Le journal de Louise, 1914-1918 Musée de la Grande Guerre / Artips
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- Society & Culture
1914. Louise a 15 ans quand l’Europe bascule dans la guerre. Bientôt, les Allemands occupent sa petite ville du nord-est de la France, et la peur s’installe. Faut-il fuir ? Louise et sa famille doivent-ils se réfugier à Paris, chez un oncle ? Et les soldats, les réfugiés… comment les aider ?
Pendant quatre ans, Louise observe le courage de ceux qu’elle croise, notamment ces femmes, obligées de s’adapter, qui font face sans hésiter. Dans son journal, Louise pose ses impressions et découvre sa propre bravoure. Car il en faut une sacrée dose, pour grandir au cœur d’un conflit mondial !
Une série de 12 épisodes inspirée d’histoires vraies, création originale d’Artips en collaboration avec le musée de la Grande Guerre de Meaux.
Equipe Artips : Camille Perrin, Adeline Pavie, Benjamin Billiet, Khrystyna Burak, Benoît Perret, Jeanne Demeautis, Delphine Peresan-Roudil
Equipe Musée de la Grande Guerre : Johanne Berlemont, Audrey Chaix, Aurélie Perreten, Stéphanie Dardenne
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1- 15 ans en 14
24 septembre 1914. Louise sait maintenant que la victoire éclair promise par son frère n’arrivera pas. Les Allemands occupent Sedan depuis un mois, ce qui terrorise la jeune fille.
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2- Une pierre sur le crâne… et dans le cœur ?
28 janvier 1915. Sedan vit à l’heure allemande. Certains protestent contre cette occupation. Un soldat est ainsi blessé par un jet de pierre anonyme. Louise le rencontre lorsqu’il reçoit des soins chez son père.
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3- On part en campagne
16 mars 1915. Obligés de cultiver des légumes par les Allemands, les parents de Louise partent à la recherche de semence. L’occasion de sortir de Sedan pour la première fois depuis le début du conflit.
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4- Ça ne traîne pas
5 mai 1915. Pour éviter la famine, car la nourriture est réquisitionnée, les Allemands évacuent les "bouches inutiles" en train vers les pays neutres. Les parents de Louise veulent en profiter…
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5- Le pari de l’art
29 octobre 1915. Le voyage en train a été éprouvant et angoissant, mais il a permis à Louise de découvrir un visage insoupçonné de sa mère. Depuis, la vie à Paris, chez l’oncle Fernand, se met peu à peu en place.
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6- Au chant du coq
12 mars 1916. Sur le chemin de la maison, Louise s’arrête chez les commerçants du quartier. L’occasion d’échanger quelques mots avec madame Guérin, qui gère seule sa boutique depuis le départ de son mari…