Choses à Savoir TECH

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  1. L’IA va nous aider à parler aux animaux ?

    HACE 1 H

    L’IA va nous aider à parler aux animaux ?

    L’intelligence artificielle ne cesse d’élargir son champ d’application, et aujourd’hui, elle s’attaque à un défi surprenant : décrypter les émotions des animaux. Des chercheurs à travers le monde développent des outils capables d’analyser leurs expressions faciales pour mieux comprendre leur état de santé et leur bien-être. En Angleterre et en Écosse, une équipe de l’Université de l’Ouest de l’Angleterre et du Scotland’s Rural College a conçu Intellipig, un système d’IA capable de détecter la douleur, la maladie ou la détresse émotionnelle chez les cochons. En analysant des milliers d’images du visage des animaux, cette technologie pourrait alerter les éleveurs en cas de problème, améliorant ainsi le suivi sanitaire des élevages. Le processus repose sur une première phase de catégorisation des expressions observées chez les cochons. Une fois ces données compilées, l’IA est entraînée à reconnaître automatiquement les signes de mal-être. Une avancée qui pourrait révolutionner l’élevage en offrant une surveillance plus fine du bien-être animal. De leur côté, des chercheurs de l’université d’Haïfa en Israël s’intéressent aux chiens. Connue pour son système de reconnaissance faciale permettant de retrouver des chiens perdus, l’équipe développe aujourd’hui une IA capable d’identifier les signes d’inconfort sur le visage des chiens. Un projet d’autant plus prometteur que les chiens partagent 38 % des expressions faciales humaines. Alors, l’IA pourra-t-elle bientôt nous permettre de mieux comprendre nos animaux de compagnie ? Si ces recherches progressent, on pourrait bien, dans un futur proche, savoir avec précision ce que ressent notre chien ou notre chat. Une révolution qui ouvrirait la voie à une toute nouvelle forme de communication entre l’Homme et l’animal. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.

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  2. X et Grok-3 dépassent ChatGPT ?

    HACE 1 DÍA

    X et Grok-3 dépassent ChatGPT ?

    La bataille pour l’intelligence artificielle la plus avancée s’intensifie. Alors que le marché digère encore l’arrivée de DeepSeek R1 et que GPT-4.5 et GPT-5 se profilent à l’horizon, Elon Musk frappe fort avec Grok-3, le dernier-né de sa société xAI. Selon le milliardaire, cette IA serait ni plus ni moins « la plus intelligente sur Terre aujourd’hui ». Grok-3 impressionne par ses capacités de raisonnement inédites, que Musk lui-même qualifie d’« effrayantes ». Son secret ? Une puissance de calcul décuplée par rapport à Grok-2, grâce à l’extension du supercalculateur Colossus, qui atteindra bientôt 200 000 puces Nvidia. Mais au-delà de la puissance brute, Grok-3 excelle aussi dans l’interaction. Trois fois plus rapide que son prédécesseur, il dispose de capacités multilingues avancées, rendant ses échanges plus fluides et naturels. Côté performances, les premiers benchmarks le placent devant Gemini 2 Pro, DeepSeek R1, Claude 3.5 et o3-mini, notamment en mathématiques, sciences et codage. Le tout en conservant la tonalité plus directe et moins « filtrée » qui distingue xAI de ses concurrents. Pourtant, accéder à Grok-3 reste un privilège. Seuls les abonnés X Premium+ aux États-Unis peuvent en profiter dès maintenant, moyennant 22 dollars par mois. Mais xAI voit plus grand avec SuperGrok, une offre premium indépendante de X Premium. Pour 30 dollars par mois ou 300 dollars par an, elle promet un accès illimité aux fonctionnalités avancées, notamment la DeepSearch pour des recherches approfondies. Quant à une ouverture plus large, aucune date précise n’a été annoncée. Un déploiement progressif est attendu, d’abord sur des marchés clés avant une éventuelle généralisation. Les plus curieux peuvent néanmoins tester Grok-3 sur Chatbot Arena, pour se faire une idée de cette IA que Musk considère déjà comme révolutionnaire. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.

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  3. Zonos, l’IA ultime pour cloner une voix ?

    HACE 2 DÍAS

    Zonos, l’IA ultime pour cloner une voix ?

    Un simple extrait de voix de 5 à 30 secondes, et voilà qu'une intelligence artificielle est capable d'imiter une voix avec une précision troublante. C’est la prouesse réalisée par Zonos, le tout dernier modèle open-source de la société Zyphra. Disponible en version bêta, ce modèle de synthèse vocale illustre autant l’évolution fulgurante de l’IA que les défis éthiques qu’elle soulève. Zonos repose sur deux modèles avancés, chacun intégrant 1,6 milliard de paramètres. L’un utilise une architecture transformers, tandis que l’autre combine cette approche avec Mamba (SSM), optimisant ainsi la latence et la consommation de mémoire. Open-source sous licence Apache 2.0, il est librement accessible sur GitHub et Hugging Face, une aubaine pour les développeurs et chercheurs. L’IA a été entraînée sur un impressionnant corpus de 200 000 heures d’audio multilingue (anglais, français, espagnol, chinois, japonais, allemand). Elle peut ainsi générer des voix synthétiques ultra-réalistes, modulables selon plusieurs paramètres : débit, hauteur, émotion (joie, colère, tristesse). Le tout en haute fidélité (44 kHz) et avec une latence réduite entre 200 et 300 millisecondes sur une carte NVIDIA RTX 6000 Ada. Facile à installer, Zonos permet, via une interface intuitive, d’importer un échantillon vocal et de générer un fichier audio personnalisé en quelques secondes. Une accessibilité qui pose immédiatement la question des usages malveillants. Lors de tests réalisés par The Register, des enregistrements produits avec Zonos ont trompé des proches pendant quelques secondes, avant que de légères anomalies (rythme mécanique, intonations artificielles) ne révèlent la supercherie. Mais ces imperfections pourraient rapidement disparaître avec l’amélioration des algorithmes. Les risques sont bien réels : arnaques vocales, usurpations d’identité, faux messages politiques, deepfakes. En 2024, plusieurs escroqueries sophistiquées utilisant des imitations de voix ont déjà été signalées en Europe. Pour autant, cette technologie ne présente pas que des dangers. Zonos pourrait être utilisé pour restaurer la voix de personnes ayant perdu l’usage de leurs cordes vocales, améliorer les livres audio multilingues, ou encore faciliter la création de contenus accessibles. Zyphra affirme vouloir encourager l’innovation dans ces domaines, mais son approche open-source facilite une diffusion rapide et incontrôlée. Alors que des entreprises comme ElevenLabs ou Apple explorent des usages encadrés dans un cadre médical ou commercial, Zonos échappe à toute régulation. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.

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  4. Les chatbot IA déforment l’actualité ?

    HACE 3 DÍAS

    Les chatbot IA déforment l’actualité ?

    L’intelligence artificielle s’impose de plus en plus dans notre quotidien, notamment pour résumer des articles de presse en quelques secondes. Mais ces outils sont-ils réellement fiables ? La BBC a mené une enquête en testant quatre technologies d’IA générative : ChatGPT (OpenAI), Copilot (Microsoft), Gemini (Google) et Perplexity. Les résultats sont loin d’être aussi performants que le promettent les grandes entreprises du secteur. Pour cette expérience, la BBC a temporairement autorisé ces IA à utiliser ses articles et ses archives afin d’améliorer leur capacité à répondre aux requêtes d’actualité. Les journalistes ont ensuite posé 100 questions à chaque IA, en demandant un résumé précis et contextuel. Sept critères ont été évalués : exactitude, attribution des sources, impartialité, distinction entre fait et opinion, éditorialisation, contexte et fidélité au contenu d’origine. Le verdict est sans appel : 51% des réponses contiennent des erreurs significatives. Plus inquiétant, 19% des citations attribuées à la BBC sont erronées et 13% sont inventées ou inexistantes dans les sources citées. Perplexity se distingue comme le plus fiable, bien que son traitement des citations soit parfois approximatif. Microsoft Copilot souffre d’un recours excessif à des sources obsolètes, générant des erreurs d’interprétation. Google Gemini arrive dernier, avec un taux d’erreur record de 34%. Un exemple marquant : Gemini affirme que le NHS (système de santé britannique) déconseille la cigarette électronique pour le sevrage tabagique, alors que l’institution la recommande. Face à ces résultats, la BBC ne se contente pas d’un constat. Elle appelle les entreprises technologiques à travailler plus étroitement avec les médias pour fiabiliser leurs algorithmes. Elle plaide aussi pour une régulation adaptée, afin d’encadrer la diffusion d’informations générées par l’IA. En attendant, la prudence est de mise : vérifiez toujours les sources, croisez les informations et ne prenez pas pour argent comptant les résumés fournis par une intelligence artificielle. L’IA reste un outil utile, mais rien ne remplace le travail des journalistes pour une information fiable et contextualisée. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.

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  5. Elon Musk tente de racheter OpenAI ?

    HACE 4 DÍAS

    Elon Musk tente de racheter OpenAI ?

    Derrière les annonces spectaculaires, une stratégie bien huilée. La lettre d’intention rendue publique mercredi lève le voile sur les véritables enjeux de la tentative avortée de rachat d’OpenAI par Elon Musk et son consortium. Un ultimatum est posé : réponse exigée avant le 10 mai 2025, sauf si OpenAI rejette l’offre plus tôt ou conclut un autre accord. Une pression tactique, malgré les démentis de Sam Altman. Les conseils d’administration ont l’obligation légale d’étudier toute offre sérieuse. Or, trois jours après son annonce, OpenAI n’avait toujours pas rejeté la proposition. L’offre de Musk, financée intégralement en cash, tranche avec ses montages financiers habituels, comme lors du rachat de Twitter. Si certains fonds sont identifiés (8VC, Vy Capital), d’autres investisseurs restent inconnus. Mais ce rachat nécessitait l’accès à des données confidentielles d’OpenAI : documents financiers, infrastructures techniques, entretiens avec des employés. Une démarche classique, mais qui pose problème : Musk dirige xAI, un concurrent direct. L’initiative de Musk se heurte à une contradiction majeure. Il poursuit OpenAI en justice pour empêcher sa conversion en entreprise à but lucratif… tout en tentant de racheter ses actifs. Pour les avocats d’OpenAI, c’est « une manœuvre pour déstabiliser un concurrent. Musk cherche à bloquer l’évolution d’OpenAI tout en s’imposant comme repreneur », décrypte un expert en droit des affaires. Une posture risquée qui pourrait se retourner contre lui en justice. Avec une valorisation d’OpenAI flirtant avec 300 milliards de dollars, la proposition de Musk semble insuffisante. Altman ne s’y est pas trompé, dénonçant une « tactique de déstabilisation ». Sa réponse ironique ? Une contre-offre : racheter X (ex-Twitter) pour 9,74 milliards. Ce bras de fer s’inscrit dans un passif houleux entre les deux hommes, remontant à 2018, lorsque Musk avait quitté OpenAI sur fond de désaccords stratégiques. Pendant que Musk tente d’imposer sa vision, OpenAI poursuit son virage structurel. Le projet Stargate, développé avec Microsoft et Oracle, prévoit 500 milliards de dollars d’investissement en infrastructures cloud pour l’IA sur cinq ans. Une transformation à marche forcée qui enterre définitivement l’ambition initiale d’OpenAI : rester une organisation à but non lucratif. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.

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  6. WikiTok : quand Wikipédia devient le TikTok du savoir ?

    13 FEB

    WikiTok : quand Wikipédia devient le TikTok du savoir ?

    Les géants du numérique ont façonné nos habitudes avec leurs algorithmes addictifs, maximisant notre temps d’écran. Mais face à cette logique, une nouvelle approche émerge : WikiTok. Développé par Isaac Gemal, un ingénieur new-yorkais, cet outil détourne le modèle du scroll infini pour offrir un contenu… 100 % encyclopédique. Accessible via un simple navigateur, WikiTok reprend le geste du swipe, popularisé par Tinder et TikTok, mais sans publicité ni profilage utilisateur. À chaque mouvement vers le haut, un nouvel article de Wikipédia apparaît, accompagné de son résumé et d’une illustration principale. L’application repose sur l’API publique de Wikipédia, garantissant une mise à jour permanente et une navigation fluide sur mobile comme sur ordinateur. L’idée séduit : en moyenne, les utilisateurs consultent 12 articles par session, oscillant entre la découverte fortuite et l’exploration ciblée. "C’est comme tomber sur une chaîne YouTube éducative qui ne s’arrête jamais", témoigne un internaute sur Reddit. Et pourtant, le concept a ses limites. L’absence de personnalisation – pas de filtres par catégorie, pas d’historique de navigation – empêche de retrouver facilement un contenu intéressant. Et si l’objectif est d’échapper à la logique des algorithmes, certains y voient tout de même un risque de consommation compulsive, un “doomscrolling” du savoir qui pourrait nuire à la mémorisation des informations. Une étude citée par Wikipédia rappelle d’ailleurs que le défilement continu réduit la rétention mémorielle de 23 % par rapport à une navigation plus structurée. Pour son créateur, WikiTok reste un espace d’apprentissage libre et neutre. "Sans algorithme de recommandation, l’expérience est totalement aléatoire", explique-t-il. Contrairement aux réseaux sociaux qui enferment l’utilisateur dans des bulles filtrantes, chaque swipe ici est une véritable loterie intellectuelle. Une alternative rafraîchissante, à mi-chemin entre la sérendipité et la soif de connaissance. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.

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  7. IA : 100 milliards d’investissement en France ?

    12 FEB

    IA : 100 milliards d’investissement en France ?

    L’intelligence artificielle est plus qu’une révolution technologique : c’est un enjeu économique et stratégique majeur. Et sur ce terrain, la France entend bien jouer les premiers rôles. Emmanuel Macron l’a réaffirmé ce dimanche 9 février sur France 2, dévoilant un plan d’investissement massif de 109 milliards d’euros pour développer l’IA dans l’Hexagone. Objectif : assurer une souveraineté européenne, encadrer la technologie et rivaliser avec les géants américains et chinois. Face à la montée en puissance d’OpenAI et des GAFAM, la France ne veut pas rester spectatrice. Dans son interview, Emmanuel Macron a martelé l’importance d’un investissement massif, réparti entre la recherche, l’industrialisation des modèles IA et le soutien aux start-up. Parmi les priorités annoncées : -des data centers bas carbone pour répondre aux défis énergétiques de l’IA. -le développement d’algorithmes souverains pour éviter une dépendance aux géants étrangers. -la formation de 100 000 experts en IA par an, pour renforcer la compétitivité française. L’Hexagone veut s’appuyer sur ses propres champions, à l’image de Mistral AI, cette start-up prometteuse qui ambitionne de concurrencer les modèles américains et chinois. Un enjeu stratégique, car, comme le rappelle Emmanuel Macron : "Si nous n’investissons pas, nous serons dépendants des autres." Investir, oui, mais sans négliger l’éthique. L’intelligence artificielle soulève des interrogations profondes, notamment sur son impact sur l’emploi. Le président se veut rassurant : "L’IA ne remplacera pas l’humain, elle l’aidera." L’objectif ? Réduire la pénibilité des tâches répétitives plutôt que de supprimer des postes. Mais le défi est aussi juridique : la France ne veut pas brider l’innovation par une réglementation trop contraignante, tout en évitant une dérive incontrôlée. Emmanuel Macron plaide ainsi pour une régulation mondiale, estimant qu’un encadrement strict limité à l’Europe serait insuffisant face à la dynamique des grandes entreprises étrangères. L’IA est aussi un enjeu géopolitique. La France veut renforcer ses alliances, notamment avec l’Inde, qui forme un million d’ingénieurs par an. Un partenariat stratégique qui vise à développer une IA indépendante, loin de l’influence des États-Unis et de la Chine. Enfin, la question écologique est au cœur des préoccupations. Le développement de l’IA est extrêmement énergivore, et la France veut se démarquer en proposant des modèles plus économes. Avec un mix énergétique parmi les plus propres au monde, l’Hexagone entend attirer les investisseurs soucieux de durabilité. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.

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  8. Emmanuel Macron s’essaye aux parodies d’IA ?

    11 FEB

    Emmanuel Macron s’essaye aux parodies d’IA ?

    Début février, Emmanuel Macron a surpris tout le monde en prenant un pari audacieux : embrasser pleinement l’autodérision face aux vidéos parodiques générées par l’intelligence artificielle. À la veille du Sommet mondial pour l’action sur l’IA, qui s’ouvre à Paris, le président a partagé sur ses propres réseaux sociaux une compilation des deepfakes les plus viraux le mettant en scène. Les internautes ont d’abord cru à une cyberattaque en voyant défiler sur Instagram, TikTok et X des vidéos où Emmanuel Macron apparaît sous les traits d’une chanteuse blonde à frange façon Angèle, ou encore déguisé en MacGyver. Mais très vite, le président est apparu en personne dans une séquence où il réagit avec humour : « Bien joué… C’est assez bien fait, ça m’a plutôt fait rire. » Une posture inhabituelle pour un chef d’État, d’autant plus qu’une autre parodie, le montrant incrusté dans une scène culte d’OSS 117, reprend l’une de ses propres citations sur son amour de la “bagnole”. Un exercice de communication aussi risqué qu’original, qui tranche avec la prudence habituelle des politiques face aux détournements d’image. Derrière cet apparent moment de légèreté, une stratégie bien rodée. Cette publication intervient à la veille du Sommet mondial pour l’action sur l’IA, qui se tient les 10 et 11 février au Grand Palais. Un rendez-vous de taille où Emmanuel Macron réunira des chefs d’État et des leaders du secteur technologique, avec un objectif clair : positionner la France comme un acteur majeur de la révolution de l’intelligence artificielle. Dans sa vidéo, le président insiste sur les grandes avancées que l’IA peut apporter, notamment dans la santé ou l’énergie. Mais il profite aussi de l’occasion pour sensibiliser le public sur les deepfakes, ces contenus manipulés qui peuvent être aussi bien humoristiques que malveillants. Pour approfondir cette question, Emmanuel Macron s’exprimera ce soir sur France 2, afin de décrypter les enjeux de l’intelligence artificielle et des fakes qui circulent de plus en plus sur la toile. En attendant, une chose est sûre : en mêlant autodérision, pédagogie et communication politique, le président a réussi son coup. Une manière habile d’attirer tous les regards vers le sommet qui s’ouvre demain à Paris. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.

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