52 Folgen

Après avoir fait ses études à l'INSAS en mise en scène et radio, Guillaume Istace déploie son énergie dans la création sonore pour le théâtre (il a travaillé sur une cinquantaine de spectacles depuis sa sortie de l'école) et dans la réalisation de documentaires radiophoniques.

Il a réalisé une vingtaine de documentaires. Il s'est particulièrement attaché à interroger la question raciale aux USA, au travers de plusieurs opus : « Harlem 1997 », la série « Mood Indigo » avec « Face à l'homme blanc », et « Obama », mais aussi, plus récemment « Sur les traces de Harlem »... Il a aussi beaucoup exploré le collage de matériaux divers (archives, extrait de films, musiques...) au travers d'oeuvres comme son documentaire sur les films d'horreur « Radioscopie de la peur », mais aussi son hommage radiophonique au chanteur Prince « I hate snow in april », sa série de capsules sonores « 240 secondes » ou encore ses mixtape « La K7 de Guillaume ».

En 2003, il est lauréat de la Fondation Belge de la Vocation et reçoit le Prix SACD-SCAM du meilleur documentaire pour « 240 secondes ». En 2007, son documentaire « On n’est pas des animaux : pornographie et sexualité en question » a été sélectionné au festival international « Prix Europa » à Berlin.

En 2017, il fait également partie du collectif fondateur de l'ASAR, l'AsSociation des Auteurs, réalisateurs, producteurs Radio dont il est entre autre le secrétaire général.

Sa dernière création, « L'envol de l'école » est une série documentaire qui retrace l'aventure d'une bande de passionnés de pédagogie qui se lancent dans la création de l'école de leur rêve. Au travers de six épisodes de 25 minutes, « L'envol de l'école » immerge l'auditeur dans le réel des profs et des élèves et rend compte de la confrontation de ce projet utopique à la réalité du terrain.

Le podcast de Guillaume Istace Guillaume Istace

    • Gesellschaft und Kultur

Après avoir fait ses études à l'INSAS en mise en scène et radio, Guillaume Istace déploie son énergie dans la création sonore pour le théâtre (il a travaillé sur une cinquantaine de spectacles depuis sa sortie de l'école) et dans la réalisation de documentaires radiophoniques.

Il a réalisé une vingtaine de documentaires. Il s'est particulièrement attaché à interroger la question raciale aux USA, au travers de plusieurs opus : « Harlem 1997 », la série « Mood Indigo » avec « Face à l'homme blanc », et « Obama », mais aussi, plus récemment « Sur les traces de Harlem »... Il a aussi beaucoup exploré le collage de matériaux divers (archives, extrait de films, musiques...) au travers d'oeuvres comme son documentaire sur les films d'horreur « Radioscopie de la peur », mais aussi son hommage radiophonique au chanteur Prince « I hate snow in april », sa série de capsules sonores « 240 secondes » ou encore ses mixtape « La K7 de Guillaume ».

En 2003, il est lauréat de la Fondation Belge de la Vocation et reçoit le Prix SACD-SCAM du meilleur documentaire pour « 240 secondes ». En 2007, son documentaire « On n’est pas des animaux : pornographie et sexualité en question » a été sélectionné au festival international « Prix Europa » à Berlin.

En 2017, il fait également partie du collectif fondateur de l'ASAR, l'AsSociation des Auteurs, réalisateurs, producteurs Radio dont il est entre autre le secrétaire général.

Sa dernière création, « L'envol de l'école » est une série documentaire qui retrace l'aventure d'une bande de passionnés de pédagogie qui se lancent dans la création de l'école de leur rêve. Au travers de six épisodes de 25 minutes, « L'envol de l'école » immerge l'auditeur dans le réel des profs et des élèves et rend compte de la confrontation de ce projet utopique à la réalité du terrain.

    Time Rewind - retour en archives sur la place des femmes

    Time Rewind - retour en archives sur la place des femmes

    "Time Rewind” plonge l’auditeur.ice dans un voyage radiophonique fascinant en explorant les archives d'hier pour éclairer les débats sensibles d'aujourd'hui.

    Que se passe-t-il quand on interroge les archives de la RTBF sur une question aussi délicate que la place des femmes depuis la seconde guerre mondiale.?

    Time rewind opère un retour dans le temps et plonge les auditeur.ices dans le monde d’avant, le laissant découvrir comment des questions telles que le travail des femmes, leurs statut, le viol, ou l’avortement sont abordées à différents moments au sein d’un organe de media public, qui reflète forcément la façon de pensée dominante de son époque.

    La plongée est saisissante et permet de mesurer le chemin parcouru… ou pas.

    C’est là que Time rewind joue pleinement son rôle : rappeler que les enjeux actuels ont des racines profondes dans le passé, mettre en perspective ces questions, éclairer le présent, bousculer les idées reçues et ouvrir de nouvelles perspectives sur notre monde en constante évolution.


    Crédit:
    Ecriture, réalisation, montage et musiques: Guillaume Istace

    Mixage: Vincent Venet

    Voix: Marie Delhaye, Agnès Limbos,

    Production Axolotl

    En partenariat avec la SONUMA

    Ce documentaire a reçu le soutien du fonds d’aide à la création radiophonique de la Fédération Wallonie Bruxelles, Avec le soutien du Fonds Gulliver, une initiative de la RTBF, la Promotion des Lettres , la SCAM Belgique, la SACD Belgique, la SCAM France, la SACD France, le Labo à la RTS et Par Ouï-dire à la RTBF , et les podcast de la RTS et de la RTBF

    Un grand merci à Martina Gozzini, Marie Vennin, Benoit Luporsi, Paula Stévenne, Sophie Clerfayt, Muriel Durand, Carine Demange et Pascal Tison

    Merci également à Radio Air Libre, Radio Campus et Radio Panik pour leur soutien.

    • 55 Min.
    Noire, femme et communiste

    Noire, femme et communiste

    "NOIRE, FEMME ET COMMUNISTE"

    Un podcast réalisé par Guillaume Istace
    D'après l'autobiographie d'Angela Davis

    Angela Davis! À peine prononcé, ce nom fait surgir un emblème: une coupe afro, un poing levé et une vie en lutte. “Noire, Femme et Communiste” retrace son parcours, celui d’une femme qui a accompagné et transcendé le soulèvement du peuple noir américain dans les années 60-70

    Elle grandit dans le sud des Etats Unis au milieu de la haine des blancs, sur une colline ou les attentats à la bombe contre les familles noire sont monnaie courante.
    Elle y développera les bases d’une vie de résistance sans jamais laisser la haine l’emporter.

    Elle acquiert très tôt la conviction que la lutte pour le peuple noir ne peut se gagner qu’en luttant pour tous les opprimés: les hispanos, les asiatiques, les natifs américains, les femmes, les pauvres, quelle que soit leur couleur.

    Elle puisera dans le marxisme, les outils pour analyser et déconstruire le racisme, partant du principe que les relations de pouvoir qui maintiennent le peuple noir en infériorité reposent essentiellement sur l’utilisation du racisme en tant qu’outil au service de la classe dominante

    Au travers d’une narration écrite à partir de son autobiographie et d’une succession d’archives qui nous ramènent au coeur de cette époque explosive, “Noire, Femme et communiste” donne à entendre le trajet singulier d’une vie de lutte au service des opprimés.

    Réalisation, montage, création musicale: Guillaume Istace
    Voix pour la narration: Consolate Siperius
    Voix pour la traduction: David Manet, Marie Vennin, Guillaume Istace, Pierre Istace
    Mixage: Christophe Flémalle
    Mastering: Jeison Pardo rojas
    Production: Axolotl
    Co-production: Théâtre National de la Fédération Wallonie-Bruxelles, RTBF, SONUMA

    • 54 Min.
    World riots - Bande son de l'expo "world riots" de Manuel Istace

    World riots - Bande son de l'expo "world riots" de Manuel Istace

    À la Galerie Nardone
    Du 16 juillet au 8 août 2020
    27-29 rue Saint-George, 1050 Bruxelles

    Vernissage le 11 juillet de 14h à 19h.

    Le projet World Riots est né du constat du nombre croissant de contestations dans le monde qui dégénèrent et entrainent des violences. L'artiste Manuel Istace a peint des émeutiers pendant 2 ans. Il mélange les matières et les techniques dans ses oeuvres. Il propose avec cette exposition une expérience immersive puisque le visiteur sera non seulement plongé dans l'ambiance visuelle des toiles de Manuel, mais également dans une ambiance sonore créée pour l'occasion par son frère, Guillaume Istace.

    • 57 Min.
    Black Power

    Black Power

    Le 4 avril 1968, Martin Luther King est assassiné. Dans une Amérique a fleur de peau sur la question raciale, la mort du leader de la non-violence prend la forme d'un embrasement. "Black power" propose un retour en archives et en musiques cet embrasement qui a marqué la fin des années 60.

    Réalisation: Guillaume Istace

    Production: Axolotl

    • 10 Min.
    Au Large (03) - Le bonheur, si je peux

    Au Large (03) - Le bonheur, si je peux

    "Le bonheur, si je peux"

    3e épisode de "AU LARGE", un podcast musical sous forme de voyage sonore et poétique.

    Chaque épisode vous emmène dans un voyage sonore et musical à partir d'un thème qui me tient à coeur et le fait résonner au travers d’une sélection musicale de choix, d'archives, d'extraits de films et d'ambiances sonores.

    Aujourd'hui je vous propose un voyage "feel good" accompagné d'un questionnement méditatif sur ce qu'est le bonheur.

    Et si vous voulez vous abonner à ce podcast et recevoir automatiquement les nouveaux épisodes, ouvrez le lien suivant avec votre application de podcast (itune, pocket cast, podcast addict...): https://au-large-voyage-sonore.lepodcast.fr/rss

    Crédits:

    Henry Mancini : “Baby elephant walk”
    Ella Fitzgerald and Joe pass: “Nature boy”
    Katerine - “La banane”
    Stéphane Grappelli - ”Ballade” ( Les valseuses)
    Nino Ferrer - “The south”
    Philippe Jaroussky - ”L’heure exquise”
    Serge Gainsbourg - ”La valse de Mélody”
    Nina Simone - “Feeling good”
    Barbara - “Le mal de vivre”
    Gavin Bryars - “Three viennese dancers”
    Purcell - “What power art thou (cold song)”
    Kalyi Jag - “Fàni”
    Stephane Grapelli : ”Ballade - générique de fin” (Les valseuses)

    Archives et extraits de films: “Faut pas prendre les enfants du bon dieu pour des canards sauvages”, Agnès Varda, Vladimir Jankelevitch, “Ce sacré grand père”, George Simenon, “Alexandre le bienheureux”, “Le bonheur”, “La crise”, “Les gens normaux n’ont rien d’exceptionnel”, “Les valseuses”

    Poèmes: “Senteurs” de Rimbaud, “Pourquoi que je vis” de Boris Vian

    • 54 Min.
    Dreamday

    Dreamday

    "Dreamday" a été réalisé en 2000 et est né des interrogations de Guillaume Istace et Sacha Kremer sur le phénomène des musiques éléctroniques , le sens des fêtes nocturnes aujourd’hui et la vie des « clubbers ».

    2,000,000 de personnes étaient présentes à la Love Parade à Berlin.
    Au nom de quoi étaient ils tous là ?

    Réalisation et montage: Guillaume Istace, Sacha Kremer
    Prise de son, montage et mixage: Géry Frank
    Production: Le crayon libre
    Durée : 48 minutes
    Année de réalisation: 2000
    Musiques : "sniff" (Marco Bailey), "Let there be house" (Y.Deruyter, F.Kloeck, A.Stephenson)

    • 47 Min.

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