LP STORY

LP STORY

Présentation d’un album légendaire du catalogue musical

  1. 08/13/2016

    Aftermath – LP Story

    LP Aftermath / Rolling Stones Souvent considéré par les fans comme le meilleur album des Rolling Stones, Aftermath sort en Angleterre le 15 avril et aux Etats-Unis le 20 juin 1966. Comme c'était souvent le cas à l'époque, les Beatles n'échappent pas à la règle, le tracklisting des deux éditions et leurs couvertures sont différentes. On retrouve sur l'édition US le tube Paint It Black, qui remplace Mother's Little Helper qui est présent sur l'édition britannique. Aftermath jouit d'un respect particulier pour plusieurs raisons. Tout d'abord, c'est le premier album des Stones entièrement signé Jagger/Richards. Ensuite, chaque morceau possède sa propre ambiance, passant du rock mid-tempo de Under My Thumb au romantisme médiéval de Lady Jane. Côté arrangements, Brian Jones est sûrement à son plus haut niveau, mais il résiste déjà mal à la prise de pouvoir sur le groupe du trio infernal que constituait alors Mick Jagger, Keith Richards et le producteur Andrew Loog Oldham. Néanmoins, c'est à Jones que l'on doit des arrangements inédits pour le groupe qui le feront passer pour la critique musical de l'époque du statut de petit groupe anglais de rhythm'n'blues blanc à formation créatrice et innovante concurrençant les Beatles. Une pseudo rivalité qui sera d'ailleurs bien exploitée tant par les médias que les maisons de disques respectives des deux groupes. Aftermath se classera 2ème des charts américains et figure à la 107ème place des 500 meilleurs albums de tous les temps selon le magazine Rolling Stone. Que ce soit pour parfaire votre connaissance de l'histoire du rock ou pour le simple plaisir des oreilles, Aftermath doit figurer dans vos playlists #LP_Story ! Restez bien connectés à RIFFX.fr et aux applis mobiles RIFFX, on a plein d'autres albums à vous conseiller, qu'ils soient d'hier ou d'aujourd'hui, c'est ça Radio RIFFX !

    2 min
  2. 08/29/2016

    Tommy

    LP Tommy / The Who (retard S1 2016 09082016) 49 Si le grand public ne garde en mémoire que les succès commerciaux du single Pinball Wizard et la prestation légendaire de We're not gonna take it au festival de Woodstock, l'album Tommy des Who est pourtant une pierre angulaire de l'histoire de la musique, pour avoir été le premier opéra-rock. Paru le 23 mai 1969, il permit au groupe de Pete Towshend, Roger Daltrey, Keith Moon et l'énigmatique John Entwistle de compter au même rang que les Beatles, les Rolling Stones, Pink Floyd et Led Zeppelin. L'idée d'une pièce théâtralisée aurait trotté dans la tête de Pete Towshend depuis 1968. Tommy raconte l'histoire d'un petit garçon né aveugle, sourd et muet et qui devient champion de flipper et finit par retrouver ses sens. Il atteint le statut de de gourou, mais ses adeptes finiront par le rejeter. Si l'histoire est un peu confuse, certains morceaux furent à l'époque considérés comme si violents que la BBC et d'autres radios censurèrent Tommy. Mais elles durent se rendre à l'évidence : Tommy avait conquis le public et il se classera deuxième au Royaume-Uni, 4ème aux Etats-Unis où il resta dans les charts presque deux ans et demie. Nul n'est surpris donc que le Rolling Stone Magazine positionnera Tommy à la 96ème place de son classement des 500 meilleurs albums de tous les temps. Une pièce majeure à playlister impérativement dans vos lecteurs, #LP_Story ! Merci d'avoir choisi Radio RIFFX, Angélique a déniché pour vous une nouveauté album qu'elle va s'empresser de vous présenter, c'est dans quelques instants sur RIFFX.fr et sur l'application mobile RIFFX, après qu'Anthony nous ait enchaîné quelques petites perles bien d'aujourd'hui, on profite !

    2 min
  3. 10/28/2016

    Never Mind The Bollocks Here‘s The Sex Pistols – LP Story

    LP Story Never Mind The Bollocks Here's The Sex Pistols 24.10.2016 Evoquer la carrière studio des Sex Pistols est assez simple puisqu'elle ne se résume qu'à un seul album studio, Never Mind The Bollocks, Here's the Sex Pistols. Mais heureusement pour nous, l'histoire de la genèse de ce pilier du rock en général et du punk en particulier est si riche en anecdotes et faits improbables qu'il faudrait au moins 10 chroniques comme celle-ci pour toutes vous les raconter. Pour commencer, cet album faillit tout simplement ne jamais voir le jour. Nous sommes en 1976, dans un Londres où de plus en plus de jeunes s'habillent dans des accoutrements inédits et écoutent en boucle les albums des Ramones. C'est dans une rue de Londres en particulier que les punks londoniens se retrouvent, du côté de King's Road à Chelsea. Et c'est dans un magasin bien précis que les musiciens qui formeront l'embryon des Sex Pistols aiment aller, le Too Fast to Live, Too Young to Die, tenu par Malcolm McLaren et Viviennne Westwood. Ces deux figures de la contre-culture britannique sont un peu les chaperons du mouvement Punk. Malcolm McLaren devient rapidement le manager des Sex Pistols. Un premier contrat est signé avec EMI, puis résilié. Idem avec A&M Records, après que Sid Vicious soit devenu violent dans les locaux du label. Ce sont finalement Barclay en France et Virgin Records au Royaume-Uni qui signeront les Sex Pistols. Mais Richard Branson, le patron de Virgin, ne s'est pas tout de suite aperçu qu'il n'avait les droits que pour la Grande-Bretagne. Or des copies pirates de l'album commencent déjà à circuler, et la notoriété des Sex Pistols est assez grande grâce à 3 singles et surtout des passages télé remarqués pour leur attitude…euuuuh, on dira désinvoltes… Tout sera fait pour interdire l'album, jusqu'à l'usage du mot bollock, qui veut dire couille en anglais. Mais l'avocat du groupe démontrera que ce terme vient du vieil anglais et signifiait prêtre, donc le titre n'est que du non-sens purement britannique. Un coup de maître qui permit à plusieurs générations de pogoter sur God Save The Queen, Anarchy in the UK ou encore Holidays in the sun, des titres aussi majeurs que My Generation ou Satisfaction. Et une bonne raison pour avoir dans vos playlists, Never Mind The Bollocks, Here's The Sex Pistols, #LP_Sto

    2 min
  4. 05/01/2017

    Someday Man – LP Story

    Pour les cinéphiles, l'évocation de Paul Williams est synonyme de " Phantom of the Paradise ", le chef d'oeuvre de Brian de Palma dont il composa la bande originale et où il tient le rôle de Swan. Un film où les Daft Punk puisent sans cesse des sources d'inspiration et qui les poussèrent à demander à Paul Williams de chanter le morceau " Touch " sur Random Access Memories. Pour les amateurs de raretés et de pop-music, Paul Williams est avant tout le signataire de " Someday Man ", son premier album sorti en 1970 et co-écrit avec son acolyte du moment, Roger Nichols. C'est d'ailleurs avec lui qu'il signe la chanson-titre, une chanson qui connut un an plus tôt un relatif succès grâce aux Monkees, avec Davy Jones derrière le micro. L'intérêt de " Someday Man " réside dans les fondations que Paul Williams jette d'emblée en termes de composition, d'arrangements et de direction musicale. Grâce à une voix aussi mélodieuse que particulière, il donne à des titres comme " Trust " ou " To put up with you " des lettres de noblesse rarement reconnues à leur juste valeur. C'est pourquoi il nous paraît important de vous conseiller d'écouter " Someday Man ", le premier album de Paul Williams, que vous classerez directement au rayon LP Story by RIFFX pour les soirées à venir avec votre chéri(e)… Chroniques, sorties albums et rendez-vous festivals, c'est pour vous sur l'application mobile RIFFX, à télécharger gratis sur l'App Store et sur Play.

    1 min
  5. 06/11/2017

    Lust For Life – LP Story

    Dans les grandes collaborations qui ont marqué l'histoire du Rock, le duo qu'ont formé David Bowie et Iggy Pop est l'un des plus détonants. L'album Lust for Life sera la deuxième occasion pour les deux musiciens de démontrer qu'une vie pouvait exister après les Stooges, le groupe d'Iggy Pop. 2ème occasion car il sortit cette même année 1977 que The Idiot, la première galette solo de l'Iguane du Rock. Lust For Life fut écrit, enregistré et mixé en seulement 8 jours dans un studio berlinois. A peine la tournée promo de The Idiot terminée, les deux compères se retrouvaient au printemps du côté ouest de la capitale allemande pour une bataille d'ego à la hauteur de l'enjeu. Iggy Pop racontera qu'il était tellement impressionné par la rapidité d'exécution de Bowie qu'il devait toujours aller plus vite. Résultat, David s'inspirera des techniques d'écriture d'Iggy pour la préparation de Heroes… Voilà ce qu'on appelle de l'émulation rentabilisée. Vingt ans plus tard, Danny Boyle donnera à la chanson-titre une seconde jeunesse en la synchronisant avec la première séquence de son film Trainspotting. La course effrénée d'Ewan Mc Gregor sur l'intro à la batterie restera parmi les meilleures ouvertures de film. Mais il ne faut pas non plus oublier The Passenger, qui permit à Iggy Pop d'inonder les programmations radio à la fin des années 70. Et ne pas laisser de côté Tonight, Sixteen ou encore Fall in love with Me… Il reste encore des dizaines d'arguments pour vous convaincre de mettre Lust for Life dans votre playlist LP Story by RIFFX, ou comment David Bowie et Iggy Pop fermèrent la parenthèse enchantée du Glam-Rock pour ouvrir celle du punk-rock…

    1 min

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