Choses à Savoir TECH

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  1. Un VPN signé Tor, gratuit et sécurisé ?

    6 GIỜ TRƯỚC

    Un VPN signé Tor, gratuit et sécurisé ?

    Tor revient avec une nouvelle expérimentation : Tor VPN Beta, une application qui bouscule les codes des services VPN traditionnels. Là où un VPN classique établit un tunnel direct entre l’utilisateur et un serveur, Tor VPN emprunte le célèbre système de routage en oignon : cinq nœuds successifs – un d’entrée, trois intermédiaires et un de sortie – chacun géré par des volontaires. Résultat : aucun nœud ne connaît la totalité du trajet, ce qui renforce l’anonymat. Comparé aux VPN multihop, qui reposent sur deux serveurs centralisés et audités, Tor VPN mise donc sur une décentralisation totale. Mais cette sécurité a un prix : des performances nettement inférieures. À l’inverse, les VPN multihop tentent d’équilibrer confidentialité et rapidité. La comparaison avec NymVPN est tout aussi éclairante. Tor VPN suit un chemin fixe, rapide mais traçable si une autorité analyse simultanément le point d’entrée et de sortie. Nym, lui, brouille complètement les pistes : ralentissement volontaire du trafic, flux mélangés entre utilisateurs, paquets factices… un anonymat supérieur, mais au détriment de la vitesse. Tor VPN n’oublie pas les fonctionnalités avancées. Il intègre un routage par application : chaque appli Android peut disposer de son propre circuit et d’une adresse IP unique, rendant impossible les recoupements entre flux. Pour contourner la censure, l’application propose aussi des bridges : obfs4, qui transforme le trafic en données aléatoires, et Snowflake, qui le déguise en appel vidéo. Là encore, Tor va plus loin que les VPN traditionnels, qui se contentent généralement de faire passer leur tunnel pour du HTTPS. Sur le plan technique, le projet repose sur Arti, la nouvelle implémentation de Tor en langage Rust. Plus sûre et plus moderne que l’ancien code en C, elle promet une meilleure gestion mémoire et une sécurité accrue. En revanche, Tor VPN ne permet pas de choisir sa localisation virtuelle, ce qui le rend inadapté pour contourner les catalogues de streaming. Les développeurs restent clairs : Tor VPN Beta n’est pas une solution miracle. Certaines données Android peuvent toujours identifier l’appareil, et en cas de risques de surveillance extrêmes, mieux vaut ne pas l’utiliser. Une certitude en revanche : cette application pousse plus loin la logique d’anonymat, quitte à sacrifier vitesse et confort. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.

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  2. Malaise chez les employés de Microsoft ? Ils dénoncent !

    1 NGÀY TRƯỚC

    Malaise chez les employés de Microsoft ? Ils dénoncent !

    Will et Holly Alpine connaissaient bien la maison. Lui travaillait sur l’IA responsable, elle dans la division développement durable de Microsoft. Dix ans passés à tenter de “verdir” le géant de la tech. Dix ans à alerter en interne, sans résultat. Alors début 2024, le couple claque la porte et fonde l’Enabled Emissions Campaign, une initiative militante pour dénoncer les liens étroits entre Microsoft et l’industrie pétrolière. Car derrière ses promesses de devenir “carbon negative” d’ici 2030, l’entreprise continue de fournir ses outils les plus puissants aux majors du pétrole. Ces “émissions facilitées” – générées grâce aux technologies cloud, IoT ou machine learning – n’apparaissent dans aucun bilan officiel. Dans Business Wire, Will raconte sa frustration : « Les outils que j’aidais à construire étaient utilisés par de mauvais acteurs ». Holly ajoute : « Nous avions fait tout ce que nous pouvions de l’intérieur. Il fallait désormais agir de l’extérieur ». Quitter Microsoft, c’était aussi renoncer aux salaires confortables de la tech. Le couple vit désormais plus simplement, réduit ses dépenses et s’appuie sur l’économie du partage. Leur combat ? Définir des “lignes rouges”, comme interdire les contrats d’IA destinés à accroître la production de combustibles fossiles. Mais leur campagne peine à trouver des financements, malgré l’appui d’un donateur anonyme. Le contexte politique n’arrange rien : le retrait américain de l’accord de Paris sous Trump et la fin de certaines aides aux énergies propres ont fragilisé le mouvement. Les chiffres parlent d’eux-mêmes. En 2019, Microsoft vantait un contrat avec ExxonMobil, censé augmenter de 50 000 barils équivalent pétrole par jour d’ici 2025. Résultat : 6,35 millions de tonnes de CO₂ supplémentaires par an, soit plus de la moitié de l’empreinte carbone totale déclarée par Microsoft à l’époque. Et le géant n’est pas seul : Amazon collabore avec des foreurs pour optimiser leurs rendements, Google s’en est retiré en 2020 sous la pression de ses employés. Pendant ce temps, les émissions de Microsoft ont bondi de 23,4 % entre 2020 et 2024. Pour Holly, le constat est clair : « On ne peut pas prétendre être carbon negative tout en aidant les majors pétrolières à produire davantage ». Un paradoxe qui illustre l’un des grands défis de la transition énergétique : les promesses vertes des géants du numérique face à la réalité de leurs contrats fossiles. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.

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  3. Un site pour visualiser la dette de la France en direct ?

    2 NGÀY TRƯỚC

    Un site pour visualiser la dette de la France en direct ?

    Fin août, l’ex-premier ministre François Bayrou lâchait une bombe budgétaire : la charge de la dette est devenue le premier poste de dépense de l’État français, devant l’éducation et la défense. Avec 66 milliards d’euros d’intérêts annuels et une dette par habitant qui frôle les 50 000 euros, les finances publiques apparaissent plus fragiles que jamais. Pour mesurer concrètement cette dérive, un outil citoyen fait beaucoup parler de lui : l’Horloge de la Dette publique. Derrière ce site gratuit, une start-up française, Living Republic, qui a imaginé un compteur géant affichant en temps réel la dette nationale. Et les chiffres donnent le vertige : plus de 3 410 milliards d’euros défilent sans interruption, l’équivalent de 49 633 euros par Français, nourrissons compris. Au-delà de l’effet visuel, la plateforme propose des indicateurs détaillés : ratio dette/PIB de 115,5 %, déficit 2025 estimé à 92,5 milliards, charges d’intérêts de 44 milliards. Des données mises à jour à la seconde, qui rendent palpable une réalité économique souvent dissimulée derrière les discours politiques. Chaque tic du compteur symbolise l’enfoncement du pays dans le rouge, donnant un poids psychologique à cette spirale financière. Le site va plus loin en détaillant la dette des grands services publics : 50 milliards pour EDF, 30,1 milliards pour les hôpitaux, près de 24 milliards pour SNCF Réseau. Autant de montants qui s’additionnent à la dette souveraine, rappelant que le problème dépasse largement le seul budget de l’État. Dans ce contexte tendu, François Bayrou a annoncé qu’il demanderait un vote de confiance le 8 septembre. Les marchés n’ont pas tardé à réagir : le CAC40 a chuté de 1,59 % le soir même, bien davantage que les autres places européennes. Un signe clair de l’inquiétude des investisseurs, alors qu’une éventuelle chute du gouvernement n’est pas à exclure. Avec son compteur en ligne, l’Horloge de la Dette publique offre une leçon de transparence démocratique. Elle sort les chiffres des rapports poussiéreux pour les projeter sous les yeux de tous, à l’heure où le pays s’interroge sur les efforts à venir et sur l’avenir même de son exécutif. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.

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  4. Un Wi-Fi 10 fois plus rapide grâce à l’IA ?

    3 NGÀY TRƯỚC

    Un Wi-Fi 10 fois plus rapide grâce à l’IA ?

    Imaginez un Wi-Fi capable de franchir les murs, là où les ondes les plus courtes se brisent d’ordinaire. C’est la promesse qu’esquissent des chercheurs de Princeton, qui viennent de tester avec succès un faisceau “Airy” piloté par intelligence artificielle. Leur découverte pourrait ouvrir la voie à un successeur crédible du Wi-Fi 7, alors que la bande sous-térahertz s’impose comme le nouvel eldorado du sans-fil. Dans leur expérience, un réseau neuronal a appris à sculpter l’onde radio pour lui faire suivre une trajectoire courbe, un peu comme une balle liftée au tennis. Résultat : le signal contourne un obstacle en temps réel, sans s’effondrer. Trois microsecondes suffisent au système pour réagir lorsqu’un passant s’interpose. Une réactivité permise par une approche « informée par la physique » qui évite des calculs trop lourds. Concrètement, de simples modules actifs de metasurface reconfigurent phase et amplitude du signal, sans miroir ni mécanique complexe.   Les résultats impressionnent : là où un balayage classique perd des dizaines de décibels, le lien reste stable, même hors champ visible. L’essai a été mené à 120 GHz, une fréquence clé pour la prochaine génération de Wi-Fi. Pour passer du laboratoire aux box domestiques, deux défis demeurent : miniaturiser ces plaques actives et réduire leur consommation. Le saut de performance, lui, fait rêver. Quand le Wi-Fi 7 plafonne à 46 gigabits par seconde sur un canal de 320 MHz, la bande sous-térahertz ouvre la perspective de débits au téraoctet par seconde. De quoi envisager des usages aujourd’hui hors de portée : réalité virtuelle sans câble, streaming en 16K, robotique collaborative. Ici, ce n’est plus la portée qui compte, mais la stabilité du lien à courte distance. Si le marché suit, les premiers routeurs capables de “plier” leurs ondes pourraient apparaître d’ici la fin de la décennie. Reste à standardiser les algorithmes, adapter les protocoles WLAN et produire des metasurfaces abordables. En attendant, une chose est sûre : dans le futur du Wi-Fi, les murs ne feront plus la loi. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.

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  5. Qu’est-ce que Evil-GPT, « l’anti-ChatGPT » ?

    4 NGÀY TRƯỚC

    Qu’est-ce que Evil-GPT, « l’anti-ChatGPT » ?

    En août 2023, sur le forum clandestin BreachForums, un compte pseudonyme nommé AMLO mettait en ligne un outil baptisé Evil-GPT — présenté comme « un assistant sans filtre » capable de contourner les gardes-fous habituels des grands modèles de langage. La promesse : générer en quelques clics des scripts malveillants, des campagnes de phishing ou des modules de collecte de données, sans besoin de compétences techniques. Le prix d’entrée a fait le reste : une dizaine de dollars pour l’accès complet. Très vite, la communauté underground s’est emparée du produit. Sur Telegram et d’autres canaux, des utilisateurs partagent retours d’expérience, codes générés et méthodes d’exploitation — certains attribuent à ces outils des attaques ciblées ou des fraudes (citations de cas comme Mondial Relay ou Ulyss), témoignant d’une banalisation des pratiques. L’offre s’adresse surtout aux néophytes : interface simple, scripts prêts à l’emploi, export des données vers des serveurs Discord, fonctionnalités clé en main. Mais derrière le battage commercial, la réalité technique est plus prosaïque. Une étude de Trend Micro (2024) a montré qu’Evil-GPT et ses clones ne sont pas des IA indépendantes : ils s’appuient massivement sur l’API d’OpenAI, détournée via des clés volées et des prompts jailbreakés. Les analyses de spécialistes et les témoignages sur les forums indiquent que les productions restent souvent basiques — e-mails de phishing génériques, scripts simples — et pas toujours adaptées à des attaques sophistiquées. Pendant ce temps, un écosystème marchand foisonne : WormGPT, FraudGPT, WolfGPT et autres proposent des offres variées, de quelques dizaines à plusieurs milliers de dollars. Le modèle économique mise sur la diffusion massive et l’exclusivité temporaire plutôt que sur des innovations techniques majeures. Conséquence : la barrière d’entrée de la cybercriminalité s’effondre. Les équipes de cybersécurité signalent une hausse des campagnes automatisées et recommandent de traiter toute attaque comme potentiellement générée par un chatbot. Le chercheur Alex Reibman parle d’un essor des « agentic malware » — outils capables d’orchestrer des étapes d’attaque — mais rappelle aussi que leurs limites tiennent souvent aux services d’API sous-jacents. Au final, l’innovation la plus dangereuse n’est peut-être pas l’outil lui-même, mais sa démocratisation. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.

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  6. 600 000 pétaflops, le plus gros supercalculateur japonais ?

    11 THG 9

    600 000 pétaflops, le plus gros supercalculateur japonais ?

    Le Japon prépare un nouveau géant du calcul. Baptisé FugakuNEXT, ce projet vise une puissance de 600 000 pétaflops en FP8, une mesure taillée pour l’intelligence artificielle. Concrètement, il s’agit de marier deux mondes longtemps séparés : le calcul scientifique classique et les modèles génératifs. Une même machine capable à la fois de simuler des phénomènes physiques complexes et d’exploiter l’IA pour des usages concrets, de la découverte de médicaments à la prévention des catastrophes naturelles. La référence aux 600 exaflops FP8 peut prêter à confusion. Elle n’équivaut pas aux traditionnels FLOPS en double précision utilisés par les supercalculateurs scientifiques. Mais elle traduit un débit colossal optimisé pour l’IA, où la précision 8 bits est désormais la norme. Selon le centre de recherche RIKEN, FugakuNEXT pourrait offrir un gain d’efficacité jusqu’à 100 fois supérieur à son prédécesseur, tout en restant dans une enveloppe énergétique voisine de 40 mégawatts. Techniquement, le projet repose sur une architecture hybride. D’un côté, Fujitsu développe de nouveaux processeurs, les Monaka-X, dotés d’unités matricielles et d’extensions SIMD pour accélérer les calculs. De l’autre, NVIDIA fournit ses accélérateurs et son interconnexion NVLink Fusion, qui permettra de relier CPU et GPU et de partager la mémoire à très haute vitesse. Cette approche devrait maximiser la bande passante et réduire les goulets d’étranglement. Côté logiciel, l’accent est mis sur la précision mixte : l’IA exploitera massivement le FP8 et le FP16 pour accélérer les calculs, mais conservera des étapes critiques en précision plus élevée afin de garantir la fiabilité scientifique. Au-delà de la course aux records, FugakuNEXT s’inscrit dans une stratégie nationale. Le Japon veut démontrer que l’union du calcul intensif et de l’intelligence artificielle peut répondre à des enjeux sociétaux majeurs : mieux anticiper les risques naturels, améliorer la santé, optimiser l’industrie. Avec FugakuNEXT, le supercalcul ne se contente plus de chiffres vertigineux : il devient une promesse d’applications concrètes. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.

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  7. NVIDIA veut des jeux vidéo 100% générés par IA ?

    10 THG 9

    NVIDIA veut des jeux vidéo 100% générés par IA ?

    Chez NVIDIA, l’intelligence artificielle n’est plus seulement un outil, c’est un cap stratégique. Le géant des cartes graphiques, mené par Jensen Huang, affiche désormais un objectif ambitieux : parvenir à un rendu 100 % IA dans les jeux vidéo. Depuis plusieurs années déjà, le deep learning s’est invité dans nos parties. Les joueurs connaissent bien le DLSS, ce Deep Learning Super Sampling qui permet d’améliorer la fluidité et la qualité d’image grâce à l’IA. Dans sa troisième version, il introduisait la « frame generation », intercalant une image générée par IA entre deux images calculées classiquement par le GPU. Avec le DLSS 4, NVIDIA va encore plus loin : ce sont désormais jusqu’à trois images créées par l’intelligence artificielle qui peuvent s’insérer entre deux images « réelles ». Une technologie regroupée sous le terme de Neural Rendering, ou rendu neuronal. Et ce n’est qu’un début. Lors de la conférence Hot Chips 2025, organisée fin août à l’université de Stanford, NVIDIA a confirmé que son horizon est clair : un futur où chaque image d’un jeu serait intégralement produite par l’intelligence artificielle. Pour atteindre ce but, l’entreprise mise sur sa nouvelle architecture Blackwell et sur la puissance colossale de cartes comme la GeForce RTX 5090. Dotée de 32 Go de mémoire vidéo GDDR7 et d’une bande passante record de 1 792 Go/s, cette carte a été pensée pour supporter la gourmandise du rendu neuronal. Autre élément clé : l’utilisation du format FP4, qui réduit l’empreinte en mémoire et accélère les calculs, un pas indispensable vers cette révolution. Mais au-delà des performances, NVIDIA met aussi en avant un argument énergétique. Le rendu neuronal, en optimisant les calculs, pourrait réduire la consommation électrique des GPU, un atout majeur pour les ordinateurs portables. Alors, quand verra-t-on des jeux 100 % IA ? Pas tout de suite, reconnaît NVIDIA. Mais l’objectif est clairement affiché : le futur du jeu vidéo passera par l’intelligence artificielle, et la firme de Jensen Huang entend bien rester en tête de cette course. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.

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  8. Apple lance une IA pour décrire le monde en temps réel ?

    9 THG 9

    Apple lance une IA pour décrire le monde en temps réel ?

    Apple avance ses pions dans l’intelligence artificielle, mais comme souvent, sans faire de bruit. Plus tôt cette année, la firme a présenté FastVLM, un modèle vision-langage, désormais disponible sur la plateforme Hugging Face. Son principe est simple : analyser une image et la décrire en texte. Autrement dit, l’inverse d’un générateur d’images. Pour les curieux, plusieurs versions sont proposées. La plus complète compte 7 milliards de paramètres, mais il existe aussi des modèles allégés à 1,5 et 0,5 milliard, ce dernier pouvant même être testé directement depuis son navigateur, sans rien installer. Par défaut, FastVLM décrit en une phrase ce qu’il voit via la webcam, mais il peut aller plus loin : identifier une émotion sur un visage, lire le texte d’une affiche ou reconnaître un objet précis. Techniquement, FastVLM peut tourner sur différents ordinateurs, mais il a été optimisé pour les processeurs Apple. Résultat : sur un Mac, il est annoncé 85 fois plus rapide que d’autres modèles équivalents. Reste la grande question : pourquoi Apple développe-t-il ce type d’IA ? Les usages potentiels sont multiples. Dans un casque Vision Pro, elle pourrait enrichir l’expérience en réalité mixte. Sur iPhone, elle servirait à scanner le contenu d’un frigo pour proposer des recettes, ou encore à traduire des panneaux à l’étranger. Mais la vraie révolution se joue peut-être ailleurs : combinée à des lunettes intelligentes, cette technologie pourrait transformer le quotidien des personnes malvoyantes, en leur décrivant en temps réel ce qui les entoure. Apple travaillerait déjà sur ses propres lunettes connectées, prévues pour 2026 ou 2027. Avec FastVLM, la marque prépare discrètement le terrain pour une IA capable de voir… et de rendre nos vies un peu plus simples. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.

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Giới Thiệu

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