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Tous les matins, le journaliste Thomas Sotto, du lundi au jeudi, et ses confrères, Jeff Wittenberg ou Guillaume Daret, le vendredi, interviewent en direct pendant dix minutes une personnalité de la vie politique, sociale, économique ou culturelle, sur l'actualité du jour. Un entretien quotidien, inclus dans l'émission Télématin, sur France 2.

Les 4 Vérités France Télévisions

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Tous les matins, le journaliste Thomas Sotto, du lundi au jeudi, et ses confrères, Jeff Wittenberg ou Guillaume Daret, le vendredi, interviewent en direct pendant dix minutes une personnalité de la vie politique, sociale, économique ou culturelle, sur l'actualité du jour. Un entretien quotidien, inclus dans l'émission Télématin, sur France 2.

    La grande bataille de libération de Reconquête - Sarah Knafo est l'invitée du 14 mai 2024

    La grande bataille de libération de Reconquête - Sarah Knafo est l'invitée du 14 mai 2024

    Le festival de Cannes débute aujourd’hui, mardi 14 mai 2024. Le célèbre événement dédié au cinéma d’auteur est une nouvelle fois embourbé dans divers scandales : le manque de représentation de femmes réalisatrices et les accusations d’agression par neuf femmes à propos du producteur Alain Sarde. Une situation qui « effare » Sarah Knafo, membre du parti zemmouriste Reconquête !, invitée sur notre plateau. Elle déplore que le festival français soit « pris dans une tenaille idéologique avec, en amont, une sélection de plus en plus politisée, et, en aval, des rumeurs de scandales qui font de Cannes une cour d’assise ». Bien qu’elle indique « prendre en compte la parole des femmes », elle défend manifestement les hommes dont elle « regrette que la réputation soit salie » à cause du tribunal médiatique. Face aux passions qu’elle estime déchaînées par le « wokisme », la femme politique préfère « le progrès civilisationnel » de la justice et la dépassionnalisation des débats qu’elle induit. Quant à un #Metoo en politique, elle balaye la question : « Jamais ». En espérant, sans ironie, que Sarah Knafo ne soit pas la seule à voir le monde politique comme dénué de sexism

    Emmanuel Macron a annoncé se tenir prêt à un éventuel débat avec Marine Le Pen. Un débat auquel notre invitée ne croit « absolument pas ». Selon elle, cela fait 7 ans que « la France est enfermée dans le tango entre la macronie et le Rassemblement national » et que cela n’a « jamais servi aucun français ». Elle considère que la majorité et le parti d’extrême-droite sont interdépendants et se servent de l’autre dès qu’ils en ont besoin. Elle déplore une absence de changement depuis les dix années de présence de députés du Rassemblement national au parlement européen, et indique que « la France n’a plus le luxe de se payer des victoires qui ne servent à rien ». Face à ce qu’elle considère être un immobilisme du parti de Marine Le Pen, elle enjoint les français à soutenir sa liste en juin.

    Le programme de Reconquête !

    Au micro de Thomas Sotto, Sarah Knafo rappelle que Reconquête ! est un parti totalement « indépendant » et « autonome ». Une distanciation du Rassemblement national pour mettre en avant ce qu’elle pense être des spécificités du programme de ce deuxième parti d’extrême-droite. Elle précise ainsi vouloir engager une « grande bataille de libération » au lendemain des élections européennes, pour « libérer les français des 4 fléaux qui les enserrent », à savoir : la libération de l’islamisation et l’immigration, la libération des nations européennes de la technocratie bruxelloise, la libération de l’économie européenne, et la libération de la propagande « woke ». Elle conclut le déroulé de son programme en manifestant sa « confiance » en la « lucidité » des français pour la choisir dans les urnes le 9 juin prochain, et en sa tête de liste Marion Maréchal.

    Une différence avec le programme de Jordan Bardella qui ne saute pas aux yeux. Pourtant, elle le rappelle, le Rassemblement national et Reconquête ne font pas partie de la même famille politique. Un point de divergence pourrait se trouver au sujet de l’immigration, avec Reconquête ! qui place sa politique un cran au-dessus de son homologue d’extrême-droite en préconisant une « triple frontière » en réaction au pacte sur la migration. Ainsi, il s’agirait pour le parti d’Éric Zemmour, de défendre avec plus de force et l’utilisation de CRS la frontière française, ensuite la frontière européenne avec un blocus naval militaire, enfin les frontières des pays d’origines, dans le modèle du « no way » australien. Il faudrait, selon les candidats de Reconquête !, rappeler à ceux qui seraient tentés de migrer qu’il n’y aurait pas de raison pour eux de risquer leur vie parce que « s’ils viennent chez nous, il n

    • 11 min
    Choose France : la lueur d'espoir.... Bruno Le Maire est l'invité des 4V du 13 mai 2024

    Choose France : la lueur d'espoir.... Bruno Le Maire est l'invité des 4V du 13 mai 2024

    Pour la septième fois consécutive, la France va dérouler le tapis rouge aux investisseurs étrangers à l’occasion du Choose France, organisé en grande pompe à Versailles. Une rencontre au sommet où les dirigeants d'entreprise, les investisseurs et les décideurs politiques du monde entier se réunissent pour discuter des opportunités d'investissement en France. Entre discussions animées, présentations de projets et rencontres bilatérales, ce rendez-vous très attendu vise à renforcer les relations commerciales et à favoriser la croissance économique. En mettant en avant les atouts de la France en matière d'innovation, d'infrastructures et de main-d'œuvre qualifiée, Choose France est un événement clé pour stimuler les investissements et encourager la coopération internationale à l’heure où la France revoit sa copie pour redresser le trésor public. Plusieurs annonces importantes sont attendues ce lundi 13 mai 2024 notamment pour un montant de plus de 15 milliards d’euros d’investissements. Pas moins de 56 projets seront soumis à l’assemblée dont l’un des plus colossaux concerne Microsoft. Une lueur d’espoir dans un océan de dettes…

    « C’est un grand succès qui est dû à une politique économique qui est la même depuis sept ans […] Ça crée de l’activité sur tout le territoire, ça nous permet d’avoir de la croissance, ça nous permet d’avoir de l’activité dans des territoires reculés » se félicite Bruno Le Maire, ministre de l’Économie, des Finances et de la Souveraineté industrielle et numérique. À l’heure où les finances publiques sont dans le rouge, cet événement stratégique arrive à point nommé pour relancer la machine industrielle et tenir cet objectif : « redevenir une grande nation de production ». C’est une occasion historique pour la France […] de rouvrir des usines […] et de redevenir une grande nation de l’intelligence artificielle. Nous voulons accentuer cette avance » vante notre invité sur le plateau des 4 vérités. En effet, le sommet Choose France promeut une programmation tournée sur l’informatique et les nouvelles technologies. Des thématiques clés nullement choisies au hasard pour tenter de rivaliser avec les États-Unis et la Chine, maîtres en la matière, bien loin devant l’Europe. Et cette longueur d’avance ne semble pas freiner les ambitions de Bruno Le Maire, bien déterminé à rattraper les quelques wagons de retard : « Il faut qu’on privilégie l’innovation sur la régulation » affirme le ministre qui défend actuellement le projet de loi sur la simplification pour alléger la charge administrative « qui empêche nos TPE, nos PME et nos start-up de se développer rapidement ». « Débureaucratiser » la production française : tel est donc le leitmotiv du gouvernement depuis l’arrivée de Gabriel Attal à Matignon.



    La France Attractive… mais endettée !



    Si la France multiplie les projets d’investissement étrangers en France, le déficit commercial reste pourtant colossal et a même atteint un nouveau record à hauteur de 100 milliards d’euros. « Ça se résorbe mais c’est l’un des grands enjeux » concède Bruno Le Maire qui admet que la France a « renoncé à sa culture ouvrière », la faute à une politique économique bien ancrée dans le paysage depuis plus de 40 ans. Malgré le trou béant dans les finances publiques, la France conserve son statut de pays le plus attractif en 2023 selon le cabinet EY. Mais il reste également le plus endetté, bien au-dessus de la moyenne des Vingt-Sept. « La meilleure nouvelle qui soit tombée économiquement pour les Français depuis plusieurs mois, c’est que désormais, les salaires augmentent plus vite que l’inflation. Ceux qui travaillent vont pouvoir vivre mieux parce que l’inflation recule et le salaires continuent d’augmenter » tente de rassurer Bruno Le Maire. Pour résoudre la crise économique dans laqu

    • 11 min
    Protection animale et européennes, Hélène Thouy est l'invitée du 11 mai 2024

    Protection animale et européennes, Hélène Thouy est l'invitée du 11 mai 2024

    Le 3 mai, la Belgique a inscrit dans sa constitution le bien-être animal. L’article 7bis affiche désormais ces mots : « Dans l’exercice de leurs compétences respectives, l’État fédéral, les Communautés et les Régions veillent à la protection et au bien-être des animaux en tant qu’êtres sensibles. » Le pays voisin de la France est le sixième, après l’Allemagne ou l’Italie, à prendre cette décision historique. Est-ce la solution pour faire évoluer la place des animaux dans notre société ? Hélène Thouy, présidente et tête de liste du Parti animaliste aux élections européennes et invitée des 4 vérités, considère en effet qu’en France, « il faudrait suivre ce chemin. »

    La femme politique aborde les « mutilations » et « conditions extrêmes » dans lesquels certains animaux survivent dans les élevages intensifs. Ces élevages, par ailleurs, sont sources de pollution et de gaspillage de ressources et ils font courir « des risques sanitaires effroyables » aux concitoyens. Le but de Parti est, entre autres, de dénoncer ce modèle agricole qui « ne fonctionne pas et n’a jamais fonctionné » et de «porter une vision d’une société qui soit respectueuse de tous les individus. »



    Baisser la consommation animale de 5% dans les 5 prochaines années : l’objectif du Parti animaliste



    La baisse de consommation de viande est « inéluctable » selon Hélène Thouy, à la fois pour des « raisons éthiques » et pour des « problèmes de santé publique ». Le Parti vise une diminution de la consommation animale de 5% sur 5 ans. Comment ? En revenant, cite-t-elle, à « plus de rationalité ». « Pas le choix ! », martèle-t-elle. Dans un modèle agricole qui « ne permet pas de nourrir tout le monde », cette reprise en main de la consommation permettrait, de plus, de baisser le taux d’importation étrangère des protéines alimentaires servant à nourrir les animaux, actuellement de 70%.

    Endettement, conditions de travail « indignes », les éleveurs se trouvent également dans une situation « désespérée » et veulent sortir de ce modèle, assure Hélène Thouy. Pour les y aider, le Parti suggère d’allouer des subventions publiques à des modèles vertueux. « Nous avons les moyens financiers, il manque seulement la volonté politique ».

    Le Gouvernement annonce la création de l’étiquette « origine info » pour permettre plus de transparence et de traçabilité sur les produits alimentaires transformés. La tête de liste dénonce malheureusement un « gadget » et répète qu’il faut de nouvelles normes pour arrêter l’élevage intensif. « Il faut avoir le courage de dire que cela ne va pas ! »

    En 2019, lors des dernières Européennes, le Parti animaliste avait créé la surprise en recueillant 2,16% des voix. La responsable politique juge que l’Europe est un « très bon levier pour changer de modèle agricole pour aller vers un modèle vertueux et protecteur de tous ». Cette fois, le Parti vise plus de 5% afin d’avoir des eurodéputés qui iront défendre la cause animale au parlement européen, le seul modèle « responsable, éthique, et rationnel », insiste-t-elle. Pour elle, les autres formations politiques n’ont pas pris conscience des enjeux animaux. C’est pourquoi le parti continue de faire cavalier seul.

    • 8 min
    Elections européennes, trêve à Gaza, guerre en Ukraine... Guillaume Lacroix est l'invité du 10 mai 2024

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    • 8 min
    La sortie du livre « Le couteau » - Salman Rushdie est l’invité du 9 mai 2024

    La sortie du livre « Le couteau » - Salman Rushdie est l’invité du 9 mai 2024

    Le 12 août 2022, dans la ville de Chautauqua, aux Etats-Unis, et alors qu’il s’apprête à monter sur scène pour donner une conférence sur l’importance de préserver la sécurité des écrivain, Salman Rushdie, le célèbre écrivain britannique, auteur entre autres des Versets Sataniques, est victime d’une attaque terroriste. Poignardé au moins 15 fois, il reçoit des coups à l’abdomen et au cou, avant que l’agresseur ne soit maîtrisé par des membres de l’assistance. Directement transporté à l’hôpital et opéré en urgence, il survit mais perd l’usage de son œil droit. Deux ans plus tard, il s’arme de sa plume et publie « Le couteau » chez Gallimard, le récit de cette tentative d’assassinat.

    Actuellement à Paris pour recevoir le Prix Constantinople qui récompense les auteurs faisant le pont entre les cultures et civilisations orientales et occidentales, il indique trouver le caractère hasardeux des prix littéraires « formidable ». Au micro de Thomas Sotto, il revient sur l’importance d’écrire pour retrouver la force qu’il avait perdue suite à l’attaque, une manière pour lui de « recontrôler le récit ». Vivant depuis 33 ans sous menace de mort, depuis qu’il est objet d’une fatwa par le « Guide suprême » iranien Rouhollah Khomeini, il dit avoir « très souvent imaginé la possibilité que quelqu’un l’attaque ».

    Une vie placée sous le signe de la peur

    « C’est donc toi, te voilà », écrit-il dans son nouveau roman. L’écrivain britannique vivait avec la perspective d’être victime d’une tentative d’assassinat depuis la fin des années 1980, bien qu’ayant pris l’habitude de vivre avec la peur. Il précise : « Un jour, j’ai cessé d’imaginer ça, parce que cela faisait 25 ans que ma vie était normale à New-York, mais en réalité, ce chapitre n’était pas clôt ». Il voit une « exception » en le jeune homme de 24 ans qui l’a agressé, manifestement radicalisé au Liban après y avoir visité son père, et en quête d’une cible pendant plusieurs années. Les quelques mots que l’écrivain d’origine indienne daigne lui accorder : « Bonne vie en prison ». Il estime en fait lui avoir tout dit dans son livre, et qu’il suffit à son agresseur de le lire, même s’il doute qu’il le fasse.

    « Cela fait des années que je vis avec la peur, c’est un sentiment que je connais bien et j’ai développé des techniques pour le mettre de côté ». La peur comme une habitude, donc, pour quelqu’un de menacé par les extrémistes, mais pas de colère. Même après son attaque, Rushdie considère ne pas avoir ressenti de colère, mais de s’être inquiété de savoir où étaient ses clés et sa carte de crédit, porté par un esprit de vie : « je n’avais pas prévu de mourir ce jour », avoue-t-il. Un besoin nécessaire d’aller de l’avant pour se remettre de l’attaque, guérir et survivre, que la colère bloquerait : « j’ai l’impression que la colère vous fait reculer ».

    À propos du débat Israël-Palestine qui embrase les universités à travers le monde, bien qu’il se montre compréhensif face au besoin de s’exprimer des étudiants, l’écrivain prévient qu’il ne faut pas pour autant que la situation dégénère ni que des étudiants, notamment juifs, se sentent menacés. Il continue avec sa carrière littéraire pour lutter à sa manière contre les fondamentalistes, parce qu’il « n’aime pas l’idée qu’ils puissent gagner ». Volonté ou brin de naïveté, il conclut que « le stylo sera toujours plus fort que le couteau ».

    • 10 min
    La flamme olympique arrive à Marseille - Sabrina Agresti-Roubache est l'invitée du 8 mai 2024

    La flamme olympique arrive à Marseille - Sabrina Agresti-Roubache est l'invitée du 8 mai 2024

    En cette édition spéciale de Télématin, en direct de Marseille qui s’apprête à recueillir la flamme olympique pour le début de son parcours en France jusqu’à la capitale et le lancement des Jeux Olympiques le 26 juillet prochain, Thomas Sotto reçoit une marseillaise pure souche : Sabrina Agresti-Roubache, secrétaire d’État chargée de la Ville et de la Citoyenneté. Pleine d’émotions, de fierté et de joie, mais aussi « stressée que tout se passe bien », elle s’enorgueillit pour sa cité phocéenne qu’elle considère « toujours au rendez-vous pour les moments historiques ». Avec les quelque 6000 forces de l’ordre mobilisées par le ministre de l’Intérieur Gérald Darmanin, la conseillère régionale de Provence Alpes Côte d'Azur n’exprime pas une once de peur pour le bon déroulement de l’événement et estime que « tout est fait pour que tout se passe dans les meilleures conditions de sécurité ».

    D’une bonne humeur inébranlable, elle espère qu’un événement historique comme les Jeux Olympique servira à ressouder le pays. Elle insiste sur l’aspect éminemment populaire du sport, qu’elle tente de faire partager par le plus grand nombre : elle rappelle avoir « sanctuarisé 20 000 places dans les quartiers prioritaires de tout le pays » pour permettre de faire vivre les Jeux aux enfants défavorisés. Quant au risque de grève par certaines professions comme les éboueurs ou les cheminots, Sabrina Agresti-Roubache les implore d’éviter de « gâcher la fête » et de garder leurs revendications pour un autre moment, bien qu’elle rappelle son attachement au droit de grève.

    Marseille au centre des attentions

    La préfecture des Bouches-du-Rhône est au cœur de plusieurs plans gouvernementaux qui visent à l’amélioration de ses infrastructures et conditions de vie, à commencer par « Marseille en grand ». Lancé en septembre 2021 lors d’un discours du Président de la République au palais du Pharo, il s’agit d’un vaste projet de rénovation de la ville (écoles, transports, logement…) soutenu financièrement par l’État. Une ambition qui a fait froncer les sourcils de la Cour des comptes, qui reprochait au plan un manque de structure et de calendrier, ce à quoi notre invitée du jour a « la lourde tâche » de remédier. Réfutant l’idée que ce plan soit une « coquille vide », elle met en avant le « sauvetage » d’une centaine d’écoles délabrées qui vont être rénovées grâce aux 7 milliards d’euros débloqués pour rendre la ville plus attractive.

    Autre projet phare de la majorité pour soutenir Marseille : « Place nette XXL », pour lutter contre la délinquance qui gangrène les quartiers populaires. En bonne élue Renaissance, Sabrina Agresti-Roubache salue cet effort pour « nettoyer » les quartiers populaires. Ayant elle-même grandi en HLM, celle qui projette de devenir maire de Marseille rêve qu’il n’y ait plus aucun quartier prioritaire dans sa ville. Si elle « n’a pas attendu de faire de la politique pour s’engager pour sa ville », c’est grâce à celle-ci qu’elle peut envisager les choses en grand pour « donner aux petits enfants ce qu’elle n’a pas eu », à commencer par le délogement des délinquants qui « pourrissent la vie des quartiers ». Elle rappelle, en prévision pour les européennes de juin, que face à la violence, l’insécurité et la délinquance, le vote pour l’extrême-droite est une chimère, que « rien n’est fatalité » et que « tout peut être changé ».

    • 10 min

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