26 épisodes

Bienvenue sur le podcast qui nous accompagne dans la création de la vie que nous souhaitons mener. Savez-vous que notre inconscient guide 90% de nos actes? Savoir le decrypter est une trésor inestimable. Dans ce podcast, explorons-le ensemble afin de reprendre le pouvoir que nous avons sur notre vie.



Je suis Julia et je vous propose de découvrir ensemble les techniques qui boostent notre bien-être physique et mental. Connaissance de soi, alimentation adaptée, développement personnel, psychologie seront au rendez-vous pour nous aider à nous libérer de nos blocages. Apprenons à nous connaître et à orienter nos pensées pour une vie épanouie!

Sensible & décomplexée ‪☽‬ Julia Bouchinet

    • Forme et santé
    • 5,0 • 12 notes

Bienvenue sur le podcast qui nous accompagne dans la création de la vie que nous souhaitons mener. Savez-vous que notre inconscient guide 90% de nos actes? Savoir le decrypter est une trésor inestimable. Dans ce podcast, explorons-le ensemble afin de reprendre le pouvoir que nous avons sur notre vie.



Je suis Julia et je vous propose de découvrir ensemble les techniques qui boostent notre bien-être physique et mental. Connaissance de soi, alimentation adaptée, développement personnel, psychologie seront au rendez-vous pour nous aider à nous libérer de nos blocages. Apprenons à nous connaître et à orienter nos pensées pour une vie épanouie!

    Angoisse de séparation: les conséquences

    Angoisse de séparation: les conséquences

    L’angoisse de séparation apparaît pour la première fois lors de la toute petite enfance et peut amener être synonyme de déprime. Voire de dépression à l’âge adulte. Nous la décryptons ensemble !



     

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    Psychologie de l’enfant 

    Un bébé, pour grandir et traverser les différents stades de développement qui se présentent à lui, a besoin de s’émanciper en étant amené à une forme de séparation progressive rassurante, sécurisante et saine pour lui. Baignant dans un amour inconditionnel, il aura aussi besoin, dés ses 6 mois, de goûter à des premiers interdits, de l’ordre de la frustration. Cela lui permettra de comprendre qu’il y’a un cadre et qu’il fait partie d’un environnement générale dans lequel il n’est pas le centre unique d’attention.

    Ces frustrations, bien posées sont tout à fait rassurantes pour lui et l’amène à comprendre qu’il fait partie d’u système dans lequel il est un membre à part entière.

    Cette prise de conscience pour lui, est très violente car depuis sa naissance, tout est confus entre ce qui est de lui, de l’autre, de l’extérieur ou de l’intérieur.

    La relation mère/ enfant

    Dés la naissance, l’enfant est en forte demande d’un lien relationnel, avec sa mère ou la personne qui se trouve dans son environnement, qui incarne son premier objet d’amour. C’est d’ailleurs son besoin primaire.En effet, ce besoin est psychique car il souhaite être reconnu.

    Contrairement à ce que l’on imagine, le premier besoin de l’enfant n’est pas alimentaire mais relationnel. Il met en oeuvre ce qu’il faut pour entrer en relation avec la mère même avant la naissance:il est préparé à sourire. S’il y’a une relation forte établie entre sa mère et lui, tout le reste va de soi.

    Il est vital pour lui que la relation à sa mère soit fusionnelle dans un premier temps (jusqu’à ses 6 mois). Sa première angoisse est une angoisse de séparation. Elle-même, est liée à son appréhension d’avoir la capacité ou non de gérer ses pulsions.

    En effet, il a plusieurs choix: gérer ses pulsions (notamment agressives) et préserver la relation à sa mère. Ou bien, les laisser les exprimer, et porter préjudice à cette relation. D’ailleurs, un enfant au stade des 6 mois, se rend compte qu’il n’est pas sa mère et qu’il sont deux être différenciés. Il va alors pouvoir se griffer lui même en ayant pour intention de griffer sa mère.

    L’enfant sécurisé

    Pour l’enfant sécurisé, les angoisses s’atténuent automatiquement avec le temps. Il ressent et vit très bien la relation à sa mère même s’il est défusionné d’elle. Sa perception de cette relation est alors positive et les « retours sur investissements » de cette relation lui sont satisfaisants. Il passera la phase dépressive qui s’ensuit de manière plutôt stable et équilibrée.

     



    L’enfant insécurisé

    Pour l’enfant insécurisé (ce qui dépend du comportement de la mère mais aussi de la perception propre de l’enfant), il y’aura une phase dépressive très importante lors de ce premier stade de sa vie. Il vit cette angoisse prédominante de séparation comme un choc traumatique. Il pourrait ne pas réussir à préserver la relation à sa mère… Deux solution s’offrent à lui:



    * lui exprimer une très forte agressivité

    * retourner l’agressivité contre lui-même.



    Tout cela est pulsionnel et instinctif.

    • 9 min
    Les 5 points communs des hypersensibles

    Les 5 points communs des hypersensibles

    L’hypersensibilité est un fonctionnement du système nerveux qui est plus rapide que  la moyenne. Alors que ce type d’intelligence touche 20% de la population, elle est aussi synonyme de détresse émotionnelle, physique et psychique. En effet, être intelligent et pour autant, avoir des difficultés d’adaptation et de socialisation importantes ne concorde pas. Et pourtant… la réalité démontre des souffrances importantes de la part des hypersensibles qui pensent ne pas pouvoir rentrer dans les normes. Ils le peuvent, à leur façon, mais devront d’abord apprendre à se connaître et à maîtrisiez leurs ressources énergétiques afin de s’épargner plutôt que de se sacrifier. 



    « Étranges rapports. Est-ce que l’extrême pensée et l’extrême souffrance ouvriraient le même horizon? Est-ce que souffrir serait, finalement, penser ? » Maurice Blanchot

    Nous pouvons aujourd’hui le dire, il existe un lien très fort entre une extrême intelligence et une vulnérabilité psychologique. Nous pouvons l’expliquer par le fait que l’intelligence est souvent synonyme de performance dans la pensée collective. Et pourtant, une intelligence, quelle qu’elle soit, peut être associée à des souffrances et une sensations d’échecs. Car l’intelligence peut être, même si elle est, autrement…

    « Étranges rapports. Est-ce que l’extrême pensée et l’extrême souffrance ouvriraient le même horizon? Est-ce que souffrir serait, finalement, penser ? » Maurice Blanchot

    Il y’aura des phases de fluctuations et des transitions car être hypersensible c’est ressentir TOUT d’une telle puissance que c’est à se demander demander si cela est réellement possible. Mais, in fine, c’est un très beau cadeau lorsque cette particularité sait être apprivoisée. 



    Afin de vous aider sur ce chemin d’introspection, que ce soit pour vous même ou pour vous intéresser à un proche, voici quelques pistes de compréhension de certaines des souffrances, communes à tous les hypersensibles. 

    👸1. La Différence. « L’hyperréceptivité émotionnelle est centrale «  chez l’hypersensible (cf. livre « Trop intelligent pour être heureux? »). Il ressent, vit, réceptionne, lit les émotions des autres, des lieux, des situations. c’est comme s’il vivait en même temps que l’autre tout ce qu’il ressent en terme émotionnel. Le challenge sera alors de s’impliquer tout en gardant une pourcentage d’énergie en priorité pour lui-même. Alors, c’est une forme de maîtrise émotionnelle et énergétique qui se doit d’être acquise. Cette hyperesthésie amène l’hypersensible à développer des capacités supérieures à la moyenne qui peuvent le rendre « étrange » aux yeux des autres

    🤯2. La saturation. Trop de monde, du bruit, de lumière et un évènement peut devenir une source d’informations infinie pour un hypersensible qui doit les traiter de manière approfondie. Il pourrait alors avoir besoin de plusieurs jours de ressourcement, de recharge énergétique pour se remettre d’aplomb. Cela s’explique par le fait qu’un contexte chargé d’informations, en particulier émotionnelles, peut l’empêcher de canaliser son attention. Il va alors se mettre en pause afin de pouvoir se concentrer sur le minimum nécessaire: ce n’est pas qu’il est absent, mais qu’il tente de s’adapter. Pensez dans ce cas: économie d’énergie! 

    💩3. La Honte: Cela rejoint le sentiment d’infériorité par rapport aux autres: ceux qui savent prendre du recul, gérer leurs émotions, être à l’aise en groupe, en public sont vraiment idéalisés par les hypersensibles pour qui c’est un combat permanent.. La honte peut notamment être ressentie lorsque la communication vient à bloquer. Un hypersensible peut facilement bafouiller, chercher ses mots, ne pas réussir à poser des idées sur ce qu’il ressent… C’est assez fréquent car il peut se perdre da

    • 13 min
    Deuil: Les 5 étapes

    Deuil: Les 5 étapes

    Le deuil se produit dans notre vie lorsque nous nous confrontons à une perte. Nous voulons souvent passer à autre chose, avancer, oublier…​Comme si rien n’avait exister, nous pouvons fantasmer que nous avons cette capacité de tourner la page en une décision. Néanmoins, la bienveillance envers nous-mêmes dans ces situations de fragilité psychique, physique et émotionnelle est primordiale. C’est à ce moment-même que nous pouvons parler d’auto-respect, d’auto-valeur, d’auto-compassion.

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    Attention au refoulement

    Il est tout à fait fréquent de souffrir tellement fort que nous voulons juste que cela s’arrête. Alors, via une jolie convention mentale, nous déplaçons cette douleur dans le champ du refoulé afin que cela soit stocké à un autre endroit. Celui qui gère la « casse », les oublis, les traumatismes non digérées. En ce sens, nous clivons certaines situations de notre vie afin que tout le reste de notre quotidien se passe de la meilleure manière possible. Nous pouvons détecter ce clivage lorsque, par exemple, il nous est vraiment difficilement gérable voire impossible d’évoquer la (les) situation(s) en question. Nous pouvons peut-être nous mettre à pleurer instinctivement, ressentir un mal-être profond, être complètement handicapé ou bloqué. Tous ces signes de contraction émotionnelle sont à aller libérer afin d’effectuer un travail accompli de nos difficultés.

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    Ce qui n’est pas traité en profondeur est latent

    Cette fameuse case « refoulé » n’est qu’un leurre temporaire pour nous permettre de survivre, en quelque-sorte, dans une situation de crise. C’est un moyen de se protéger, d’ignorer, de « contrôler » ce qui se passe en nous. Néanmoins, tout ce qui n’est pas réglé, digéré, vécu réellement, est agissant à l’intérieur de nous sans que nous nous en rendions compte. C’est pourquoi, tous les comportements que nous adoptons sont en réponse à notre vie, notre éducation, nos blessures profondes… Nous nous adaptons très fréquemment pour ne plus jamais ressentir ce qui nous a réellement affligé. Lorsque nous avons dû couper des liens, que des disputes ont eu lieu de manière non « rattrapables » ou bien que nous avons eu affaire face à la maladie, à la mort, à la perte… Offrons-nous ce cadeau de ressentir pleinement ce qui se passe à l’intérieur de nous.  Toutes les émotions qui passent ne se bloqueront pas en nous… Elles seront libérées! Ensuite, le temps et le respect de notre rythme seront essentiels.

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    1. Le Déni. 

    Tout deuil débute par un déni. « Non, ce n’est pas possible, je n’y crois pas ». C’est une étape tout à fait normale du processus du deuil. Nous dénions la réalité car elle est trop violente et  agressive pour nous à ce moment-là. Alors, nous nous rassurons avec des images qui nous font du bien et qui nous apaisent. C’est une phase durant laquelle nous ne sommes pas capables d’intégrer la réalité.

    « Un seul être vous manque et tout est dépeuplé​ » Lamartine

    2. Le Marchandage

    Par la suite, nous pouvons rechercher toutes les solutions possibles et inimaginables pour ne pas que cela soit réel. Alors, nous pouvons par exemple regarder sur les forums quelles les possibilités qui s’offrent à nous nous ou à la personne concernée pour transformer la situations. Nous sommes dans une phase de collecte d’informations pour tenter de maintenir sous contrôle ce qui nous effraie le plus...

    • 21 min
    Comment arrêter de culpabiliser et enfin prendre sa place ?

    Comment arrêter de culpabiliser et enfin prendre sa place ?

    Arrêter de culpabiliser, c’est déjà prendre conscience de notre valeur. Pour créer notre réalité, vivre ce que nous désirons, il est primordial de faire le point sur qui nous sommes et ce qui est important pour nous. En effet, culpabiliser est un moyen de nous continuer à croire que nous sommes « inférieurs », « nul », « moins que », « trop ci, ou trop ça…. ». Et pourtant, c’est souvent une perception biaisée qui nous fait miroiter cela. Mais pas la part de nous qui est confiante, sereine, prête à vivre des expériences constructive.

    « La culpabilité et le péché ne sont que des peurs du passé » Charles P.Curtis

     



    Comment savoir si l’on culpabilise?

    1. Culpabiliser, c’est déjà penser que l’on n’a pas le droit de culpabiliser! C’est ce cercle vicieux dans lequel nous sommes pris, sans fin. En effet, c’est ce sentiment selon lequel nous ne « méritons pas mieux » ou nous « méritons » ce qui nous arrive, car nous avons mal fait. En effet, si vous avez tendance à régulièrement douter de vous-même, de vos capacités, de vos compétences et de votre image, il est fort possible que vous souffriez de culpabilité. Repensez à la dernière fois où vous vous êtes senti coupable de quelque-chose, comment cela se manifestait-il dans votre corps ?

    2. Nous nous sentons régulièrement angoissés! C’est un des éléments indissociables de la culpabilité. Elles peuvent être chroniques, régulières ou plus rares… Elles sont vivent ou plutôt latentes. Elles nous prennent de court, par surprise. Elles peuvent survenir dans un environnement dans lequel nous « devrions » nous sentir pourtant bien, en sécurité. Elles sont incompréhensibles et nous prennent énormément d’énergie. Repensez à la dernière fois où vous vous êtes senti angoissé, comment cela se manifestait-il dans votre corps ?

    3.Vous utilisez cette phrase « Oui, mais si j’avais fait comme ça… les choses se seraient passées comme ça ». Comme si vous aviez le pouvoir de tout, tout le temps, avec tout le monde. Il est important de remettre dans le contexte que la culpabilité ne survient que si traumatisme il y’a, dans lequel justement nous pensons porter l’entière responsabilité. Cela explique notamment pourquoi dans la même situation, deux personnes ne réagissent pas forcément de la même manière. L’une va se sentir coupable, et l’autre non.

    « Les traumatismes infantiles nous suivent à l’âge adulte, c’est une charge que nous porterons toute la vie »​

     



    Comment faire lorsque l’on culpabilise ?

    1. La première question a vous poser dans ce cas là est la suivante: Avez-vous fait du mieux que vous pouviez ?

    Si la réponse est oui, alors sachez que vous n’auriez pas pu faire plus. Lorsque nous souffrons de culpabilité, nous pensons souvent être le responsable de tout. Néanmoins, dans les interactions sociales par exemple, la responsabilité est toujours partagée. Hormis le fait que certaines personnes communiquent mieux que d’autres, parce qu’il n’est pas si aisé de s’exprimer avec clarté et droiture, dés lors que l’intention de départ est bienveillante, il n’y a pas de raison de culpabiliser. Nous pouvons alors constater que la culpabilité repose sur des mécanismes bien plus profonds.

    Néanmoins, si l’on en vient à culpabiliser, c’est que cela touche notre réservoir d’estime de nous-même. C’est à dire, que nous avons souvent attiré à nous la déception, la désillusion, l’humiliation, la a href="https://creetarealite.

    • 17 min
    5 outils pour gérer ses émotions

    5 outils pour gérer ses émotions

     

    Cliquer ici pour écouter le podcast:

    Il est normal d’être débordé, surmené, dépassé parfois. Les émotions sont des énergies qui nous traversent et qui nous guident intensément. Découvrez 5 clés pour les gérer.

    « Le problème aujourd’hui n’est pas l’énergie atomique, mais le coeur des hommes » Albert Einstein

    L’idée de gérer l’émotion pour s’en débarrasser peut nous traverser l’esprit. Et pour autant, il est illusoire de penser que nous pouvons nous défaire d’elles seulement au pouvoir de notre intention. D’une part, parce que le soulagement ne serait que temporaire. Et d’autre part, parce qu’elles sont un indicateur puissant de ce que souhaite nous communiquer notre inconscient. Le tout, est de pouvoir les décrypter.

    L’angoisse, par exemple, décrit un état de mal-être intérieur qui nous est inconnu. Alors, dans ce cas-là, nous transformerons ce mal être en stress afin d’avoir une explication à celui-ci. Par exemple, si nous sommes angoissé et un mal de ventre se déclenche, nous allons inconsciemment tenter de nous raccrocher à une justification pour nous soulager. Cela ne sera que passager, car l’angoisse de fond n’ayant pas été conscientisée, elle se représentera sous une autre forme. C’est le cas, notamment, des problèmes de peau qui se déplacent de zone corporelle ou bien qui se transforme. Nous pouvons souffrir d’acné, puis ensuite, d’eczéma. Le conflit psychique originel est le même.

    « S’inquiéter, c’est du temps perdu. Utilisez la même énergie pour faire quelque chose qui vous inquiète. » Oprah Winfred

    Cliquer ici pour écouter le podcast:



    Alors, c’est parti pour la présentation de ces 5 clés:

    1.Observez-vous: Avant de rejeter nos émotions, il est primordial d’adopter une posture de recul. Si nous voyons nos émotions comme des enfants qui nous appellent, nous ne pourrons plus jamais les renier. Elles sont là, et elles nous délivrent un message qui peut nous permettre d’avancer. Essayas, à chaque fois qu’une émotion se présente, de noter laquelle elle est.

    2. Analysez-vous: Après l’observation, peut-être très intéressant de décrire les zones de notre corps concernées et les sensations qui nous parcourent. Nous pouvons nous poser les questions suivantes: Est-ce que je somatise ? Quelles problématiques mon corps exprime t-il? Où est-ce que je ressens une émotion ? Est-ce qu’elle est récurrente ? Quel évènement a provoqué cela en moi ? Est-ce que c’est lié à une situation? A une personne ? A une impression que j’ai ? A une peur ?

    3.Comprenez-vous: En fonction des zones localisées et des émotions décelées, nous pouvons alors nous comprendre d’avantage. Mais, ce travaille d’introspection est déjà primordial pour avancer et libérer notre corps du poids qu’il porte. Vous pouvez alors trouver en faisant des recherches, ce que veut vous communiquer votre inconscient au travers de votre corps. C’est un outil vraiment précieux, qui traduit se qui se passe dans votre vie psychique. En plus, il est à disposition! Si cela vous est trop fastidieux, la thérapie est faite pour cela. C’est un moyen de connecter votre esprit et votre corps afin que l‘inconscient devienne conscient. Cela ne se fait pas en un claquement de doigt, mais plutôt en prenant le temps de partir à la découverte de nous-même.

    • 11 min
    Qui es tu?

    Qui es tu?

    Qui es tu? Nous pensons souvent que c’est notre posture sociale ou professionnelle qui nous caractérisent. D’ailleurs, quand nous devons nous présenter, ce sont ces informations que nous offrons sur un plateau directement.

    Aujourd’hui, je vous partage un extrait d’accompagnement avec une jeune femme qui est sous pression. Changer de travail, trouver un travail à la hauteur de ses exigences, évoluer… telles sont ses préoccupations. Notamment, pour répondre aux attentes de la société, de sa famille, de son entourage proche.

    Lorsque nous avons baigné dans une structure familiale dans laquelle la posture sociale est un pré-requis pour être accepté, nous pouvons très vite avoir peur de ne pas être à la hauteur. Alors, entre comparaison, manque d’estime de soi et confiance en soi défaillante…nous pouvons perdre pied.

     

    « On est ce qu’où est ; vous ne me referez pas. » Victore Cherbuliez

     

    Qui es-tu ? Ta valeur

    Nous avons parfois l’impression qu’être fort, c’est avoir un statut social » haut classé ». Quand on nous pose la question: « Qui es-tu », nous pouvons alors, volontairement ou non, omettre certaines informations pour éviter la comparaison.

    Cela peut être une grande souffrance car la peur d’être rejette peur pointer le bout de son nez à tout instant. Alors, dans une configuration amicale ou familiale dans laquelle le poste que nous occupons est primordial, nous pouvons réellement ne pas être à notre place et complexer.

    Pression, mensualisation, surmenage…Cela peuvent être des difficultés qui rajoutent une souffrance à notre quotidien.

    « Il y a des moments où l’on croit être en plein brouillard, et ce n’est que de la buée sur le pare-brise. » Grégoire Lacroix



    Qui es-tu ? Ton identité

    Nous sommes notre identité. J’en parlais dans cet article, précédemment. Nous pouvons avoir tendance à penser que nous sommes notre personnalité, mais la réalité est que nous sommes nous. C’est à dire, tout ce qu’il reste sans ce derrière quoi nous nous cachons: travail, couple, famille, amis…

    Si demain vous êtes handicapés, comment vous vous définirez vous ?

    Prendrez-vous votre posture sociale pour parler de vous ?

    Penserez-vous que vous n’avez que des qualités au travers ce que vous faites ?

    J’aime prendre cet exemple car il nous montre à quel point, si nous sommes coupés de ce qui nous permet de faire, nous pourrons, d’avantage, être. Et, vibrer qui nous sommes. Cela permet de réfléchir et de se poser des questions importantes, au quotidien.

    « Les vocations se manifestent d’une façon négative, c’est-à-dire qu’on sait très bien tout ce qu’on ne veut pas être, mais qu’on ne sait pas ce qu’on veut être. » Jean Dutourd



    Conclusion

    Nous sommes ce que nous étions avant même de savoir parler.

    Il nous est souvent difficile de nous décrire, et pourtant, c’est un exercice très intéressant.

    Il nous arrive de nous perdre en nous identifiant à ce que nous faisons, mais ce qui restera après notre mort sera ce que nous étions avant notre naissance.

    « Paraître, voilà qui est, pour beaucoup, une raison d’être. » Samuel Ferdinand Lot

    Crédit photos: Nihal Demirci, Jez-Timms, scott-broome, Miguel bruna, Karsten Würth.

    • 13 min

Avis

5,0 sur 5
12 notes

12 notes

tiphaine_v ,

🤗

Super podcast merci Julia

Forzavert ,

Merci !!!

Un sujet qui me touche particulièrement, abordé en toute simplicité par Julia qui a réussi à me redonner du peps. Merci !! J’écouterai les futurs podcasts.

Andréa0105 ,

J’adore !!!

Belle découverte! Sa voix d’oratrice & son contenu de qualité me donnent hâte d’écouter ses nouveaux podcasts.

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