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Le balado Gestionnaires en action traite de l'actualité boursière avec différents gestionnaires de portefeuille.

  1. 5 NGÀY TRƯỚC

    Bourse: ignorer Donald Trump et ne pas imiter Warren Buffett

    GESTIONNAIRES EN ACTION. Plusieurs clients de Giverny Capital ont téléphoné à l'entreprise peu après l'annonce du retour de Donald Trump à la Maison-Blanche. François Rochon, président et gestionnaire de portefeuille chez Giverny Capital, soutient que cela lui a rappelé ce qui s'est passé il y a... huit ans, lorsque Donald Trump a amorcé son premier mandat comme président américain. «Beaucoup de clients étaient inquiets, mais ceux qui auraient retiré leurs investissements à ce moment auraient fait une erreur, puisque les marchés boursiers américains ont généré un rendement annuel moyen d'environ 12% depuis 2017», dit-il, précisant que la Bourse de New York a traversé trois marchés baissiers (des reculs de plus de 20% par rapport aux plus récents sommets historiques) durant la période. Actionnaire de longue date de Berkshire Hathaway (BRK.B, 472,06$US), François Rochon est revenu sur la diminution de la participation de la société dans Apple (AAPL, 228,52$US), qui s'est poursuivie durant le troisième trimestre. L'entreprise a en effet vendu environ 100 millions d'actions d'Apple durant le trimestre et se retrouve avec une participation de 300 millions d'actions. Berkshire a également terminé le troisième trimestre avec des liquidités de plus de 325 milliards de dollars américains, ce qui signifie, selon le gestionnaire, que l'emblématique dirigeant de l'entreprise, Warren Buffett ne trouve pas d'occasion à son goût en ce moment en Bourse dans le bassin des entreprises de très grande taille. À son avis, les investisseurs individuels, dont les moyens sont évidemment plus modestes, auront beaucoup plus d'options pour déployer leur capital et ne devraient pas s'asseoir sur leurs liquidités comme le fait l'Oracle d'Omaha. «Les investisseurs un peu plus dynamiques vont toujours trouver des titres qui sont en défaveur et aux évaluations attrayantes», dit-il. Il faut selon lui chercher les occasions d'investissement dans les secteurs qui n'ont pas la cote d'amour de Wall Street. Pour de l’information concernant l’utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr

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  2. 15 THG 11

    Investissement: le marché dispensé n'est pas pour tout le monde

    GESTIONNAIRES EN ACTION. Les investisseurs fortunés mais ne possédant pas la capacité d'effectuer des vérifications diligentes peuvent facilement se casser les dents sur le marché dispensé. Ce marché est celui des occasions d'investissement qui ne nécessitent pas l'émission d'un prospectus avant d'être distribuées. «Il faut savoir qu'un prospectus, ça coûte excessivement cher à produire et c'est une exigence réglementaire dont l'objectif est d'accumuler toutes les informations nécessaires pour aider les investisseurs à prendre une décision éclairée», explique Vincent Fournier, gestionnaire de portefeuille à Claret. Ce dernier ajoute que l'on va utiliser un placement dispensé pour essayer d'accumuler des fonds de manière économique. «Quand on parle de quatre ou cinq entrepreneurs qui se regroupent pour acheter une PME, ces gens-là n'ont pas besoin d'un prospectus. Ils vont engager leurs propres avocats et comptables pour réviser les états financiers de la cible qu'ils veulent acquérir», dit-il. Selon lui, les fonds de capital de risque qui investissent dans des sociétés en démarrage, les fonds immobiliers privés et les placements privés font aussi souvent partie du marché dispensé. Vincent Fournier soutient que le principal avantage d'opter pour un investissement dispensé en est un de diversification, car différent des actions, obligations, fonds communs et FNB traditionnels. «Le secteur comporte toutefois son lot de risques. Comme il s'agit de produits privés, ils se négocient peu ou pas. En l'absence de transactions, on peut penser qu'un investissement dont la valeur reste stable est sécuritaire. Par contre, quand on veut avoir notre argent par la suite, c'est là qu'on sait vraiment quelle est la valeur réelle de notre placement. On peut avoir des placements qui sont très bons, comme on peut avoir des placements qui sont très mauvais», dit-il. Vincent Fournier soutient qu'avant d'investir sur le marché dispensé, tout individu doit d'abord s'assurer d'être capable de faire le suivi des finances de l'entreprise comme le ferait un investisseur professionnel. Son premier conseil serait de dire aux gens de faire très attention avant de s'y risquer ou à la limite de regarder ailleurs.       Pour de l’information concernant l’utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr

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  3. 8 THG 11

    Bourse: l'élection de Donald Trump apporte de la stabilité sur les marchés

    GESTIONNAIRES EN ACTION. L'annonce du retour de Donald Trump à la Maison-Blanche a eu des effets positifs à très court terme sur les marchés boursiers, effets qui pourraient se prolonger. Sébastien Mc Mahon, stratège et gestionnaire de portefeuille à IA, gestion mondiale d'actifs, explique que Donald Trump a souvent parlé de reconduire des baisses d'impôts qui avaient été mises en place en 2017, mais aussi de déréglementation. «La déréglementation, c'est vu comme étant positif pour des secteurs comme les banques où la réglementation a été augmentée au cours des dernières décennies. Si on voyait un renversement, ça pourrait vouloir dire des marges bénéficiaires plus élevées, plus de prise de risque, mais aussi plus d'acquisitions et de fusions. Donc ça, ça vient créer un petit peu d'activité dans le domaine des banques, peut-être même des banques régionales», explique-t-il. Selon lui, le secteur des petites capitalisations pourrait aussi bénéficier d'un assouplissement de la réglementation. Le stratège rappelle toutefois que, généralement, les conseillers financiers recommandent toujours à leurs clients de ne pas positionner un portefeuille en fonction de la politique ou de la géopolitique. «Il faut s'assurer d'avoir une bonne gestion de risque et des portefeuilles qui sont bien diversifiés», dit-il. Il précise que les taux d'intérêt obligataires peuvent être plus élevés plus longtemps. La transition vers des niveaux plus élevés, c'est négatif pour un portefeuille d'obligations. Une fois que la transition est faite, ça rend toutefois les obligations un peu plus attrayantes.   La décision de la Réserve fédérale américaine était largement anticipée Il soutient aussi que la réduction de 25 points de base du taux directeur de la Réserve fédérale américaine annoncée le 7 novembre était largement anticipée par les marchés. Le taux est à présent dans une fourchette de 4,5% à 4,75%. «Les marchés prévoient que le taux sera de 4% d'ici un an, ce qui laisse de la place à deux ou trois autres baisses d'ici là», raconte-t-il.   Et les investisseurs canadiens dans tout ça? Selon Sébastien Mc Mahon, il faut encore attendre de voir quelle décision de Donald Trump va affecter l'économie canadienne. «Est-ce que les menaces de nouveaux tarifs douaniers vont être imposées? Nous, on continue de penser que ce n'est pas dans l'intérêt de personne, surtout pas des États-Unis, de se diriger vers une guerre tarifaire», estime-t-il. Il ajoute que la Chine semble être la principale cible du président désigné. «On verra, mais je vous dirais que ce qui est bon pour l'économie américaine a tendance à être bon pour l'économie canadienne», dit-il. Il n'a donc pas tendance à être nerveux pour le moment.     Pour de l’information concernant l’utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr

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  4. 1 THG 11

    Bourse: une rotation sectorielle est en marche

    GESTIONNAIRES EN ACTION. La saison des résultats financiers en cours montre qu’une rotation sectorielle est en marche à la Bourse de New York. Les résultats des géants des technologies, notamment ceux de Meta Platforms (META, 567,58$US) et de Microsoft (MSFT, 406,35$US), ont soulevé des inquiétudes sur les marchés financiers, soutient Julie Hurtubise, conseillère en placements principale à Gestion de patrimoine TD. Depuis le début du troisième trimestre, le secteur des technologies de l'information n'est d'ailleurs plus celui qui permet à l'indice S&P 500 de poursuivre sur sa tendance haussière, ce qui envoie un signal clair qu’une rotation sectorielle est en cours. «Une rotation des secteurs est exactement ce qu'on souhaite voir. C'est un moteur de marché aussi. Le rallye élargi des actions américaines rassure les investisseurs préoccupés par la concentration des rendements dans les 'Sept magnifiques'. La hausse des 493 autres titres nous laisse croire que la hausse de l'indice est soutenue par l'espoir que les conditions économiques favoriseront la croissance des bénéfices et la rentabilité des entreprises», explique-t-elle.  Julie Hurtubise ajoute que les titres valeur, dont les caractéristiques sont de se négocier à des ratios cours-bénéfices ou des valeurs comptables inférieurs à la moyenne du marché dans son ensemble, regagnent en ce moment la ferveur des investisseurs préoccupés par la concentration des indices dans les géants technologiques. Selon elle, le recul des taux d’intérêt aux États-Unis contribuera à soutenir la hausse des titres valeur et aidera à ralentir la progression de l’endettement américain, qui pourrait devenir un sérieux frein à la croissance économique du pays.   Pour de l’information concernant l’utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr

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  5. 25 THG 10

    Bourse: la Banque TD est loin d'en avoir fini avec les autorités

    GESTIONNAIRES EN ACTION. Le 10 octobre, la Banque TD (TD, 78,75$) a accepté de payer des amendes totalisant un peu plus de 3 milliards de dollars américains (G$US) auprès des autorités américaines. La banque a plaidé coupable à plusieurs chefs d'accusation pour des lacunes dans ses systèmes pour contrer le blanchiment d'argent. Marc L'Écuyer, gestionnaire de portefeuille à Cote 100, estime que l'entente constitue une bonne nouvelle pour la Banque TD, tout en expliquant que l'entreprise est loin d'en avoir terminé avec la justice américaine. «Ça va la suivre encore longtemps», croit-il. Un autre effet de cette entente, c'est que l'actif total des deux filiales bancaires américaines de la TD (TD Bank et de TD Bank USA) ne pourra pas dépasser 433 milliards de dollars américains jusqu'à nouvel ordre. «Ça va être certainement un frein à la croissance de l'entreprise aux États-Unis. D'ailleurs, les dirigeants ont déjà annoncé qu'ils allaient réorganiser un peu les actifs de la banque en vendant des actifs peut-être qui sont moins payants pour se concentrer sur des actifs qui rapportent plus. Ça va être dommageable parce que les perspectives de croissance de la Banque TD passaient beaucoup par les États-Unis», dit-il.   Une occasion d'achat sur faiblesse? Marc L'Écuyer est d'avis que le titre de la Banque TD a souffert du conflit juridique avec les autorités américaines et qu'il pourrait être intéressant de le regarder à sa valeur actuelle. «Je mettrais un petit bémol à ça, c'est que cette histoire va affecter la Banque TD longtemps. On peut faire un parallèle avec Wells Fargo, qui a vécu un scandale en 2016, il y a huit ans. La société est encore sujette à des contraintes liées à ce scandale! Dans le cas de la TD, on va probablement en parler longtemps, sauf qu'à un moment donné, à un certain point, est-ce que c'est le bon moment (d'acheter le titre)? Je ne veux pas conclure, mais ça commence à être intéressant», raconte-t-il.   Une bonne décision de la Banque du Canada Le gestionnaire de portefeuille a aussi commenté la décision de la Banque du Canada d'abaisser son taux directeur d'un demi-point de pourcentage le 23 octobre, pour le porter à 3,75%. «Je pense que c'était la bonne décision. Il y a beaucoup d'excédents en ce moment dans l'économie canadienne», dit-il, précisant que l'ampleur de la baisse lors de la prochaine réunion, en décembre, dépendra des données économiques qui auront été publiées d'ici-là.     Pour de l’information concernant l’utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr

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  6. 18 THG 10

    Les marchés financiers anticipent un taux directeur à 3,5% à la fin de l'année

    GESTIONNAIRES EN ACTION. Les marchés financiers anticipent que la Banque du Canada abaissera son taux directeur de 50 points de base lors de sa prochaine réunion, le 23 octobre. Nicolas Vaugeois, gestionnaire de portefeuille à Fiera Capital, estime toutefois que la robustesse des données sur l'emploi et le fait que les marchés boursiers soient à des sommets pourraient inciter la Banque du Canada à jouer de prudence et de réduire son taux directeur de seulement 25 points de base. «On pense qu'une coupe serait suffisante, mais la Banque du Canada devrait aller avec deux coupes (totalisant 50 points de base) si la situation économique est en réalité pire que ce que les chiffres nous laissent croire», dit-il. En ce qui concerne les marchés obligataires, Nicolas Vaugeois soutient que des baisses totalisant 75 points de base sont déjà anticipées d'ici la fin de l'année. «Le taux directeur est à 4,25% en ce moment et s'il devait reculer à 3,5% d'ici la fin de l'année, cela n'aura pas d'effet très important sur les obligations», raconte-t-il. Il ne croit pas non plus que le recul des taux d'intérêt provoquera une vente massive de titres obligataires qui profiterait à d'autres catégories d'actifs comme les actions.  Selon lui, les investisseurs pourraient toutefois explorer d'autres secteurs, comme les obligations mondiales ou multisectorielles, susceptibles d'offrir de meilleurs rendements. Nicolas Vaugeois concède que le marché obligataire américain reste beaucoup plus vigoureux que celui du Canada. «Il y a même certains économistes qui sont en train de remettre en doute la décision de la Réserve fédérale américaine d'avoir réduit son taux directeur de 50 points de base en septembre (pour le porter entre 4,75% et 5%). Les données économiques qui ont été dévoilées récemment ont été plus fortes que prévu», analyse-t-il. Selon lui, il y aura sûrement d'autres baisses de taux d'intérêt aux États-Unis, mais elles ne seront pas aussi prononcées que les marchés financiers ne l'anticipent. Pour de l’information concernant l’utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr

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  7. 11 THG 10

    Bourse: la scission d'Alphabet en plusieurs entités n'est pas pour demain

    GESTIONNAIRES EN ACTION. On a vu cette semaine le département américain de la justice (DOJ) déposer un rapport sur Alphabet qui évoque de possibles changements structurels pour l’entreprise, ce que beaucoup considèrent comme la scission de l'entreprise en deux entités ou plus. François Rochon, président et gestionnaire de portefeuille chez Giverny Capital, estime qu’il est encore beaucoup trop tôt pour savoir ce qui va vraiment arriver dans le cas d’Alphabet (GOOGL, 162,08$US), entre autres propriétaire de Google et de YouTube. «On parle de recommandations et d’opinions. D’une manière ou d’une autre, que la société soit scindée ou non, je ne crois pas que ce soit une bonne idée de vendre le titre d’Alphabet au cours actuel. Si on regarde l’évaluation du titre, qui se négocie à 21 fois les bénéfices prévus cette année, c’est très raisonnable», estime-t-il. Cette évaluation est même inférieure à celle de 23 fois les bénéfices de la moyenne des titres qui composent l’indice américain S&P 500, ce que François Rochon juge toutefois trompeur. «Si on prend les quatre plus grandes entreprises de l’indice, Apple (AAPL, 229,04$US), Microsoft (MSFT, 415,84$US), Nvidia (NVDA, 134,81$US ) et Amazon (AMZN, 186,65$US). Ces quatre entreprises ont un poids de 24% dans l’indice et se négocient en moyenne à 40 fois les bénéfices prévus. Cela veut dire que les 499 autres entreprises qui composent l’indice (il y a 503 sociétés dans le S&P 500, NDLR) se négocient en moyenne à 18 fois les bénéfices», explique-t-il. Selon lui, Alphabet mérite de se négocier à prime par rapport à la moyenne de 18 fois, car peu de sociétés possèdent des actifs qui ont un aussi grand avantage concurrentiel. Il réitère qu’à long terme, la Bourse finit toujours par refléter la juste valeur sous-jacente des entreprises, tout en reconnaissant qu’il y a parfois des épisodes d’exagérations, à la hausse comme à la baisse. Les marchés boursiers chinois ont d’ailleurs connu un épisode d’exubérance ces dernières semaines après que le gouvernement central ait annoncé de nouvelles mesures de relance de l’économie. «Nous n’avons pas de titre chinois en portefeuille, mais il y a encore quelques semaines, nous regardions de belles entreprises qui se négociaient à des évaluations beaucoup plus basses que celles qui prévalent aux États-Unis. Après les annonces gouvernementales, ces mêmes titres ont bondi de 20% à 30% en quelques jours», dit-il, même si rien n’a encore changé. François Rochon reconnaît toutefois qu’une éventuelle relance de l’économie chinoise pourrait aider à relancer le titre d’une entreprise qu’il détient en portefeuille, soit le fabricant de vêtements Lululemon (LULU, 273,58$US), dont les ventes en Chine sont en bonne croissance. Pour de l’information concernant l’utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr

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  8. 4 THG 10

    Bourse: tous les dividendes ne sont pas égaux

    GESTIONNAIRES EN ACTION. Les titres à dividende peuvent constituer de bonnes options pour les investisseurs qui souhaitent recevoir du capital sur une base récurrente sans avoir à vendre leurs titres. «Si on regarde le rendement du S&P/TSX et du S&P 500, la composante du dividende demeure quand même relativement importante. Quand on regarde l'indice S&P/TSX pour les dix dernières années, le rendement (annuel composé) lié au changement de la valeur a été 6,21%,  mais si on considère que les entreprises qu'on a détenues ont versé des dividendes, le rendement passe de 6,21% à 8,9%. Puis au niveau des actions américaines, c'est le même principe. Le rendement annuel composé a été de 9,6% au cours des dix dernières années. Si on ajoute le dividende, c'est 12,8%. Ça fait un changement important», note Vincent Fournier, gestionnaire de portefeuille à Claret.   Selon lui, il existe trois bonnes manières de «retourner de l'argent aux actionnaires» pour les entreprises qui créent de la valeur, soit de verser un dividende, de racheter de ses actions ou de procéder à des acquisitions pour éventuellement faire des versements encore plus importants.   À l'opposé certaines sociétés versent des dividendes pour de mauvaises raisons. «C'est une mauvaise idée pour une entreprise de verser un dividende quand elle se trouve à hypothéquer l'avenir de l'entreprise en ne réinvestissant pas assez dans son plan d'affaires. On pourrait considérer qu'une entreprise qui verse un dividende qui correspond à 50% et plus de ses flux de trésorerie libres, bien là, à ce moment-là, peut-être qu'elle ne réinvestit pas assez dans son plan d'affaires», dit-il.   Les exemples d'Innergex Énergie Renouvelable et de BCE Vincent Fournier parle d'Innergex Énergie Renouvelable (INE, 10,42$), qui a coupé son dividende de 50% en mars dernier, et de BCE (BCE, 45,88$) qui consacre plus de 100% de ses flux de trésorerie libres au paiement de ses dividendes. Pour de l’information concernant l’utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr

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Giới Thiệu

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