Choses à Savoir TECH

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  1. SpaceX lancera 5x plus de fusées en 2025 ?

    HACE 9 H

    SpaceX lancera 5x plus de fusées en 2025 ?

    SpaceX accélère son ambition spatiale avec Starship, un vaisseau au cœur des prochaines missions lunaires Artemis et de la future colonisation de la Lune. Et ce n’est qu’un début. Elon Musk rêve déjà d’envoyer des centaines de Starship vers Mars, à condition de valider les technologies nécessaires. Après des débuts hésitants en 2023, marqués par des échecs, SpaceX a franchi un cap. Le vaisseau a été mis en orbite avant de revenir sur Terre. Lors de sa cinquième mission, un exploit technique a retenu l’attention : le premier étage Super Heavy a été récupéré en plein vol grâce à la pince géante Mechazilla.  Désormais, SpaceX veut augmenter la cadence. La firme affirme que ses technologies sont suffisamment mûres pour abandonner les vols suborbitaux dès l’an prochain et réduire la durée des mises à feu statiques avant les lancements, grâce aux données collectées. L’objectif ? Des récupérations spectaculaires de Starship et Super Heavy, non seulement sur la terre ferme mais aussi sur des barges flottantes. Pour ces manœuvres délicates, SpaceX prévoit d’embarquer davantage de carburant, garantissant ainsi une solution de secours en cas de problème technique : un amerrissage contrôlé.  Malgré cette ambition, la prudence reste de mise. SpaceX prévoit moins de 20 échecs majeurs au cours des cinq premières années du programme. Ces incidents pourraient entraîner des explosions suivies d’amerrissages de débris dans l’océan, mais l’entreprise se dit confiante dans la fiabilité croissante de ses tirs. Avec Starship, SpaceX n’envisage pas seulement de repousser les limites de l’exploration spatiale : elle redéfinit la manière dont nous imaginons atteindre les étoiles, en visant la Lune et, bientôt, Mars. Une véritable révolution dans l'histoire de l’humanité. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.

    2 min
  2. TV : Comment Apple compte-t-il conquérir le marché ?

    HACE 1 DÍA

    TV : Comment Apple compte-t-il conquérir le marché ?

    Apple a flirté à plusieurs reprises avec l’idée de produire un téléviseur signé de sa célèbre pomme. Pourtant, des contraintes financières et logistiques ont rapidement refroidi l’entreprise. Le marché des téléviseurs, avec ses faibles marges et son faible taux de renouvellement, n’a pas convaincu les dirigeants. Mais Apple ne s’est pas pour autant éloigné de nos salons. Avec l’Apple TV et son service de streaming Apple TV+, la marque a trouvé une place dans l’univers télévisuel.  Et l’histoire pourrait connaître un nouveau tournant. Mark Gurman, expert des projets Apple, évoque dans sa newsletter *PowerOn* une autre piste : une clé TV, à la manière de l’Amazon Fire TV Stick ou du Google TV Streamer. Ce petit appareil offrirait un accès simplifié et abordable à l’écosystème Apple, notamment tvOS, l’App Store et les services de streaming. Une manière pour l’entreprise de rattraper son retard sur des concurrents bien établis. Gurman imagine même une gamme segmentée, à l’image des autres produits Apple : un modèle de base, l’Apple TV SE, jusqu’à une version haut de gamme, l’Apple TV Max, offrant des performances optimales en streaming et en jeu vidéo.  Ce projet s’inscrirait dans une stratégie plus large, qui voit Apple se tourner vers la domotique. Dès l’année prochaine, un iPad fixé au mur pourrait être lancé pour piloter les objets connectés d’un foyer. Avec cette orientation, Apple vise à renforcer sa présence dans nos maisons tout en s’adaptant à un marché toujours plus compétitif. Si cette clé TV venait à voir le jour, elle marquerait un tournant stratégique, confirmant une fois encore la capacité d’Apple à réinventer son rôle dans nos quotidiens.  Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.

    2 min
  3. Microsoft va vendre des ordinateurs quantiques en 2025 ?

    HACE 2 DÍAS

    Microsoft va vendre des ordinateurs quantiques en 2025 ?

    L’informatique quantique, longtemps confinée aux laboratoires, fait un pas de géant vers la réalité. Lors de la conférence Microsoft Ignite 2024, Microsoft et son partenaire Atom Computing ont annoncé avoir atteint un nouveau record : l’enchevêtrement de 24 qubits logiques, une prouesse technologique qui pourrait transformer le paysage informatique mondial.  Les qubits logiques, unité de base des calculs quantiques, sont créés à partir de qubits physiques, eux-mêmes constitués d’atomes neutres maintenus en lévitation par des faisceaux laser ultra-précis. Cette technologie repose sur les principes de la mécanique quantique pour réaliser des calculs impossibles pour un ordinateur classique. Mais le véritable exploit réside dans la stabilité du système. Les ingénieurs ont résolu un problème majeur : l’instabilité des atomes neutres, qui ont tendance à se volatiliser. Une caméra ultrasensible capture leur position initiale, tandis qu’un suivi en temps réel grâce à leur luminescence garantit leur maintien. « Nous avons démontré non seulement la possibilité d’effectuer des calculs, mais aussi de protéger ces qubits contre les erreurs », explique Krysta Svore, vice-présidente de Microsoft Azure Quantum.  Les performances sont déjà impressionnantes : l’équipe a exécuté un algorithme quantique sur 20 qubits logiques, mobilisant 80 qubits physiques, avec une efficacité exponentielle par rapport à l’informatique classique. « C’est comme chercher une aiguille dans une botte de foin en un seul coup d’œil », résume l’exploit. Avec des machines intégrant plus de 1 000 qubits physiques prévues pour l’an prochain, les applications en chimie et science des matériaux se dessinent. Pour un usage domestique, il faudra encore attendre, mais une nouvelle ère informatique est bel et bien en marche.  Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.

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  4. Donald Trump et Elon Musk au sommet de l’IA 2025 en France ?

    HACE 5 DÍAS

    Donald Trump et Elon Musk au sommet de l’IA 2025 en France ?

    Depuis Rio, en marge du G20, Emmanuel Macron a annoncé un projet ambitieux : un sommet international sur l’intelligence artificielle, prévu en février 2025. Parmi les invités d’envergure, le futur président américain, Donald Trump, et son allié de longue date, Elon Musk. Une rencontre qui pourrait marquer un tournant dans la gouvernance mondiale de l’IA.  Le casting s’annonce impressionnant. Outre Donald Trump, Elon Musk, récemment nommé à la tête d’une commission américaine de réduction des dépenses publiques, a été convié pour partager son expertise. La Chine et l’Inde, deux géants technologiques, seront également à la table des discussions, avec la confirmation de la venue du Premier ministre indien, Narendra Modi. Avant cela, une réunion préparatoire se tiendra dès le 6 décembre avec des entrepreneurs et des universitaires américains, pour poser les bases de ce sommet stratégique. La France entend bien se positionner comme leader européen sur l’IA. Déjà en mai dernier, elle lançait un plan ambitieux visant à former 100 000 experts par an, avec en fer de lance Mistral AI, pépite nationale du secteur. Ce sommet représente donc une opportunité unique pour la France de démontrer son rôle clé dans ce domaine en pleine effervescence, alors que les enjeux économiques et éthiques autour de l’IA s’intensifient.  Cependant, certaines voix s’élèvent. La souveraineté française pourrait-elle être mise à mal face à des géants comme les États-Unis ou la Chine ? "Mieux vaut être actif et force de proposition, que passif et dépendant d’investissements étrangers", soulignent des observateurs. En tout cas, ce sommet, s’il tient ses promesses, pourrait accélérer les collaborations internationales en IA et affirmer la place de la France dans une course technologique déterminante pour l’avenir. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.

    2 min
  5. Google menacé de vendre Chrome ?

    HACE 6 DÍAS

    Google menacé de vendre Chrome ?

    Fin Novembre le Département de la Justice américain (DoJ) a frappé fort contre Google. Pour briser le monopole du géant sur la recherche en ligne et la publicité, des mesures drastiques ont été dévoilées, dont une proposition choc : la cession de Chrome, son navigateur emblématique. Accusé d’étouffer la concurrence, Google aurait utilisé Android et Chrome pour imposer son moteur de recherche par défaut, verrouillant ainsi le marché et excluant ses rivaux. Selon le DoJ, cette stratégie limite l’innovation, gonfle les coûts publicitaires et crée une dépendance forcée à l’écosystème Google.  Le Proposed Final Judgment (PFJ) présenté par le DoJ vise à démanteler cette domination. Outre la cession de Chrome, le texte propose de retirer les préinstallations des outils Google sur les appareils mobiles et d’introduire un écran de choix permettant aux utilisateurs de sélectionner un autre moteur de recherche. Une mesure cruciale, alors que Chrome est bien plus qu’un navigateur : c’est un portail stratégique pour capter données et utilisateurs.  Autre proposition clé : obliger Google à partager son index de recherche avec ses concurrents, à coût marginal, pour leur permettre de développer des services compétitifs. Les annonceurs, quant à eux, bénéficieront de plus de transparence et pourront exporter leurs données. Google a vivement réagi, dénonçant des mesures "disproportionnées" et "dangereuses". Selon la firme, ces propositions risquent de compromettre la sécurité des utilisateurs et freiner l’innovation. Elle se dit prête à défendre son modèle devant la justice. Ce bras de fer n’est pas terminé : la justice américaine devra trancher dans les mois à venir. Si le PFJ est adopté, c’est tout l’écosystème numérique mondial qui pourrait être redessiné, ouvrant une nouvelle ère pour les moteurs alternatifs et les consommateurs. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.

    2 min
  6. Samsung : un smartphone 3 écrans en 2025 ?

    19 NOV

    Samsung : un smartphone 3 écrans en 2025 ?

    Depuis l’arrivée des smartphones pliables avec le Galaxy Z Fold en 2019, les fabricants n’ont cessé d’innover. Mais jusqu’à récemment, ces avancées restaient au stade de prototypes. Tout a changé en septembre dernier, lorsque Huawei a lancé le *Mate XT*, premier smartphone à trois écrans disponible sur le marché.  Samsung, pionnier du pliable, ne compte pas laisser Huawei dominer cette nouvelle niche. Selon le média coréen *ET News*, le géant sud-coréen travaille sur son propre modèle à trois écrans, qui pourrait être commercialisé dès 2025. Ce futur téléphone promet un écran encore plus grand que celui du Galaxy Z Fold 6, qui atteint déjà 7,6 pouces une fois déplié. Les rumeurs évoquent une taille impressionnante de 9 à 10 pouces pour le smartphone de Samsung.  Mais ce n’est pas qu’une question de dimensions. Contrairement au design en "accordéon" du Mate XT de Huawei, le modèle de Samsung adopterait un pliage double vers l’intérieur, offrant une nouvelle approche ergonomique et esthétique. Cette nouvelle course à l’innovation pourrait séduire un large public, surtout si Samsung, à l’inverse de Huawei, opte pour une commercialisation mondiale. L’enjeu est de taille : conquérir une niche encore peu exploitée, mais pleine de promesses pour les amateurs de technologies futuristes. Alors, à quoi ressemblera ce téléphone à trois écrans ? Les premières images devraient être révélées dans les mois à venir. Une chose est sûre : entre Huawei et Samsung, la bataille des écrans pliables ne fait que commencer. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.

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  7. Le Gouvernement français à fond sur l’app Signal ?

    18 NOV

    Le Gouvernement français à fond sur l’app Signal ?

    L’été a été marqué par l’arrestation de Pavel Durov, le fondateur de Telegram, par les autorités françaises. Bien que le milliardaire franco-russe ait depuis coopéré avec l’État, l’application continue de traîner une mauvaise réputation. En témoigne une nouvelle circulaire adressée aux membres du gouvernement, leur demandant d’éviter désormais Telegram.  Cette directive, signée par Michel Barnier, fait suite à une circulaire similaire de 2022, où Élisabeth Borne, alors Première ministre, recommandait de délaisser WhatsApp, Telegram et Signal au profit d'Olvid, une messagerie française réputée pour sa sécurité. Cette fois, la mise en garde cible particulièrement Telegram, longtemps prisée au sommet de l’État, notamment par Emmanuel Macron.  Paradoxalement, la circulaire introduit une nuance en validant l’usage de Signal pour des échanges « non sensibles ». Jugée relativement sécurisée grâce à son système de création de compte sans numéro de téléphone, Signal devient l’alternative recommandée pour des conversations informelles. Dans les faits, ce changement est déjà en marche : selon *La Lettre*, des ministères clés, comme ceux de la Justice et de l’Intérieur, ont abandonné Telegram. Même le président de la République a migré sur Signal.  Cependant, cette réorganisation des outils de communication au sein du gouvernement reste floue. Les échanges quotidiens devraient désormais passer par *Tchap*, une application de messagerie chiffrée développée par l’État français. Quant à Olvid, elle reste réservée aux discussions jugées hautement sensibles. Cette clarification des consignes témoigne d’une volonté accrue de sécuriser les échanges gouvernementaux, dans un contexte où la cybersécurité est plus que jamais une priorité. Mais la multiplicité des outils laisse planer des interrogations sur leur adoption et leur efficacité à long terme. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.

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  8. Pourquoi Elon Musk s’est séparé d’Open AI en 2015 ?

    17 NOV

    Pourquoi Elon Musk s’est séparé d’Open AI en 2015 ?

    Quand Elon Musk, Sam Altman et leurs partenaires lançaient OpenAI en 2015, leur objectif semblait limpide : créer une intelligence artificielle générale (AGI) bénéfique pour l’humanité. Mais derrière cette ambition idéaliste se cachaient des tensions, des ambitions personnelles et des luttes de pouvoir.  Des e-mails internes dévoilent une atmosphère électrique. Ilya Sutskever, alors scientifique en chef, exprimait déjà ses doutes face à Elon Musk, l'accusant de viser un « contrôle absolu sur l’AGI ». Une crainte de « dictature technologique » qui illustre les désaccords profonds. Parmi les idées discutées, un projet audacieux de rachat du fabricant de puces Cerebras par Tesla reflète l’ingéniosité, mais aussi les divisions stratégiques. Microsoft, déjà intéressé, avait proposé 60 millions de dollars en ressources cloud. Musk, toujours méfiant, refusa l'offre initiale, redoutant de devenir un simple outil marketing pour la firme de Redmond. Par ailleurs, Andrej Karpathy imaginait une intégration d’OpenAI à Tesla, avec la promesse de décupler la valeur de l’entreprise. Un scénario avorté, mais révélateur de l’audace des esprits de la Silicon Valley.  Initialement à but non lucratif, OpenAI a finalement adopté un modèle commercial, provoquant la colère de Musk, qui s’en éloigna avant de lancer des poursuites judiciaires. Pourtant, ce changement a conduit à un succès colossal : OpenAI est aujourd’hui valorisée à 157 milliards de dollars et son chatbot ChatGPT est utilisé par 250 millions de personnes chaque jour. Mais ce triomphe cache une histoire tumultueuse : celle de visions divergentes, de négociations tendues et d’ego démesurés. L’histoire d’OpenAI montre que derrière chaque révolution technologique, il y a des batailles, autant idéologiques que stratégiques, qui façonnent le destin de nos outils les plus puissants. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.

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