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Après la frappe meurtrière sur un camp pour déplacés à Rafah, les Palestiniens accusent Israël d'avoir commis un "massacre". L’Etat hébreu explique avoir visé un “complexe du Hamas”, tandis que le Croissant-Rouge palestinien affirme que le centre était placé dans une zone classée comme “humanitaire sûre” par l'armée israélienne elle-même. Des informations inexactes au jour de la frappe, mais qui révèlent la complexe classification imposée par les forces israéliennes.

Des tags de mains rouges peintes au pochoir ont été retrouvés le 14 mai dernier sur le Mur des Justes au Mémorial de la Shoah, à Paris. Les Justes sont les personnes qui ont aidé des Juifs pendant la Seconde Guerre mondiale. Aujourd’hui, on en sait plus sur l'origine de ces tags, dont le symbole n'est pas anodin. Derrière tout cela, il y aurait une possible ingérence russe. 

Depuis la mort du Président iranien, de nombreuses théories du complot circulent sur les réseaux sociaux. Certains accusent l’Inde d’être responsable de l’accident, d’autres ciblent Israël. Il s’agit en fait de fausses informations.

Plusieurs documents circulent sur les réseaux sociaux autour de la mort du Président iranien, Ebrahim Raïssi. Certains internautes prétendent notamment qu’il a survécu au crash de son hélicoptère. Ces documents sont tous sortis de leur contexte. Décryptage

Plusieurs publications sur les réseaux sociaux reprennent les images des émeutes en Nouvelle-Calédonie et accusent la police française d’être responsable de la mort de plusieurs habitants. Ces accusations sans fondement proviennent de comptes liés à l’Azerbaïdjan

L’armée israélienne a diffusé une vidéo montrant des hommes en arme, qu’elle présente comme des soldats du Hamas, autour d’un entrepôt de l’UNRWA à Rafah. Elle accuse l’agence onusienne de complicité avec le groupe terroriste. L’UNRWA dément et affirme que les lieux avaient été évacués le jour où ses images ont été filmées.