Passion Patrimoine Orso Media

Bienvenue dans ce nouvel épisode de Passion Patrimoine.

Cette semaine, je reçois un expert en cryptomonnaies, Edouard Belliard.

Normand d'origine, il est un fin connaisseur des marchés financiers et de la blockchain, avec une carrière initiée en banque privée avant de se tourner vers les crypto-actifs. On a là une transition qui montre son audace à adopter des idées nouvelles.

Actuellement chez Meria, une entreprise avant-gardiste spécialisée dans les cryptos, Edouard simplifie les concepts complexes de diversification des portefeuilles d'investissement. Il se passionne pour rendre les cryptomonnaies accessibles aux conseillers en gestion de patrimoine.

Sa carrière se ponctue par une quête constante d'excellence et une capacité à s'adapter aux changements du marché. Ce qui le positionne parfaitement pour guider les professionnels de la GP à travers les subtilités de cette classe d'actifs émergente.

Dans cet épisode, on examine comment les méthodes de gestion de patrimoine traditionnelles se combinent avec les stratégies d'investissement en cryptomonnaies. Edouard Belliard nous partage ses expériences, les obstacles qu'il a rencontrés et sa perspective sur l'avenir des cryptomonnaies.

Edouard Belliard : « Effectivement, il faut juste dire que c'était 5% de diversification. Évidemment, il ne faut pas s'exposer à 100% aux cryptos. Mais voilà, il y avait un vrai pouvoir de diversification. Ça améliorait considérablement le rendement. »

Originaire d’Annecy, avec une formation en bac Éco, Sub de Co et quelques stages en banque, mon nouvel invité se dirige très vite vers l’entrepreneuriat.

Une allure d’avocat, un tempérament de feu, Olivier a connu plusieurs crises, de nombreuses refontes de la profession et quelques ajustements douloureux.

Comment définir ce parcours sans parler d’exigence ni de loyauté ?

À 55 ans passés, avec un cabinet à taille humaine et d’approche conviviale, Olivier est une force tranquille. Il se rêve à sa place, en faisant de l’orfèvrerie pour des clients ayant une communauté d’intérêts. Comme il l’explique si bien, le CGP est souvent co-investisseur dans les solutions qu’il préconise.

Drivé par la rigueur et l’éloquence de son père avocat, mon hôte a toujours été bercé par les valeurs, les principes et le respect de la règle.

Écoutez cet épisode qui doit être abordé comme le livre blanc de la profession.

Un témoignage unique, par et sur un CGP, qui revient sur 30 ans de profession avec une approche sincère et analytique de ses différents aspects.

Olivier Collin : « Pour moi, si je dois faire un parallèle, c’est la différence entre une hôtellerie de luxe d’un hôtel de 300 chambres et une boutique-hôtel… Eh bien, moi, je suis la boutique-hôtel et j’ai envie d’être là. »

Fils et petit-fils de militaire, breton d’origine, mon nouvel invité est un CGP étonnant !

Attiré initialement par les langues, comme un média culturel, il était plutôt voué à parcourir le monde.

C’est après une licence de sociologie que mon invité affine ses objectifs pour explorer l’étude des statistiques et la manipulation des reportings.

Une première agence de communication ratée, une fascination pour l’industrie de l’horlogerie, mon invité a eu décidément une première vie plutôt bien remplie.

Et pourtant, c’est la GP qui a fini par le séduire en lui apportant la stabilité.

C’est aussi une rencontre avec un ami, qui lui propose une double activité, qui termine de creuser le sillon de son parcours. Il se lance ensuite en tant que CGP et plonge rapidement dans un nouvel écosystème qui va carrément l’habiter et le transformer, malgré la période de lancement de son cabinet en plein Covid.

Si vous souhaitez écouter et apprendre comment transformer une crise en bénédiction, comment convaincre ses proches que l’on a pris la bonne décision, vous devez absolument écouter l’épisode de Pierre Gérard.

« Quand ça va mal, c’est le moment durant lequel les gens se posent des questions, et c’est justement là que l’on peut apporter notre valeur ajoutée. »

Bienvenue dans ce nouvel épisode de Passion Patrimoine, qui va traiter d’un métier en synergie avec celui de CGP, je dirais même complémentaire, mais à la fois très différent.

Mon hôte est Alban Remy, 26 ans, un très jeune courtier en assurance chez Courtier Comparateur.

Actuellement basé dans une agence à Épinal, dans les Vosges, il a débuté sa carrière dans une concession automobile. Déjà très imprégné du monde de la location et de l’assurance, il fit une rencontre déterminante avec un courtier en assurance qui, après un coup de cœur, devint son futur associé.

Une évidence qui le poussa à se lancer corps et âme dans sa future carrière de courtier en assurance et de commercial hors pair.

Ce nouvel épisode me semblait absolument indispensable pour parler des différences fondamentales, encore trop floues, entre assureur, courtier et CGP. Des différences très spécifiques que nous abordons avec technicité et simplicité.

Alban Remy : « Après le COVID, le monde a eu besoin de se recentrer sur une chose essentielle, l’assurance, même si je l’avoue, l’assurance c’est chiant ! »

Ravie de vous partager un tout nouveau Grand Talk de Passion Patrimoine.

Un épisode inédit qui va porter sur l’actualité patrimoniale et un point de situation en cette fin de premier trimestre 2024.

Nous allons y aborder des sujets tels que l’épargne, l’immobilier, l’or, les SCPI et les tendances.

Et pour ce faire, je suis comme toujours très bien accompagnée.

Mes trois invités aujourd’hui sont :


- Claude CADEAU, CEO de L’Observatoire Financier
- Victor Piriou, Responsable des Relations Investisseurs chez Axipit Real Estate
- Laurent Kayem, Entrepreneur, investisseur et CEO de Goldunion

Comme toujours, cette émission est un podcast audio et vidéo, alors n’hésitez pas à intervenir à chaud ou à froid, sur les réseaux, via LinkedIn directement sur la page Orso Média, ou via ma messagerie privée Carine ED ou mon Instagram Carineedtv.

Et surtout, abonnez-vous, likez et partagez.

Bon épisode et bel été !

Claude Cadeau : « Il y a un problème parce qu’on ne hiérarchise pas ses placements en fonction de la durée de l’investissement. Quand on a 15 ans devant soi, ce n’est pas cohérent de rester sur un livret A. »

Victor Piriou : « Aujourd’hui, les gens vont sur la crypto à toute vitesse. Ils pensent que c’est un nouvel eldorado et en même temps, ils investissent dans le livret A... Il n’y a plus aucun équilibre entre leur vision à long terme et les investissements qu’ils font. »

Laurent Kayem : « L’or, c’est très accessible... à partir de 200 €, vous pouvez acheter de l’or. »

Sa force, sa marque de fabrique, c’est son parcours.

Inspirant, émouvant.

Enfant placé par l’aide sociale à l’enfance, puis en famille d’accueil dès l’âge de 10 ans, en perpétuelle recherche d’une identité paternelle suite à un déni de grossesse, mon hôte puise son énergie dans sa quête.

Profondément marqué par l’histoire de sa mère, victime d’une arnaque et qui sombra très rapidement dans la détresse et la précarité, mon invité a une revanche à prendre.

Jonathan Anguelov fut propulsé dans la vie sans pitié et surtout dut apprendre à se débrouiller seul et assumer de grandes responsabilités trop jeune.

Se rêvant avocat, s’imaginant en grand voyou, il est surtout un Robin des Bois en puissance.

Après avoir intégré l’ESCP « par chance » comme il dit, il se passionne rapidement pour la finance et débute ses premiers investissements dans des chambres de service à crédit, avec une obsession : garder un toit sur la tête !

Presque 20 ans plus tard, Jonathan est devenu une icône incontournable avec sa première société, Aircall, qui a cartonné. Il se lance aujourd’hui dans sa seconde aventure avec Aguesseau Capital, une foncière immobilière qui remplit déjà toutes ses promesses avec des produits que les investisseurs s’arrachent.

Jonathan Anguelov : « Si à l’école, la seule chose qu’on nous apprend, c’est d’être salarié, c’est un peu dommage… C’est surtout ne pas assumer qu’il y a des gens qui veulent créer leurs propres sociétés et devenir chefs d’entreprises. »