Ardemment Boulettes Magazine
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- Culture et société
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Ardemment, le podcast d'histoires extraordinaires de Liégeois ordinaires. Ardemment est une émission produite par Boulettes Magazine.
Production : Kathleen Wuyard et Clément Jadot
Montage : Yannick Lemoine
Graphisme : Bertrand Gascard
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Précieux Conseils
Le voyage invite à l’évasion, autant qu’aux rencontres fortuites et incongrues. Un verre échangé en terrasse, un renseignement glané en chemin ou une discussion sur le sens de la vie avec un parfait inconnu peut être le déclencheur d’une nouvelle aventure.
Loin de chez soi, on s’autorise plus facilement un certain laisser aller, l’éloignement étant souvent un prétexte à la candeur. Jusqu’à la naïveté ?
Chassé de son Eldorado, le voyage de Candide que nous raconte Voltaire est celui-ci d’un périple où le jeune héros va de déceptions en déconvenues, jusqu’à enfin retrouver sa terre natale. Dans cet épisode d’Ardemment, Clément raconte son histoire, celle d’une mésaventure de voyage, où de précieux conseils ont bien failli lui coûter cher. -
Héros de tous poils
Pompiers, aventuriers ou preux chevaliers, les héros de notre enfance sont d’une impitoyable régularité. Beaux, forts et intelligents, ils volent au secours de leurs contemporains, dont ils ne partagent pourtant que très peu le quotidien. Dans la mythologie grecque, les héros sont considérés comme des demi-dieux : un statut hybride, gage de leur exceptionnalisme. Mais où place-t-on la limite ? De quoi l’étoffe des héros est-elle faite ? Dans cet épisode, on vous raconte l’histoire de Fabrice Renard. Ancien restaurateur devenu inspecteur général à la société royale protectrice des animaux, Fabrice n’a ni collants, ni super pouvoirs. Juste un cœur grand comme ça. Tombé amoureux des animaux par hasard, il a fait de leur défense son combat, devenant malgré lui, un héros de tous poils.
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Jeter l'encre
Autrefois l’apanage des marins et des prisonniers, les tatouages sont devenus le symbole d’une génération prête à relever ses manches pour afficher sa différence. Entre quête de style et volonté de transmission, la pratique du tatouage s’est érigée comme la forme ultime d’acceptation de soi. Ornement indélébile, le tatouage permet de décorer le corps, à défaut d’avoir pu le choisir. Qu’on soit bellâtre ou bossu, chacun est libre de se marquer pour mieux se démarquer. Mais qu’arrive-t-il lorsque l’on regrette son choix ? Une fois l’encre appliquée, difficile de faire machine arrière. Dans cette épisode d’Ardemment, Didier nous raconte son tatouage et comment il lui a donné envie de jeter l’encre.
Avis
Le sapin!!!
J’avais suivi cette histoire dans les journaux à l’époque, super d’en apprendre plus via le podcast!
Oufti!
Le bonheur de découvrir ces histoires... et toute la richesse de l’accent liégeois ❤️