Rivages Amers Books

Parés ? Nous continuons notre découverte de rivages en musique avec Adélie. Direction le Kenya pour cette nouvelle session Derivage, imaginée depuis l’ile de Lamu. Près d’une heure de déambulation solaire sur fond de ta-arab, de rap psychédélique ou d’afro-house.

On y découvre des musiques traditionnelles de toute la côte souaili, depuis la péninsule arabique jusqu’à l’Inde. On y écoute même du tai-chocoto, instrument japonais découvert par yassem mohamed dans un magasin de musique à mombasa…

Entre croisement, hybridation des cultures, ce mix dessine un paysage musical étendu, un brassage planétaire, une agitation incessante, un voyage dans l’Histoire … C’est parti !

Parés ? Adelie nous embarque pour une nouvelle session Dérivage. Direction la Grèce, là où l’eau crépite de lumière entre les îles éclatantes, ces « châteaux de pierre » comme diraient Sylvain Tesson, qui ont vu naître l’ubris et le splendide. La folie des hommes et celle de la mer.

Du blues rebekito des années 1930 jusqu’au laïka pop-electro d’aujourd’hui, on s’apprête à dériver sur presque 100 ans d’histoire. C’est parti !

Aleth Mandula revient sur nos rivages littéraires et nous embarque à bord du Nautilus. On découvre, par le hublot de ce dernier, la diaphanéité de la mer et la profondeur de ses abysses, on glisse à travers les océans à la découverte de ses plus étonnantes merveilles...

« Vingt Mille Lieues sous les Mers fut publié en 1879 dans la fameuse édition Hetzel. L’ouvrage était accompagné de superbes illustrations, 111 pour être exacte, réalisées par Alphonse de Neuville et Edouard Rioli. Le succès fut immédiat. (...) Jules Verne nous invite à un voyage contemplatif à travers le hublot immense du Nautilus, à travers les longues marches sous-marines sous scaphandrier de ses personnages et les pages de centaines de milliers d’ouvrages qui composent la bibliothèque du capitaine Némo. Jules Verne répertorie, inventorie, décrit minutieusement le foisonnement des fonds marins, ses animaux, ses végétaux, ou encore ses minéraux, et on ne peut être que fasciné par le savoir encyclopédique de l’écrivain.» Aleth Mandula 

Mars 2005. Dans la marina de Pointe-A-Pitre, en Guadeloupe, les bras de nombreux marins s’agitent sur les pontons. Le murmure des derniers préparatifs s’échappent des bateaux. Chez certains, l’excitation est melée à une certaine tension.
C’est bientôt la période des départs pour les transatlantiques retour, en direction de l’Europe.Parmi eux, trois garçons âgés d’une vingtaine d’années s’attèlent à la préparation d’un Jod35, un monocoque d’à peine 10 mètres. Ensemble, ils s’apprêtent à traverser pour la premiere fois l’Atlantique Nord…

Elle aime la littérature baignée de lumière, le doux soleil de Méditerranée et les plages sauvages d’Irlande où parfois, il lui arrive de s’isoler pour écrire.

Entre deux échappées sur nos rivages, Aleth Mandula nous propose ses respirations littéraires depuis Marseille, où elle œuvre à la préparation de la biennale d’art contemporain Manifesta.

Avec ses mots sensibles et sa pensée poétique, elle nous décrypte les textes de ceux qui aiment la mer, la contemple et s'en inspire.

Respirez, elle lit pour nous, maintenant !

Suite à l'Episode 1 de Rivages, Adélie nous embarque en Guadeloupe pour une session Dérivage. 45 minutes de jazz, de gwoka et de soul, pour 40 ans d’Histoire. Nous sommes entre les années 50 et les années 90. Entre contestation et évasion, les tambours, maké et chacha nous chantent toute l’âme de la guadeloupe, comme si on y était. C’est parti !