149 épisodes

Into The Wind, c'est le podcast des marins qui font des phrases.

Dans Into The Wind, les marins prennent le temps de revenir sur leur parcours et se racontent au long cours, depuis leurs débuts et leurs galères jusqu'à la gloire et aux sommets des podiums...
En explorant leurs trajectoires, Into The Wind cherche à comprendre comment se construisent ceux qui vont sur la mer en course, pour une journée, une semaine, un mois ou un trimestre, seul ou en équipage, en baie ou autour du monde.

Les marins, hommes ou femmes, sont souvent de peu de mots. En leur donnant du temps et en les laissant parler, Into The Wind n'a qu'un objectif : prendre le large avec eux.

Into The Wind est animé par Pierre-Yves Lautrou et produit par Tip & Shaft (http://www.tipandshaft.com), le média expert de la voile de compétition. Pour vous abonner, c'est ici : https://www.tipandshaft.com/abonnement

Générique : In Closing - Days Past
© Tip & Shaft 2018-2021, tous droits réservés.
Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Into The Wind Tip & Shaft

    • Sports
    • 4,9 • 929 notes

Into The Wind, c'est le podcast des marins qui font des phrases.

Dans Into The Wind, les marins prennent le temps de revenir sur leur parcours et se racontent au long cours, depuis leurs débuts et leurs galères jusqu'à la gloire et aux sommets des podiums...
En explorant leurs trajectoires, Into The Wind cherche à comprendre comment se construisent ceux qui vont sur la mer en course, pour une journée, une semaine, un mois ou un trimestre, seul ou en équipage, en baie ou autour du monde.

Les marins, hommes ou femmes, sont souvent de peu de mots. En leur donnant du temps et en les laissant parler, Into The Wind n'a qu'un objectif : prendre le large avec eux.

Into The Wind est animé par Pierre-Yves Lautrou et produit par Tip & Shaft (http://www.tipandshaft.com), le média expert de la voile de compétition. Pour vous abonner, c'est ici : https://www.tipandshaft.com/abonnement

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    #94 Luc Talbourdet, du pétrole aux foils construits par des robots

    #94 Luc Talbourdet, du pétrole aux foils construits par des robots

    Si les chats ont 9 vies, Luc Talbourdet, 57 ans, en a 3... et c'est déjà pas mal.

    La première, pour ce fils de fonctionnaire né à Saint-Quentin, dans l'Aisne, mais dont les racines sont du côté de Dinan, est celle d'un ingénieur qui commence sa carrière dans l'exploration pétrolière, enchaîne par un MBA à HEC suivi de cinq années à gérer un site de production de bonbons dans les Deux-Sèvres. La mer est loin - la course encore plus -, même s'il la pratique comme un plaisancier lambda, avec un objectif d'année sabbatique à moyen terme.

    Sauf qu'à HEC, il a rencontré un certain Jean-Pierre Dick, avec qui il a monté un projet de participation au Tour de France à la Voile. Alors quand son copain de promo, avec qui il s'est lié d'amitié, lui dit, à l'automne 2001, qu'il recherche quelqu'un pour gérer son projet de Vendée Globe, Luc Talbourdet se porte candidat, pensant que cette aventure fera office de "pause" dans sa carrière. Elle durera en fait... 16 années, pendant lesquelles, en tant que team manager d'Absolute Dreamer, il vivra 4 Vendée Globe aux côtés de Jean-Pierre Dick, gagnera 4 Transat Jacques Vabre et 2 Barcelona World Race - sans parler de ses mandats de président de l'Imoca...

    Mais Luc Talbourdet garde depuis longtemps en lui l'envie d'être aux commandes seul, d'entreprendre. C'est sa troisième vie : dans le giron d'Absolute Dreamer, il développe une innovation, la construction de foils, d'abord d'ETF26, par robot. Les tests sont concluants, la recherche scientifique valide le concept et il lance Avel Robotics en 2017 avec Adrien Marchandise. Sept ans plus tard, l'entreprise - 30 salariés - construit des foils pour de nombreux Imoca, participe au consortium Solid Sail qui construit les mâts pour les paquebots SilenSeas et se diversifie dans l'aéronautique.

    Une nouvelle tranche de vie, encore loin d'être arrivée à terme à écouter Luc Talbourdet...

    Diffusé le 19 avril 2024
    Générique : In Closing – Days Past
    Post-production : Grégoire Levillain

    Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

    • 2 h 47 min
    #93 Denis Horeau, Monsieur le Directeur

    #93 Denis Horeau, Monsieur le Directeur

    Il vit désormais dans les Alpes, face au Mont-Blanc, loin de la mer et du Vendée Globe, qu'il a incarné en tant que directeur de course pendant quatre éditions. Mais à 73 ans, huit années après avoir lâché la barre, Denis Horeau reste un observateur attentif de l'institution qu'est devenu le tour du monde en solitaire, sans escale et sans assistance - l'un de ses plus fins connaisseurs, aussi.

    Rien, sur le papier, ne le prédestinait à de pareilles fonctions. Fils de médecin installé à Nantes amoureux des bateaux, il passe ses vacances en presqu'île de Guérande avec son frère Michel - dont le fils, Corentin, brille sur de nombreux supports - mais vit le reste de l'année en pension, où il s'ennuie ferme et passe son temps à dessiner des bateaux. Il commence beaucoup d'études mais ne les finit pas, vit en communauté et traverse l'Atlantique une première fois en mode coup de main, avant de plonger dans la vie de convoyeur.

    Des années 1970, marquées par le voyage, aux années 1980, qui voient les grands multicoques briller, il n'y a qu'un pas que Denis Horeau franchit en participant à La Baule-Dakar, sur un trimaran (l'ex Three Legs of Man), loué sur un coup de tête. Sa carrière de coureur démarre, il multiplie les embarquements avec les plus grands marins, équipier et préparateur recherché, il gagne ainsi entre autres la Course de l'Europe avec Philippe Jeantot en 1985.

    C'est ce même Jeantot qui vient le chercher pour être le premier directeur de course du premier Vendée Globe Challenge, en 1989. Avec son équipe, il va inventer le métier de directeur de course et mener à bon port cette première circumnavigation au départ de Sables d'Olonne. Il est cependant débarqué par Jeantot lorsqu'il rentre à terre, les deux hommes n'ont pas la même vision du tour du monde.

    Avec une partie de son équipe - dont Eric Coquerel, désormais président de la commission des finances de l'Assemblée nationale -, Denis Horeau crée en 1992 l'agence de communication Seven Seas, avant d'être nommé directeur de course de la Solitaire du Figaro/ Neuf années de bonheur, avant que Philippe de Villiers, qui a racheté en 2004 le Vendée Globe en difficulté à Philippe Jeantot, ne l'appelle pour être le nouveau directeur de course.

    De 2004 à 2012, Denis Horeau mettra en musique trois éditions marquées par l'avènement des régatiers, mais s'attachera à conserver l'ADN de la course, pour laquelle il continue à vouer passion et admiration. Il prépare une quatrième édition mais 6 mois avant le départ, en mai 2016, épuisé et en désaccord avec la SAEM Vendée, il préfère jeter l'éponge.

    Avec une pointe d'amertume, il ne cache pas que les mois qui suivent n'ont pas été faciles : "Tout s'arrête en une fraction de seconde", résume-t-il. Alors Denis Horeau passe à autre chose, lançant un évènement dédié aux solutions environnementales à Annecy, organisant un rassemblement de voiliers classiques sur le lac Léman (Les voiles d'Yvoire)... et s'apprêtant à chroniquer le prochain Vendée Globe sur TV8 Mont-Blanc.

    Si loin, si près...

    Diffusé le 5 avril 2024
    Générique : In Closing – Days Past
    Post-production : Grégoire Levillain

    Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

    • 2 h 18 min
    #92 Gilles Martin-Raget, la classe marseillaise

    #92 Gilles Martin-Raget, la classe marseillaise

    Gilles Martin-Raget est une légende de la photo de voile. Mais pour autant, vous ne trouverez pas grand-chose sur lui en ligne, à part de nombreuses photos, évidemment. Car l'homme est discret même s'il promène sa silhouette longiligne sur les plans d'eaux depuis plus de 40 ans.

    Né à Arles - un comble pour un photographe ! -, il plonge, adolescent, dans l'univers maritime par la littérature, comme beaucoup dans ces années 1970 où Moitessier et les autres influencent une génération. C'est à l'université à Montpellier qu'il se met à pratiquer et découvre la régate avant de s'y jeter à corps perdu. On est en Méditerranée, alors il enchaîne les embarquements en équipage sur des maxis - avec, souvent un appareil photo pas loin : le journalisme le titille depuis longtemps.

    En 1983, le défi français d'Yves Rousset-Rouard recrute pour la Coupe de l'America et les marins qui connaissent les navigations en équipage sur de gros bateaux ne sont pas nombreux : le voilà embarqué dans sa première coupe, d'abord comme coureur et puis, une fois le défi français éliminé, comme journaliste. C'est le début d'une longue passion pour l'aiguière d'argent.

    Rapidement, sa plume et son regard font mouche, et il enchaîne les couvertures d'évènements, en particulier pour Voiles et voiliers. Il sera de la Coupe, bien sûr, et de toutes les éditions depuis 40 ans, emmenant régulièrement femme et enfants s'installer à l'autre bout du monde. Mais aussi des Jeux Olympiques (3 fois), de la Nioulargue et des Voiles de Saint-Tropez - "la plus belle course du monde" - et aussi, des grandes courses au large (Vendée Globe, Route du Rhum...).

    Mais s'il a souvent fait la route vers l'Ouest depuis le Sud, Gilles Martin-Raget n'a jamais renoncé à sa Méditerranée, dont il sait lire les couleurs et les lumières mieux que personne, sur l'eau mais aussi à terre. Depuis sa maison marseillaise, on embrasse les rades sud et nord d'un coup d'œil : à portée de téléobjectif, ou presque, les ronds olympiques sont déjà sillonnés par les coureurs de Paris 2024. Pour une fois, Gilles Martin-Raget n'aura pas besoin de faire ses valises...

    Diffusé le 22 mars 2024
    Générique : In Closing – Days Past
    Post-production : Grégoire Levillain

    Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

    • 2 h 5 min
    #91 Fabien Delahaye, stakhanoviste discret mais efficace - 2ème partie

    #91 Fabien Delahaye, stakhanoviste discret mais efficace - 2ème partie

    Avec ses lunettes rondes et son air de jeune homme de bonne famille, on donnerait facilement le bon Dieu sans confession à Fabien Delahaye. Ses adversaires... un peu moins ! Car à même pas 40 ans, le discret Normand a déjà parcouru un sacré bout de chemin, et souvent en tête de la flotte.

    Jugez plutôt. Issue d'une famille éloignée de la voile, il découvre la pratique par le biais de l'école. S'ensuivent de longues années de voile légère, en Equipe, en 420 puis en 470, à Ouistreham, où il apprend la rigueur du support olympique. Mais le large le tente pour devenir pro : les études bouclées, il se lance dans les sélections en Mini et en Figaro, avant de monter son propre projet.

    A 24 ans, il se jette dans le grand bain, et apprend à nager assez vite : 1er bizuth pour sa première saison, vainqueur de la transat AG2R avec Armel Le Cléac'h l'année suivante, 2e de la Solitaire et champion de France pour sa troisième saison ! Les trois saisons suivantes il court sous les couleurs de Skipper Macif, multipliant les places d'honneur, remportant au passage la Transat Jacques Vabre en 2013, avec Sébastien Rogues en Class40.

    En 2015, saturé de Figaro, il découvre l'Imoca avec Jean-Pierre Dick, qu'il accompagne dans son dernier Vendée Globe. Puis c'est Charles Caudrelier qui le recrute pour analyser la performance de Dongfeng dans la Volvo Ocean Race 2017-2018, remportée par l'équipe franco chinoise. A l'occasion, Fabien Delahaye développe une expertise reconnue en la matière, pour laquelle il est souvent sollicité.

    Sevré de la vie de marin à terre, il retrouve ensuite le circuit Figaro pour trois saisons, entrecoupées Transat Jacques Vabre en Class40 (2019) ou en Imoca (2021), puis de coaching et d'analyse de performance ; ces saisons denses - parfois plus de 200 jours sur l'eau - sont sa marque de fabrique.

    A l'image de nombreux figaristes, il s'est engagé depuis 2022 dans un projet Class40, avec Legallais, et un bateau neuf à la clé. Après une Transat Jacques Vabre abrégée pour cause d'avarie, il a remis son plan Lombard à l'eau le dernier jour de février, avant de le convoyer à Lorient en solo depuis Caen, histoire de préparer une saison chargée. Il a promis que cette année, il ne ferait que du Class40. Stakhanoviste, on vous dit !

    Diffusé le 15 mars 2023
    Générique : In Closing – Days Past
    Post-production : Grégoire Levillain

    Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

    • 1h 31 min
    #91 Fabien Delahaye, stakhanoviste discret mais efficace - 1ère partie

    #91 Fabien Delahaye, stakhanoviste discret mais efficace - 1ère partie

    Avec ses lunettes rondes et son air de jeune homme de bonne famille, on donnerait facilement le bon Dieu sans confession à Fabien Delahaye. Ses adversaires... un peu moins ! Car à même pas 40 ans, le discret Normand a déjà parcouru un sacré bout de chemin, et souvent en tête de la flotte.

    Jugez plutôt. Issue d'une famille éloignée de la voile, il découvre la pratique par le biais de l'école. S'ensuivent de longues années de voile légère, en Equipe, en 420 puis en 470, à Ouistreham, où il apprend la rigueur du support olympique. Mais le large le tente pour devenir pro : les études bouclées, il se lance dans les sélections en Mini et en Figaro, avant de monter son propre projet.

    A 24 ans, il se jette dans le grand bain, et apprend à nager assez vite : 1er bizuth pour sa première saison, vainqueur de la transat AG2R avec Armel Le Cléac'h l'année suivante, 2e de la Solitaire et champion de France pour sa troisième saison ! Les trois saisons suivantes il court sous les couleurs de Skipper Macif, multipliant les places d'honneur, remportant au passage la Transat Jacques Vabre en 2013, avec Sébastien Rogues en Class40.

    En 2015, saturé de Figaro, il découvre l'Imoca avec Jean-Pierre Dick, qu'il accompagne dans son dernier Vendée Globe. Puis c'est Charles Caudrelier qui le recrute pour analyser la performance de Dongfeng dans la Volvo Ocean Race 2017-2018, remportée par l'équipe franco chinoise. A l'occasion, Fabien Delahaye développe une expertise reconnue en la matière, pour laquelle il est souvent sollicité.

    Sevré de la vie de marin à terre, il retrouve ensuite le circuit Figaro pour trois saisons, entrecoupées Transat Jacques Vabre en Class40 (2019) ou en Imoca (2021), puis de coaching et d'analyse de performance ; ces saisons denses - parfois plus de 200 jours sur l'eau - sont sa marque de fabrique.

    A l'image de nombreux figaristes, il s'est engagé depuis 2022 dans un projet Class40, avec Legallais, et un bateau neuf à la clé. Après une Transat Jacques Vabre abrégée pour cause d'avarie, il a remis son plan Lombard à l'eau le dernier jour de février, avant de le convoyer à Lorient en solo depuis Caen, histoire de préparer une saison chargée. Il a promis que cette année, il ne ferait que du Class40. Stakhanoviste, on vous dit !

    Diffusé le 8 mars 2023
    Générique : In Closing – Days Past
    Post-production : Grégoire Levillain

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    • 1h 37 min
    [REDIFF PODIUM] - #50 - Thomas Coville, le marin curieux qui sait faire des phrases - 1ere partie

    [REDIFF PODIUM] - #50 - Thomas Coville, le marin curieux qui sait faire des phrases - 1ere partie

    Exceptionnellement cette semaine, Tip & Shaft vous propose de réécouter à l'occasion de l'arrivée des trois premiers concurrents de l’Arkea Ultim Challenge- Brest, les trois épisodes d'Into The Wind qui leur ont été consacrés. De Charles Caudrelier, grand vainqueur, à Armel Le Cléac’h, troisième, en passant par Thomas Coville, deuxième ; revivez leurs carrières à travers ces épisodes enregistrés le 18 septembre 2018 pour Charles Caudrelier, le 1er avril 2020 pour Armel Le Cléac'h et le 1er janvier 2022 pour Thomas Coville.

    --

    Quand on s'assoit face à lui après avoir installé les micros, on sait qu'on va en avoir pour son argent... et qu'il faut se caler confortablement. Car Thomas Coville, 53 ans, est un marin éclectique, doublé d'un formidable conteur.

    L'invité idéal, donc, pour fêter ce 50e épisode d'Into The Wind : un épisode exceptionnel en trois parties pour six heures d'interview - avec une pause déjeuner au milieu, rassurez-vous - mais nous n'avons pas vu le temps passer !

    Thomas Coville, boulimique de la mer et des bateaux, a couru sur presque tous les supports et sur toutes les mers, en plus de trois décennies d'une carrière d'une rare intensité. A part la voile olympique, c'est bien simple, il a touché à tout.
    Première diffusion le 21 janvier 2022
    Rediffusé le 1er mars 2024
    Le Tour de France à la voile ? Il les enchaîne en guise de formation dans les années 1980. Le multicoque ? Il apprend tout avec Laurent Bourgnon. La Coupe de l'America ? Il participe à l'édition 1995 au sein du team de Marc Pajot.
    En rentrant de San Diego, il réalise un enchaînement impeccable : Trophée Jules Verne avec Olivier de Kersauson (record), Mini Transat quelques mois plus tard (2e), puis Route de l'Or avec Yves Parlier (vainqueur) qui lui confie Aquitaine Innovations pour le Rhum 1998 après sa chute de parapente (vainqueur).

    C'est là qu'il est recruté par Sodebo pour remplacer Raphaël Dinelli sur l'Imoca vendéen : victoire dans la Transat Jacques Vabre 1999 et Vendée Globe dans la foulée (6e). S'en suivent plus de deux décennies de partenariat qui courent encore.

    Aux cinq saisons - difficiles - en Orma, succèdent dix années ou presque d'une quête personnelle, celle du Trophée Saint-Exupéry, le record du tour du monde en solitaire "overall", qu'il décroche à sa cinquième tentative, le jour de Noël 2016.

    Sans parler des "extras", qu'il pratique avec bonheur, des piges sur le Trophée Jules Verne - remporté une seconde fois avec Franck Cammas en 2010 - et sur la Volvo Ocean Race - plusieurs participations, dont une victoire, toujours avec Cammas en 2012.

    Bilan : 8 tours du monde, 10 passages du cap Horn, une vingtaine de transats... et la liste n'est pas close. Désormais pilote d'Ultime, Thomas Coville vise le Rhum 2022 puis le Tour du monde en solitaire en 2023. Insatiable.

    Première diffusion le 21 janvier 2022
    Rediffusé le 1er mars 2024
    Générique : In Closing – Days PastPost-production : Clovis Tisserand

    Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

    • 1h 50 min

Avis

4,9 sur 5
929 notes

929 notes

Anne° ,

La bible de la course au large

Merci PYL , des podcasts à écouter sans modération ⛵️

Alex SB. ,

Suggestion

Pierre Yves, on rêverait d entendre Jean Yves Chauve nous raconter ses Vendées Globe!

deuxcentcinquante ,

Authentique pépite

Ces podcasts sont une incorruptible plongée dans l’intimité des champions, qui ont chacun eu une vie incroyablement riche

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