Arkham Inn Arkham Inn
-
- Fiction
Livres audio - Du mythe Lovecraftien à l'univers de Poe
-
Celui qui hantait les Ténèbres - H.P. Lovecraft (1935)
Celui qui hantait les ténèbres, parfois traduit par L'habitué des ténèbres (The Haunter of the Dark) est une nouvelle d'horreur écrite par Howard Phillips Lovecraft en novembre 1935 puis publiée dans le pulp Weird Tales en décembre 1936.
-
Le Tertre - Zealia Bishop (1929)
Lovecraft est engagé comme nègre littéraire par la femme de lettres Zealia Bishop afin d'écrire un récit fantastique basé sur le thème conventionnel d'un tertre amérindien hanté par un fantôme décapité. Toutefois, Lovecraft élargit le registre de cette idée de base en décrivant une civilisation souterraine d'origine extraterrestre dont la culture complexe et décadente renvoie à sa propre pseudo-mythologie fictionnelle1.
Une version abrégée de la nouvelle est publiée sous la seule signature de Zealia Bishop dans le pulp Weird Tales en novembre 1940. Cette version est réimprimée en 1943 dans le recueil Par-delà le mur du sommeil (recueil) chez Arkham House. Cette même maison d'édition publie ensuite le texte intégral en 1989 dans une version révisée du recueil L'Horreur dans le musée. -
Hautefaye - Chris J. Vero (2022)
"Hautefaye" a été écrite en 2022 par mes soins. Elle s'inspire de faits réels, à savoir l'affaire de Hautefaye, un évènement particulièrement troublant et sombre de l'histoire judiciaire et criminelle française.
-
Necroscope - Brian Lumley (1986) - Dernière Partie
Brian Lumley, né neuf mois après la mort du grand H.P. Lovecraft, s'est d'abord fait connaître pour ses hommages au maître de Providence, notamment avec la série Titus Crow, loin d'être scandaleuse mais sentant parfois trop le pastiche bas de gamme. Mais c'est avec le cycle Nécroscope (treize volumes publiés au moment où j'écris ces lignes), que Lumley a rencontré un succès mondial (sauf en France, où il reste un parfait inconnu et semble condamné à le rester).
Dans ce premier volume, nous découvrons Harry Keogh — à la fois héros et anti-héros de la série. Harry a le pouvoir de converser avec les morts ; c'est un nécroscope, un être qui scrute les territoires de la mort avec son esprit tout comme nous utilisons des télescopes pour scruter le ciel ou espionner la voisine d'en face au moment fatidique du « tomber de sous-tif ». -
Necroscope - Brian Lumley (1986) - 14ème partie
Brian Lumley, né neuf mois après la mort du grand H.P. Lovecraft, s'est d'abord fait connaître pour ses hommages au maître de Providence, notamment avec la série Titus Crow, loin d'être scandaleuse mais sentant parfois trop le pastiche bas de gamme. Mais c'est avec le cycle Nécroscope (treize volumes publiés au moment où j'écris ces lignes), que Lumley a rencontré un succès mondial (sauf en France, où il reste un parfait inconnu et semble condamné à le rester).
Dans ce premier volume, nous découvrons Harry Keogh — à la fois héros et anti-héros de la série. Harry a le pouvoir de converser avec les morts ; c'est un nécroscope, un être qui scrute les territoires de la mort avec son esprit tout comme nous utilisons des télescopes pour scruter le ciel ou espionner la voisine d'en face au moment fatidique du « tomber de sous-tif ». -
Necroscope - Brian Lumley (1986) - Treizième Partie
Brian Lumley, né neuf mois après la mort du grand H.P. Lovecraft, s'est d'abord fait connaître pour ses hommages au maître de Providence, notamment avec la série Titus Crow, loin d'être scandaleuse mais sentant parfois trop le pastiche bas de gamme. Mais c'est avec le cycle Nécroscope (treize volumes publiés au moment où j'écris ces lignes), que Lumley a rencontré un succès mondial (sauf en France, où il reste un parfait inconnu et semble condamné à le rester).
Dans ce premier volume, nous découvrons Harry Keogh — à la fois héros et anti-héros de la série. Harry a le pouvoir de converser avec les morts ; c'est un nécroscope, un être qui scrute les territoires de la mort avec son esprit tout comme nous utilisons des télescopes pour scruter le ciel ou espionner la voisine d'en face au moment fatidique du « tomber de sous-tif ».