Choses à Savoir TECH

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  1. Etats-Unis : Elon Musk bientôt dans le gouvernement Trump ?

    1 DAY AGO

    Etats-Unis : Elon Musk bientôt dans le gouvernement Trump ?

    Au lendemain d’une tentative d’assassinat de Donald Trump, Elon Musk affiche publiquement son soutien au candidat. Dans un échange de plus de deux heures sur X.com, les deux figures discutent immigration et politique, et Trump évoque pour la première fois la possibilité d’intégrer Musk dans son gouvernement en cas de victoire. Quelques semaines après cet échange, Trump promet, s’il est réélu, de créer un groupe de travail pour auditer l’ensemble du gouvernement fédéral, une idée soufflée par Musk. Le 5 novembre, avant même l'annonce des résultats, le candidat réitère sa volonté de voir Musk rejoindre son équipe. Lors de son discours de victoire, il n’hésite pas à encenser le P.-D.G. de SpaceX : « Il a envoyé une fusée la semaine dernière, je l’ai vue revenir, la tour l’a attrapée comme un bébé. Seul Elon peut faire ça », déclare-t-il, le qualifiant même de « génie ». Pour Musk, ce soutien dépasse les mots. L’entrepreneur finance massivement la campagne de Trump via un super comité d’action politique à hauteur de 45 millions de dollars mensuels. Il a aussi offert un million de dollars à des citoyens tirés au sort pour signer une pétition défendant la liberté d'expression et le droit aux armes. De plus, des études rapportent que Musk aurait manipulé l’algorithme de X.com pour mettre en avant les contenus pro-Trump. Les conséquences de cette alliance se font déjà sentir : après l’annonce de la victoire, le cours de Tesla bondit de 13 %. Entre admiration réciproque et influence économique, le duo Trump-Musk pourrait bien marquer un tournant dans l’alliance entre la politique et les géants de la tech. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.

    2 min
  2. Le Bitcoin explose tous les records ?

    2 DAYS AGO

    Le Bitcoin explose tous les records ?

    Les promesses électorales de Donald Trump semblent déjà influencer les marchés, notamment celui des cryptomonnaies. Avec une réélection annoncée aux États-Unis, Trump avait promis de soutenir l’industrie crypto s'il revenait au pouvoir. Ce qui semblait pure spéculation pour certains a pris une tournure bien réelle : en ce 5 novembre 2024, le Bitcoin atteint un nouveau sommet, dépassant les 75 400 dollars, un record absolu. Depuis quelques semaines, le Bitcoin montrait déjà des signes de reprise, mais l'annonce de la victoire probable de Trump a propulsé la cryptomonnaie phare à des niveaux jamais vus, déclenchant une vague d’euphorie non seulement dans l’univers crypto, mais aussi sur les marchés financiers traditionnels. Ce retour de Trump est perçu par beaucoup comme une opportunité pour l’économie américaine, et certains analystes, notamment à la Deutsche Bank, estiment qu'un gouvernement Trump pourrait donner une impulsion forte au dollar et à la politique budgétaire des États-Unis. Les investisseurs crypto sont particulièrement à l’affût, guettant tout indice d’un possible « bull run » généralisé, un phénomène où l’ensemble des cryptos grimpe en flèche. Ce pic pourrait coïncider avec un autre événement clé du monde de la crypto : le « halving » du Bitcoin, qui a lieu tous les quatre ans, réduisant de moitié les récompenses des mineurs. Traditionnellement, cet événement précède souvent une montée importante du cours. Le 5 novembre 2024 restera donc marqué par deux records : la réélection de Trump et le franchissement inédit des 75 400 dollars par le Bitcoin, propulsant les attentes pour une fin d’année explosive dans le secteur des cryptomonnaies. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.

    2 min
  3. Google supprime 10 milliards de sites pirates ?

    5 DAYS AGO

    Google supprime 10 milliards de sites pirates ?

    C'est un chiffre vertigineux que Google pourrait célébrer avec un de ses célèbres Doodles : le géant a supprimé près de 10 milliards de liens pirates de ses résultats de recherche. Mais la discrétion est de mise pour cette lutte sans fin contre le contenu illégal. Enjeu crucial pour Google, cette opération témoigne de son engagement dans la protection des droits d’auteur, même si elle n’a pas été de tout repos. Depuis des années, Google reçoit des milliers de requêtes quotidiennes de détenteurs de droits – musiciens, producteurs de films, éditeurs – pour faire disparaître les liens menant à du contenu piraté. L'ampleur du phénomène ? En 2016, on en était à un milliard de liens supprimés ; aujourd’hui, ce chiffre a explosé, et l'entreprise en a fait une priorité dans son dernier rapport de transparence. Cependant, comme le souligne Torrent Freak, cette mission n’est pas sans écueils. Certains domaines sont surchargés de liens illicites, avec des millions de signalements, tandis que d’autres n’en comptent que quelques-uns. Parfois, des demandes sont abusives, visant par erreur ou malveillance du contenu légal, obligeant Google à trier minutieusement chaque requête pour éviter des suppressions injustifiées. Au-delà de ces demandes, Google a renforcé sa défense : ses algorithmes réduisent désormais la visibilité des sites pirates dans les résultats, limitant la nécessité d'interventions manuelles. Cette approche a d’ailleurs porté ses fruits, avec une diminution temporaire des signalements annuels, passant de 2,5 milliards à un milliard. Mais le répit aura été de courte durée : cet été, les signalements ont atteint un nouveau sommet de 7 milliards de liens, rappelant que la bataille reste vive. Pour Google, la quête d’un web plus « vertueux » reste un travail de Sisyphe, chaque suppression laissant place à de nouveaux liens frauduleux. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.

    2 min
  4. NVIDIA veut révolutionner le monde des processeurs (CPU) pour PC ?

    6 DAYS AGO

    NVIDIA veut révolutionner le monde des processeurs (CPU) pour PC ?

    NVIDIA s’apprête à faire une entrée remarquée sur le marché des puces ARM pour PC, et cette fois-ci, la timeline se précise. Selon Digitimes, relayé par Tom's Hardware, le géant de la tech viserait une sortie de ses propres puces ARM pour septembre 2025, avec un lancement commercial quelques mois plus tard, en mars 2026. Après avoir échoué à acquérir ARM, NVIDIA n’a pas lâché l’idée d’intégrer cette architecture à ses produits, comme en témoigne son historique avec les puces Tegra, utilisées notamment dans la console Nintendo Switch. Des indices sur cette offensive ARM sont apparus au fil des mois : en mai dernier, des puces NVIDIA pour futures consoles portables ont été évoquées, et les dirigeants Jensen Huang (NVIDIA) et Michael Dell (Dell) laissaient entendre qu'un SoC signé NVIDIA pourrait bientôt alimenter des PC sous Windows. Aujourd’hui, Digitimes affirme que la firme s’associe avec MediaTek pour créer une plateforme premium CPU/GPU ARM grand public, prévue pour septembre 2025. L’initiative est stratégique : en élargissant ses compétences en GPU à celles de CPU, NVIDIA rejoint les géants AMD et Intel dans le « combo » des puces complètes pour PC. En outre, l’évolution de Windows vers l’ARM offre un terrain propice. Microsoft semble enfin avoir franchi des étapes décisives pour stabiliser son OS sur cette architecture, et la récente annonce de Qualcomm avec son Snapdragon X Elite en est la preuve : c’est cette puce qui a été mise en avant lors de la présentation de Copilot+ par Microsoft. Si NVIDIA parvient à respecter sa feuille de route, l’écosystème PC pourrait être en passe de connaître une transformation majeure, offrant ainsi aux utilisateurs des performances accrues sur des plateformes ARM. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.

    2 min
  5. 1 Million de dollars pour utiliser Microsoft Bing et Edge ?

    5 NOV

    1 Million de dollars pour utiliser Microsoft Bing et Edge ?

    Microsoft n’en démord pas : pour concurrencer Google, l’entreprise mise sur toutes les stratégies pour positionner Bing comme moteur de recherche incontournable. Sa dernière initiative ? Un jeu-concours lancé via Microsoft Rewards pour inciter les internautes à adopter Bing et à remplacer Google Chrome par Edge. Concrètement, le jeu propose un système de tirage au sort où les utilisateurs peuvent accumuler jusqu’à 200 entrées. Pour multiplier leurs chances, Microsoft détaille quelques actions : installer l’extension Rewards rapporte 10 entrées, définir Bing comme moteur de recherche par défaut en donne aussi 10, installer Bing ou Edge sur son smartphone rapporte 5 entrées chacun, et ajouter Microsoft Defender donne également 5 entrées supplémentaires. Pour couronner le tout, un partage de lien permet de débloquer jusqu’à 50 entrées supplémentaires. Microsoft espère ainsi booster l’utilisation de son écosystème et attirer les utilisateurs de Google. Mais séduire les fidèles de Google reste un défi. En dépit de ses innovations, comme le partenariat avec OpenAI et l’intégration de Copilot dans Bing, le moteur de recherche de Microsoft peine toujours à s’imposer : Bing ne détient actuellement que 4,15 % de part de marché mondial, bien loin derrière Google, qui règne avec 89,13 %. En France, la situation est similaire, Bing ne parvenant qu’à capter 6,52 % des utilisateurs. L’attrait d’un gain financier suffira-t-il à détourner les internautes de Google ? Peu probable. Microsoft, en exigeant des participants qu’ils fournissent noms, prénoms, adresse et téléphone, joue une carte risquée dans un monde où la protection des données est de plus en plus scrutée. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.

    2 min
  6. Antropic, connue pour Claude AI, alerte sur les risques de l’IA ?

    4 NOV

    Antropic, connue pour Claude AI, alerte sur les risques de l’IA ?

    Anthropic, la société derrière l’intelligence artificielle Claude AI, lance un avertissement : la fenêtre pour une régulation proactive et efficace de l’IA se referme rapidement. Alors que les modèles d’intelligence artificielle progressent à un rythme fulgurant dans des domaines comme la cybersécurité ou l’ingénierie, les risques associés grandissent tout aussi vite. Anthropic alerte sur les potentielles utilisations malveillantes des capacités d’IA avancée, notamment dans des activités de cybercriminalité et même dans la prolifération d’armes chimiques, biologiques et nucléaires (CBRN). Face à ces risques croissants, l’entreprise prône une régulation « chirurgicale » et structurée, inspirée de sa propre politique de mise à l’échelle responsable (RSP). Cette approche, dit-elle, repose sur trois piliers : la transparence des modèles, le renforcement des bonnes pratiques en matière de sécurité, et des mesures simples, mais ciblées. En mettant l’accent sur une gestion proportionnée des risques en fonction des capacités des modèles d’IA, Anthropic appelle à une réglementation qui protège sans freiner l’innovation. C’est un véritable plaidoyer collectif qu’Anthropic lance aujourd'hui, exhortant les gouvernements, les experts en sécurité, les entreprises d’IA et la société civile à agir de concert dans les 18 prochains mois pour éviter le scénario du pire. Car si la régulation arrive trop tard ou est mal conçue, on risque de se retrouver dans « le pire des deux mondes » : des règles inefficaces qui freineraient l’innovation sans limiter les dangers. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.

    2 min
  7. TikTok va héberger nos données en Norvège ?

    3 NOV

    TikTok va héberger nos données en Norvège ?

    C’est désormais officiel : le premier bâtiment du centre de données TikTok, installé à Hamar, en Norvège, est opérationnel, marquant le début de la migration des données des utilisateurs européens depuis les États-Unis. Ce centre est le second en Europe, après celui en Irlande, inauguré en 2023. Le projet Clover, un investissement de plus de 12 milliards d’euros, est au cœur de l’initiative de sécurité de TikTok en Europe. En plus de ce centre norvégien, TikTok a confié la surveillance continue des passerelles de sécurité au NCC Group, expert indépendant en cybersécurité, pour garantir une protection optimale des données européennes. TikTok affirme que les protocoles mis en place bloquent l’accès aux informations sensibles — telles que les numéros de téléphone ou les adresses IP — aux employés basés en Chine. « L'enclave dédiée à l'Europe, où les données des utilisateurs européens sont stockées par défaut, est désormais répartie entre nos centres de données situés aux États-Unis, en Irlande et en Norvège », indique TikTok. Bien que la Norvège soit membre de l’Association européenne de libre-échange (AELE) et de l’Espace économique européen (EEE), elle ne fait pas partie de l’Union européenne, à l’instar de l’Islande et du Liechtenstein. Cependant, le RGPD (Règlement général sur la protection des données) s'applique aux membres de l’EEE, y compris la Norvège, en complément de la « personopplysningsloven », la loi norvégienne sur la protection des données et de la vie privée. TikTok souligne que ces mesures de sécurité, déployées dans le cadre du projet Clover, assurent aux 150 millions d’utilisateurs européens une protection des données « à la pointe de l’industrie ». Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.

    2 min
  8. Loops : cette alternative a TikTok vaut-elle le coup ?

    31 OCT

    Loops : cette alternative a TikTok vaut-elle le coup ?

    Loops a vu le jour au sein du Fediverse, un écosystème de plateformes sociales décentralisées qui communiquent entre elles via le protocole ActivityPub. L'ambition de cette nouvelle plateforme est claire : offrir aux créateurs de contenu un contrôle total sur leurs données tout en se libérant des contraintes publicitaires. Une initiative audacieuse portée par Daniel Supernault, également à l'origine de Pixelfed, une alternative à Instagram axée sur le partage de photos. La question se pose alors : Loops a-t-elle le potentiel de rivaliser avec le géant TikTok ? L'idée séduit en tout cas : redonner du pouvoir aux créateurs en les libérant des algorithmes opaques et des impératifs commerciaux qui façonnent aujourd'hui les réseaux sociaux. La plateforme se lance avec une offre initiale de partage de vidéos limitées à 60 secondes. Sur Mastodon, Daniel Supernault a déjà évoqué les futures évolutions : intégration d’une bibliothèque sonore, fonctionnalités de remix pour réinterpréter les créations d’autres utilisateurs, et possibilité d’épingler des vidéos sur les profils. Bien que les hashtags et mentions ne soient pas encore pris en charge, un système de catégorisation est d’ores et déjà opérationnel. Les créateurs bénéficieront par ailleurs d’outils de curation pour gérer leurs sections commentaires. L'accès à Loops se fait sur invitation, avec un délai d'attente jusqu'à la réception d’un e-mail de confirmation. Les utilisateurs iOS pourront accéder à l'application via TestFlight, tandis que la version Android sera proposée en téléchargement direct. Loops innove également avec un système de modération basé sur un score de confiance attribué à chaque utilisateur. Les contenus des membres jugés fiables sont publiés instantanément, tandis que ceux des nouveaux arrivants ou des utilisateurs moins établis sont soumis à une validation préalable par des modérateurs humains. Cette méthode vise à maintenir un espace de partage respectueux, mais des interrogations demeurent : quels critères définissent ce score de confiance ? Et comment évoluera-t-il ? Des réponses viendront peut-être avec le temps. Sur le plan économique, Loops adopte un modèle transparent reposant sur les dons, subventions et parrainages. Les utilisateurs restent pleinement propriétaires de leurs contenus, qui ne sont ni exploités commercialement ni utilisés pour entraîner des intelligences artificielles. La promesse est séduisante, mais la plateforme devra réussir à convaincre les amateurs de TikTok de migrer. Pour rivaliser avec le mastodonte chinois, Loops devra non seulement créer une dynamique similaire, mais aussi attirer rapidement un grand nombre d'utilisateurs. Un défi titanesque, certes, mais l'intérêt croissant pour les réseaux sociaux décentralisés pourrait bien jouer en sa faveur. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.

    3 min

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