On va plus loin FRANCE 24

La Russie mobilise 30 000 soldats dans une offensive sur Kharkiv, deuxième ville d'Ukraine, au moment où Vladimir Poutine opère une remaniement majeur et limoge le ministre de la Défense, Sergueï Choïgou. Un tournant dans la guerre ? On va plus loin avec Richard Werly, Bruno Daroux et Emmanuelle Chaze à Kiev.

Sept mois après le début de la guerre avec le Hamas, Israël a envoyé une délégation au Caire pour négocier un projet de trêve associée à une libération d'otages à Gaza, tout en lançant une offensive terrestre sur Rafah. Une "opération ciblée de contre-terrorisme", a assuré l'état-major israélien qui contrôle désormais tous les points de sortie de l'enclave palestinienne. On va plus loin avec Patricia Allémonière, Gauthier Rybinski et Ludovic de Foucaud à Jérusalem.

Le Hamas dit avoir accepté une proposition de cessez-le-feu à Gaza présentée par l’Égypte et le Qatar. Alors que dans la foulée, Israël assurait la refuser – car elle ne répondait pas à ses exigences –, l'État hébreu a déclaré envoyer une délégation auprès des médiateurs qatari et égyptien. Également au sommaire la visite d'État de deux jours en France du président chinois Xi Jinping. 

Le Hamas réserve toujours sa réponse, semblant réclamer un cessez-le-feu définitif, alors qu'Israël n'entend pas renoncer à une offensive terrestre sur Rafah. Dans ces conditions, un accord est-il vraiment possible ? On va plus loin avec Alban Mikoczy, Bruno Daroux et Pauline Godard à Jérusalem.

Aux côtés de Félix Tshisekedi en visite à Paris, Emmanuel Macron demande au Rwanda de "cesser tout soutien" aux rebelles du M23 et de "retirer ses forces" de République démocratique du Congo. Le président français aurait reçu de son homologue congolais un "engagement" à "mettre fin aux agissements des FDLR", des rebelles hutu rwandais dont la présence dans l’est de RD Congo est dénoncée par le Rwanda.

Des élections législatives et régionales au Togo visent à mettre en œuvre une réforme constitutionnelle. La transition vers un régime parlementaire est vue par l'opposition comme un moyen pour Faure Gnassimbé de se maintenir à la tête de l'Etat en tant que président du Conseil des ministres, sans limite de mandats. On va plus loin avec Marie-Roger Biloa et Bruno Daroux.