Info ou intox FRANCE 24

Une vidéo, des posts sur les réseaux sociaux et des articles de sites peu fiables prétendent qu’un étudiant pro-palestinien aurait été torturé par la police à Paris puis serait décédé chez lui début mai. De graves accusations niées par la justice. Parmi les manifestants, personne ne semble connaître ce prétendu étudiant. Tout laisse penser à une intox d'origine pro-russe totalement inventée. 

Info ou Intox revient sur la frappe qui a eu lieu le 26 mai à Rafah qui a suscité de vives réactions. On a vu ces images de tentes en feu à l’intérieur desquelles se trouvaient des déplacés, il y a eu au moins 45 morts, selon le ministère de la Santé du Hamas. Mais depuis, l’armée israélienne affirme que ce n’est pas sa frappe qui a provoqué directement l’incendie. Info ou Intox décrypte ces affirmations.

Info ou Intox revient sur l’origine de la photo "All eyes on Rafah". Un cliché partagé ces derniers jours plusieurs dizaines de millions de fois sur les réseaux sociaux et devenu le symbole du soutien à la cause palestinienne.

Info ou Intox se penche sur la mort d’un garde-frontière égyptien lundi 27 mai, tué lors d'un échange de tirs au niveau de la zone frontalière avec la bande de Gaza à Rafah, où sont déployées des forces israéliennes. Les armées égyptienne et israélienne ont annoncé l'ouverture d'une enquête. Mais sur les réseaux sociaux, on trouve des spéculations autour de l’identité de ce garde-frontière. Il reste aussi une confusion sur les circonstances exactes de sa mort.

Après la frappe meurtrière sur un camp pour déplacés à Rafah, les Palestiniens accusent Israël d'avoir commis un "massacre". L’Etat hébreu explique avoir visé un “complexe du Hamas”, tandis que le Croissant-Rouge palestinien affirme que le centre était placé dans une zone classée comme “humanitaire sûre” par l'armée israélienne elle-même. Des informations inexactes au jour de la frappe, mais qui révèlent la complexe classification imposée par les forces israéliennes.

Des tags de mains rouges peintes au pochoir ont été retrouvés le 14 mai dernier sur le Mur des Justes au Mémorial de la Shoah, à Paris. Les Justes sont les personnes qui ont aidé des Juifs pendant la Seconde Guerre mondiale. Aujourd’hui, on en sait plus sur l'origine de ces tags, dont le symbole n'est pas anodin. Derrière tout cela, il y aurait une possible ingérence russe.