le nouveau tarif retenu par la Sécurité sociale pour servir de base au remboursement.
    Dans ce cas, le patient n'aura à s'acquitter que de la participation forfaitaire. Si le spécialiste pratique malgré tout des dépassements d'honoraires, le remboursement, par l'Assurance Maladie et la mutuelle, sera plus notable, et le reste à charge plus minime, que la prise en charge prévue pour un spécialiste n'ayant pas accepté l'OPTAM.

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    • 1 min.
    Qu'est-ce que le nouveau logo « Origin'info » ?

    Qu'est-ce que le nouveau logo « Origin'info » ?

    Les consommateurs sont de plus en plus désireux de savoir d'où viennent les produits qu'ils consomment. Une demande qui répond autant à des préoccupations sanitaires qu'à la volonté de mieux protéger l'environnement.
    La mention de l'origine du produit, sur l'emballage, permettrait aussi de favoriser certaines productions locales ou nationales. Consciente des lacunes de l'étiquetage, dans ce domaine, la ministre de la Consommation vient d'annoncer la création d'un nouveau logo.
    De couleur bleue ou noire, ce logo, appelé "Origin'info", devrait être appliqué sur les produits transformés. Toutes les références ne sont donc pas concernées.
    L'origine des ingrédients utilisés pour confectionner le produit sera indiquée de manière simple, pour que le consommateur n'ait pas de doute à ce sujet. Si, par exemple, des tomates et de la viande entrent dans la composition d'un plat préparé, le consommateur trouvera, sur l'étiquette : "tomates Italie" et "porc France".
    Le pays d'origine doit donc être mentionné. Le fait de savoir que les ingrédients utilisés viennent d'Europe ne semble pas une information suffisante. Aussi des indications du type "UE", par exemple, ne sont pas acceptées.
    Ce logo permettra de connaître l'origine des produits primaires entrant dans la composition d'un plat préparé. Ainsi, le consommateur saura d'où vient le blé, par exemple, mais pas la farine permettant de confectionner les pâtes.
    Il est possible que le logo soit complété par des mentions supplémentaires. L'une indiquerait la part de chaque pays dans la composition finale du produit, l'autre le lieu de transformation de ce produit.
    Cette volonté de fournir aux consommateurs un logo détaillé et facilement lisible est cependant démentie en partie par la possibilité laissée aux industriels de remplacer ce logo par un QR code.
    Les associations de consommateurs saluent la mise en place de ce nouveau logo, mais déplorent qu'il ne soit pas obligatoire. En effet, pour l'heure, son apposition sur un produit demeure facultative.
    La ministre rappelle cependant que 80 industriels et distributeurs se sont engagés à l'utiliser. D'ici la fin de l'année, le logo "Origin'info" devrait ainsi figurer sur plus de 10 000 produits.

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